Bonjours & Bonsoirs Juillet 2019

Rappel du premier message :

 
 
 
 

 
Le mois de juillet : Historique :
 
Le nom du beau mois de juillet vient du latin julius mensis et a été nommé ainsi par Marc-Antoine en l'honneur de Jules César
 
(signifiant littéralement "mois de jules"). Juillet était le 5ème mois du calendrier romain et se nommait quintilis.
 
L'année de la mort de Jules César, en -44 avant JC, Mars-Antoine fit remplacer ce nom par Julius en hommage au "conquérant des Gaules".
 
Le mois de juillet est le septième mois du calendrier grégorien ou julien.
 
 
Célébration de Juillet :
 
Le mois de juillet voit de nombreuses fêtes se mettre en place.
 
Tout d'abord, pour la France, c'est l'anniversaire de la prise de la bastille du 14 juillet 1789 qui marque l'"indépendance" du pays.
 
 
Elle est aussi appelée la fête nationale.
 
On notera également la fête nationale de l'amérique du Nord du 4 juillet 1776
 
(déclaration d'indépendance des Etats Unis face aux britanniques).
 
 

Louise de Toscane, une princesse rebelle



« J’aime beaucoup écouter la Sérénade d’Enrico Toselli.

Est-il vrai qu’il l’a composée pour l’amour d’une reine ? 

Dans l’affirmative, qui était-ce ? » 

Enrico Toselli (1883-1926) était un pianiste et un compositeur italien de renom. 

Certaines de ses créations se sont effectivement inspirées de ses expériences personnelles.

Il en est ainsi de sa Sérénade dédiée à l’archiduchesse Louise-Antoinette de Habsbourg-Toscane. 

Princesse héritière de Saxe par son mariage en 1891 avec le prince Frédéric-Auguste III, elle n’a cependant jamais été reine. 

Pour le comprendre, il faut revenir sur son parcours des plus romanesques.

Le mariage avait eu lieu à Vienne et le couple semblait couler des jours heureux.

À 33 ans, Louise était déjà mère de cinq enfants. Cependant, l’étiquette rigide de la cour de Dresde lui pesait et son mari était très occupé. 

Elle trouva refuge dans les bras du précepteur de ses enfants, ce qui lui valut d’être internée. 

Bien qu’enceinte, elle réussit à s’enfuir en décembre 1902. Ses parents refusèrent de l’accueillir et elle voyagea en Suisse, en Angleterre, en Italie.

Elle accoucha d’une petite fille, Anna-Monica, à Lindau, en 1903. Dans l’intervalle, l’empereur François-Joseph, chef de la maison impériale, 

l’exclut par décret de tous ses titres et lui accorda une pension. Son père, Ferdinand IV de Toscane la fit « comtesse Montignoso » pour la maintenir dans son rang. 

Le divorce fut prononcé en février 1903 et c’est l’année suivante que son ex-mari accéda au trône. 

La jeune femme s’installa alors à Florence avec sa fille et s’adonna à la musique et au chant.

Elle rencontra Enrico Toselli dont elle tomba follement amoureuse ; elle l’épousa en 1907.

La petite Anna-Monica lui fut enlevée par la cour de Dresde, alors qu’elle attendait l’enfant de Toselli, Charles Emmanuel, qui naîtra en mai 1908. 

C’est à cette époque que son époux composa la célèbre « Serenata ». Mais Louise dépensait sans compter, voyageait beaucoup. 

En 1911, elle provoqua un scandale en publiant ses mémoires dirigés contre la famille royale de Saxe. 

Le pauvre Toselli supportait difficilement ce tempérament et ce fut la rupture en 1912. 

Il renfloua ses finances en publiant un livre à succès : « Mari d’Altesse : 4 ans de mariage avec Louise de Toscane, ex-princesse de Saxe ». 

Il obtint la garde de l’enfant et Louise s’installa à Bruxelles. 

À la fin de la guerre, la monnaie allemande s’effondra et les 40.000 marks de sa pension ne représentèrent plus rien. 

Louise dut vendre ses bijoux et subvint à ses besoins en donnant des leçons d’italien.

À sa mort le 23 mars 1947, aucun parent ne vint aux obsèques. 

Elle fut inhumée près de certains de ses enfants, à Sigmaringen en Allemagne.

 

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Je ne connaissais pas la belle histoire d'amour qui se cachait derrière cette sérénade que j'adore !!!!

L’Opus Dei et l’église catholique romaine



En savoir plus  sur l’Opus Dei qui est une organisation catholique, me semble-t-il ?

Quand a-t-elle été créée et pourquoi ?

Combien y a-t-il de membres ? » 

L’Opus Dei (Œuvre de Dieu) a été fondé en Espagne le 2 octobre 1928 par Mgr Josemaria Escriva de Balaguer (1902-1975).

Il s’agissait d’une organisation de laïcs chrétiens qui avaient pour vocation de diffuser un appel à la sainteté et à l’apostolat :

ils devaient mener une vie spirituelle et apostolique intense au sein de leurs activités quotidiennes, qu’elles soient professionnelles, familiales, sociales ou civiques.

Cette règle est encore appliquée aujourd’hui. Mgr Josemaria Escriva de Balaguer a été béatifié le 17 mai 1992 et canonisé le 6 octobre 2002 par Jean-Paul II.

L’institution a eu, dès l’origine, un caractère séculier car il ne s’agit pas d’un institut religieux. 

Mais elle a été érigée en prélature personnelle en 1982 par le pape précité, lors de la réforme du Code de droit canon.

À ce titre, elle est au service des diocèses et vise à assurer une répartition des prêtres adaptée aux besoins pastoraux actuels.

Gouvernée par un prélat, en accord avec le droit canonique et les statuts propres de l’Opus Dei, elle a son siège à Rome.

Le prélat est actuellement Mgr Fernando Ocáriz. Né à Paris, le 27 octobre 1944, au sein d’une famille espagnole exilée en France durant la Guerre civile, 

il a été élu, puis nommé à vie par le pape François, le 23 janvier 2017.

La prélature de l’Opus Dei compte environ 90.000 membres (des hommes et femmes laïcs et des prêtres), répartis dans soixante et un pays. 

L’Opus Dei s’est implanté en France en 1947 et compte environ 1.900 fidèles. Ils dépendent d’un vicaire régional installé à Paris, Mgr Antoine de Rochebrune.

Parmi les membres laïcs de l’institution, on distingue  les numéraires, hommes et femmes, qui se sont engagés à vivre dans le célibat, 

l’obéissance et la pauvreté. Ils résident dans un des centres de l’Opus Dei, mais travaillent à l’extérieur. 

Les agrégés (ou oblats), célibataires, vivent seuls ou dans leurs familles. Chacun verse l’intégralité de ses gains à l’institution.

Les surnuméraires sont mariés et apportent un soutien financier de même que les coopérateurs, qui, eux, ne sont pas catholiques.

Les membres de l’Opus Dei sont engagés, non par des œuvres, mais par un lien contractuel concernant leur vie spirituelle, apostolique et leur formation.

Ce sont les seuls domaines où s’exerce la prélature.

Si je crois ce que j’ai appris sur cet opus Dei,il n’a pas une bonne réputation.

 
Dans un autre domaine c'est comme les francs maçons .On peut en côtoyer sans s'en douter !

Les Francs-maçons n'ont pas cette réputation sulfureuse me semble-t-il. J'ai été approché deux fois pour en faire partie,mais j'ai refusé pour les premiers en 80 car le grand orient est trop socialiste pour moi. En 94 j'ai re refusé la grande loge ,obédience la plus ancienne et la plus élevée pour d'autres raisons.

« À quelle époque les bas ont-ils fait leur apparition dans la garde-robe tant masculine que féminine ? 

Qui a inventé la machine à tricoter les bas ? » 



Le tricot était connu dans l’Antiquité et l’on possède des bas datant du VIIe  siècle, tissés à l’aiguille et en rond.

Cependant, jusqu’au XVIe  siècle, on ne connaît que les chausses en toile, en feutre, en soie ou en drap qui s’attachent aux genoux ou aux braies,

avec des jarretières parfois très ouvragées. La fabrication des chausses est alors le privilège de la corporation des chaussetiers ou chauciers.

C’est en 1564 que l’anglais William Rider remet au goût du jour les bas tricotés. 

Ce travail d’aiguille étant identique à celui qui permet d’obtenir des gants et des bonnets, on confie la fabrication des bas tricotés aux bonnetiers. 

Cette décision amène la disparition progressive des chaussetiers. 

Les bas tricotés, légers et souples, rencontrent un franc succès. Les plus riches optent pour la soie, les autres pour l’estame, un fil de laine très retors.

En Angleterre, un métier à bas est construit en 1589 par le pasteur William Lee. 

En France, on attribue l’invention d’une machine qui forme à la fois des centaines de mailles à un modeste compagnon serrurier des environs de Caen au 

début du XVIIe  siècle. Mais rien n’est officiel car il est victime d’une cabale de la part de la corporation des bonnetiers.

Quelques années plus tard, c’est un Nîmois, Jean Hindret qui, de retour d’Angleterre et s’appuyant sur ses observations réussit, de mémoire, 

à construire, pièce à pièce, une machine qu’il installe dans le château de Madrid au bois de Boulogne.

La production commence à partir de 1656. Quelques années plus tard,

Louis XIV autorise la formation d’une société commerciale chargée d’administrer la nouvelle manufacture et 

d’établir un magasin de vente à Paris. 

Les bonnetiers fabricants de bas traditionnels, effrayés par cette concurrence, s’accordent avec la manufacture 

pour vendre ses produits dans leurs boutiques.

Le privilège accordé à cette dernière a un effet pervers dans la mesure où il lui est difficile de trouver des ouvriers ;

ils se refusent à travailler dans une structure qui leur enlève tout espoir de s’établir un jour à leur compte. 

En février 1672, le roi prend des dispositions pour constituer la compagnie en corporation, dédommager la manufacture et 

aider à l’installation des meilleurs ouvriers.

En 1723, la corporation des faiseurs de bas au métier est réunie à celle des bonnetiers. 

En 1773, on compte 2.500 métiers à Paris, 1.300 à Lyon et 4.500 à Nîmes.

Dans la période allant de 1792 à 1816, pas moins d’une douzaine de nouveaux métiers ou 

de perfectionnements notables sont enregistrés.

LE CONCOURS Général : Un niveau d’excellence



« Dernièrement a eu lieu la remise des prix du concours général des lycées et des métiers ?

Pouvez-vous me renseigner sur l’origine et le but de ce concours ? Comment s’inscrire ? » 

Créée dans le cadre des fondations de prix du XVIIIe  siècle, cette épreuve devait récompenser les plus belles pièces de poésie et de musique composées à 

a gloire de la France et de ses grands hommes. C’était le souhait de l’abbé Le Gendre (1655-1733), historien et chanoine de Notre-Dame de Paris. 

Il avait fait un legs dans ce but. En 1744, le Parlement de Paris étendit ce concours aux élèves des collèges parisiens, le consacrant aux disciplines qui y étaient enseignées. 

La première remise des prix eut lieu le 23 août 1747 à La Sorbonne. 

Suspendu pendant la Révolution, le concours général fut réorganisé en 1803 pour les seuls lycées de Paris, puis étendu en 1818 à celui de Versailles. 

En 1864, il était organisé au niveau national. Supprimé en 1904, il fut rétabli en 1922 et s’ouvrit l’année suivante aux jeunes filles inscrites dans les lycées de garçons. 

En 1981, les disciplines technologiques y eurent accès et, depuis 1995, les spécialités de l’enseignement professionnel.

Ainsi, le concours général permet aujourd’hui de distinguer les meilleurs élèves des classes de première et de terminale

des lycées d’enseignement général ou professionnel ainsi que les élèves de dernière année en centre de formation des apprentis. 

Les candidats sont évalués sur une épreuve dans la discipline choisie. La tradition veut que ce soient les professeurs qui présentent leurs meilleurs élèves. 

Un cérémonial entoure la remise des prix, présidée par le ministre de l’Éducation Nationale qui a lieu chaque année à La Sorbonne.

Parmi les lauréats figurent d’illustres personnalités avec des écrivains comme Charles Baudelaire, Jules Michelet, Victor Hugo…

Parmi les scientifiques, citons Marcellin Berthelot, Louis Pasteur… Il faut encore nommer des hommes politiques comme Georges Pompidou, 

Jean-Pierre Chevènement, Alain Juppé, des hauts fonctionnaires ou des chefs d’entreprise : Charles de Croisset, Laurence Giovacchini, 

Éric-Alexandre Hennekine, Philippe Camus… Le but de ce concours est purement honorifique.

Il permet néanmoins aux lauréats d’intégrer plus facilement une classe préparatoire et la mention est toujours appréciée sur un curriculum vitae.

Une association des lauréats a été fondée en 1922 et a été déclarée d’utilité publique en 1935.

Je ne sais pas ce qu’il en ait aujourd’hui,mais à mon époque c’était le gratin des élèves des meilleurs lycées et peu obtenaient un prix.

aujourd’hui pourrait être hier…

« Quel est le méridien qui détermine le changement de date ? 

Qui en a décidé ainsi et pour quelles raisons ? 

À partir de quelle latitude l’heure légale s’impose-t-elle ? » 



C’est le 180e méridien qui constitue la ligne de changement de date.

Le traverser d’est en ouest ou vice versa fait basculer le voyageur d’un jour à l’autre.

Ainsi pourrait-on arriver à destination la veille de son départ. Des réunions internationales en ont décidé ainsi à la fin du XIXe siècle 

pour éviter l’anarchie des particularismes et aboutir à une solution rationnelle et claire dans l’application d’un calendrier humain 

sur les mouvements de notre globe terrestre.

Ces mouvements ne dépendant pas de nous et, bien qu’ils s’exécutent à la précision d’une fraction de seconde par an,

l’inclinaison de l’axe et l’orbite elliptique à vitesse variable de notre bon vieux globe induisent les saisons, l’inégalité des jours et des nuits et la dissymétrie

de l’hémisphère austral qui fête Noël et Nouvel An en plein été.

C’est l’observatoire astronomique de Greenwich en Angleterre qui détermine le méridien 0, les longitudes étant désignées de 0 à 180° est ou ouest, 

avec des fuseaux horaires de 15 en 15 degrés et une avance ou un retard d’une heure par fuseau. La France s’est ralliée à ce système en 1911.

S’agissant d’une convention issue d’un consensus général,

il était plus logique de placer la ligne de changement de date dans l’Océan Pacifique presque vide d’humains, 

plutôt qu’à proximité des pays très industrialisés. Depuis sa création, cet axe a été dévié en plusieurs endroits,

pour que le pays concerné ne se trouve pas à cheval sur deux dates. La dernière modification concerne l’État des Samoa et 

l’archipel des Tokelau en Polynésie (Pacifique sud) qui sont passés directement du 29 décembre au 31 décembre 2011.

La ligne de changement de date, passant à l’est de leur territoire,

plutôt qu’à l’ouest, devait faciliter les relations commerciales avec l’Australie, 

la Nouvelle-Zélande et l’Asie, en évitant le décalage d’une journée.

Chaque pays a décrété une « heure légale » pour son territoire en fonction du fuseau horaire, 

avec des difficultés pour les vastes pays que sont la Russie 

ou les États-Unis qui ont dû recourir à une pluralité d’heures officielles.

Les États ont par ailleurs décidé parfois d’adopter des heures légales variables avec la saison et, en conséquence,

une « date du jour » anticipée ou retardée.

L’heure légale du fuseau s’impose au-dessous d’une latitude de 66°correspondant au cercle polaire nord.

En Australie ,il y a plusieurs fuseaux horaires qui sont en plus aléatoires .Il faut bien se renseigner quasiment tous les jours ,car on peut rater son avion ou une ouverture-fermeture d'un bureau . En Iran ,l'heure officielle est décalée d'une demi heure ,ce qui est perturbant .
Hier ,j'entendais un journaliste qui était à Londres et disait ,ici il est 6 heures PM ,nous avons une heure de plus de jour qu'à Paris où il est sept heures . Une belle idiotie ,car il n'y a que 8mn50 secondes entre Londres et Paris .

La justice et Les fourches patibulaires



« Je recherche le nom de ces gibets utilisés autrefois pour exposer les suppliciés.

À quelle période les a-t-on utilisés ? Je pense notamment au gibet de Montfaucon, près de Paris.

Où était-il situé exactement ?» 

Les appareils de haute et basse justice, installés à la périphérie des villes, s’appelaient des fourches patibulaires. 

Ils s’inscrivaient familièrement dans le paysage et certains d’entre eux devinrent des lieux légendaires et parfois célèbres, 

comme le gibet de Montfaucon, près de Paris. Ils furent utilisés du XIe  siècle jusqu’à la Révolution.

Le vocable « patibulaire » issu directement du latin « patibulum » désigne une potence ou un gibet.

Il caractérise les mœurs judiciaires d’une époque où l’on infligeait le châtiment suprême aux yeux de tous.

Ces fourches patibulaires servirent dans un premier temps au supplice proprement dit puis

on y exposa à tous les vents et durant de longs mois les corps de ceux qui avaient été préalablement pendus, décapités, 

roués, écartelés ou ébouillantés en place publique.

Techniquement parlant, il s’agissait de piliers de pierre établis sur un socle et réunis à leur sommet par des traverses de bois équipées de chaînes.

L’ensemble était implanté en des points élevés pour être vu des voyageurs. Le site témoignait de l’existence d’une justice dans le royaume. 

Les suppliciés devaient rester exposés longtemps, ce qui impliquait un certain éloignement de l’agglomération pour, entre autres, éviter les nuisances olfactives.

Le dispositif variait en importance suivant la « qualité » du détenteur du pouvoir judiciaire. 

Alors que le gibet du roi n’était pas limité en piliers, celui du duc pouvait en avoir huit, celui du comte six, celui du baron quatre et celui des châtelains trois.

Deux piliers seulement étaient admis pour les gentilshommes, prieurs ou abbés hauts justiciers.

Le gibet de Montfaucon, symbole de la justice royale, fut édifié au XIIIe  siècle, sous le règne de saint Louis. 

L’édifice se trouvait placé sur une plate-forme maçonnée avec 16 piliers de plus de 10 m de haut, d’abord en bois puis en 1325,

en pierres carrées de 40 cm de côté. Il fut désaffecté au XVIIe  siècle et remplacé par un second à la Villette. 

C’est la Constituante qui, en 1790, supprima l’exposition infamante et imposa l’inhumation des suppliciés.

Les historiens situent le lieu du premier gibet royal rue de la Grange-aux-Belles dans le Xe arrondissement. 

Des vestiges ont été découverts en 1954 lors de la construction d’un garage souterrain.

Il y en a encore des vestiges au château de Kerjean à environ 15 kms de chez moi route de Landivisiau

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La méridienne verte L’ART et l’écoloGIE



« Au passage du cap de l’an 2000, je sais qu’il y a eu plusieurs projets pour marquer cette étape. 

J’ai entendu parler d’arbres plantés le long d’un méridien.

Qui a eu cette idée ? » 

Initiés par le ministère de la Culture et de la Communication, différents programmes culturels 

ou sportifs avaient été prévus pour fêter le passage à l’an 2000. 

C’est dans ce cadre que celle que l’on appela la « Méridienne verte » fut imaginée par l’urbaniste et architecte Paul Chemetov. 

L’idée était de planter des arbres tout le long du méridien de Paris : 8 régions, 20 départements et 337 communes devaient être traversés. 

Différentes espèces (chêne pédonculé, hêtre, cèdre de l’Atlas, châtaignier, houx, if commun…) devaient matérialiser cette ligne imaginaire. 

Elle allait de Dunkerque, dans le Pas-de-Calais, à Prats-de-Mollo-la-Preste, dans les Pyrénées-Orientales.

Le choix du méridien de Paris comme fil conducteur était hautement symbolique.

En 1799, la toute jeune République française l’avait choisi pour déterminer la première mesure scientifique de l’heure et le système métrique. 

L’idée fut accueillie avec enthousiasme par les collectivités locales et mise en œuvre dès 1998. 

Un relevé des propriétés cadastrales fut effectué et des réunions de concertation eurent lieu avec les communes et les propriétaires privés concernés.

Ceux-ci restaient libres de planter l’arbre qui leur était offert. Pour certaines essences, des appels d’offres furent lancés en France mais aussi en Europe. 

Le 25 novembre 1998, Catherine Trautmann, alors ministre de la Culture et de la Communication,

 plantait le premier arbre à Saint-Martin-du-Tertre (Val d’Oise). 

Le budget total de l’opération fut fixé à 50 millions de francs, financé en trois tiers égaux par la Mission de célébration de l’an 2000, 

les collectivités territoriales et des partenaires privés. 

Ce tracé végétal fut également matérialisé par des médaillons métalliques fixés sur des bornes de béton d’un mètre de hauteur, 

sur des stèles ou accrochés aux murs.

Ce grand chantier se clôtura le 14 juillet 2000 par un pique-nique dans chacune des villes traversées. 

Entre deux et quatre millions de convives s’installèrent le long d’une même nappe à carreaux rouges et blancs mesurant près de 600 km.

Cet énorme banquet républicain faisait écho à celui des maires de France organisé un siècle plus tôt.

La Méridienne verte, doublée d’un chemin de grande randonnée, s’étend sur 1.200 km.

Certains arbres ont depuis été laissés à l’abandon et quelques médaillons ont subi les assauts des vandales, 

mais ce projet artistique reste dans les mémoires comme un des temps forts de ce nouveau millénaire.

Lola montez danseuse et courtisane


Qui était-elle ? 

À quelle époque a-t-elle vécu et qu’a-t-elle fait de sa vie ? »




Lola Montez s’appelait en réalité Marie Dolores Eliza Rosanna Gilbert.

Elle avait hérité des cheveux noirs bouclés de sa mère créole et du teint pâle de son père.

Son joli physique associé à un caractère bien trempé lui valut de s’imposer dans les salons mondains au XIXe  siècle.

Elle naît le 17 février 1821 à Grange, en Irlande. À l’âge de 16 ans, elle s’émancipe en épousant un jeune lieutenant,

Thomas James, qu’elle quitte cinq ans plus tard. C’est sous le nom de Lola Montez qu’elle se fait connaître, 

en dansant une tarentelle endiablée sur une scène londonienne. 

Séduit, Franz Liszt en fait sa maîtresse et l’introduit dans son cercle d’intellectuels.

Puis il l’emmène dans sa tournée européenne. Lola fume dans la rue et est arrêtée à Berlin. 

À Baden-Baden, elle connaît le même sort pour avoir provoqué un officier en duel, le blessant à l’épée.

Lassé de ses écarts de conduite, Franz Liszt la quitte. À Paris, la rebelle se voit interdire toute représentation par

la police de Louis-Philippe. Elle part en Bavière en 1846. Le roi Louis Ier de Bavière tombe sous le charme.

« Ce que Lola veut, Lola l’obtient » aime-t-elle dire. Sous son influence, le roi prend des mesures qui déplaisent au peuple. 

Contre l’avis de ses conseillers, il élève la jeune femme au rang de comtesse de Landsfeld. 

Cette relation est l’un des déclencheurs de la révolution de 1848 qui l’oblige à abdiquer. 

Lola fuit à Londres où elle est très mal accueillie. Elle épouse un officier assez aisé,

George Trafford Heald, mais à la mort de celui-ci, elle gagne les États-Unis à la fin de l’année 1851.

À New York, elle joue son propre rôle dans Betty la tyrolienne. En 1853, elle fait un mariage éclair avec un dénommé Patrick Hull 

avant de gagner l’Australie en 1855. Elle y présente une chorégraphie toute personnelle, la « spider dance » (danse de l’araignée).

La presse la condamne, car ses jupons qu’elle lève assez haut laissent entrevoir sa nudité. 

C’est munie d’un fouet qu’elle poursuit le rédacteur en chef du Ballarat Times Henry Seekamp pour mauvaise critique.

Après un passage à San Francisco en 1856, Lola s’installe à New York en 1860. Un accident vasculaire la laisse partiellement paralysée.

Ruinée, elle se réfugie dans la foi et rend son dernier soupir, le 17 janvier 1861, 

victime d’une pneumonie. Son corps repose au cimetière de Green-Wood dans le district de Brooklyn.

Elle renaîtra sous les traits de Martine Carol dans un film réalisé en 1955 par Max Ophüls.

Apprécier ce que l'on a !

Un jour, le père d'une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent.

Ils y passent quelques jours sur la ferme d'une famille qui n'a pas beaucoup à leur offrir.

Au retour, le père demande à son fils. : " as-tu aimé ton séjour? "

" C'était fantastique, papa ! "

"As-tu vu comment les gens pauvres vivent? " demande encore le père.

"Ah oui! " Répond le fils

" Alors qu'as-tu appris?"

Le fils lui répond " J'ai vu que nous n'avions qu'un chien alors qu'ils en ont quatre.

Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande crique.

Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles partout dans le ciel.

Nous avons une immense galerie à l'avant et eux ont l'horizon.

Nous avons un domaine mais eux ont des champs à perte de vue.

Nous avons des serviteurs alors qu'eux servent les autres.

Nous achetons nos denrées et eux les cultivent.

Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger. Eux ont des amis qui les protègent. "

Le père en resta muet.

Le fils rajouta: " Merci Papa de m'avoir montrer tout ce que nous n'avons pas ".

Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n'avons pas.

Ce qui est un objet sans valeur pour un peut très bien être un trésor pour un autre. Ce n'est qu'une question de perspective.

C'est à se demander ce qui arriverait si nous avions de la gratitude pour tout ce que nous avons au lieu d'en vouloir toujours plus.

Apprenez à apprécier ce que vous « avez ». 

Retrouvez vos yeux et votre cœur d’enfant et voyez combien il est important d’apprécier ce 

que vous avez plutôt que de vous soucier de ce que vous ne possédez pas.

Auteur inconnu

Pas du tout d'actualité !!!!!A côté de la plaque !!!!

J’apprécie ce que j'ai et je n'en demande pas plus ,mes enfants et petits enfants vont bien ce qui pour moi est le principal ,Bonne journée .

J o n g l e r   a v e c   l a   v i e

Imaginez la vie comme un jeu dans lequel vous jonglez avec cinq balles. 

Vous pouvez les appeler : Travail - Famille - Santé - Amis - Esprit . Vous jonglez avec ces balles. 

Vous comprendrez vite que le travail est une balle en caoutchouc ; si vous la laissez tomber, elle rebondit. 

Mais les quatre autres balles, Santé - Famille - Amis - Esprit, sont en verre.

Si vous en laissez tomber une elle va, à coup sûr, rester par terre, à vos pieds, se fendre, s'abîmer ou 

même être brisée, fracassée, détruite. Elle ne sera plus jamais la même.

Vous devez comprendre cela et être vigilant pour maintenir un équilibre entre chaque domaine de votre vie.

Comment ?

Ne sous-estimez pas votre valeur en vous comparant aux autres.

C'est parce que nous sommes tous différents que chacun de nous est spécial.

N'établissez pas vos buts en fonction de ce que les autres jugent important. 

Il n'y a que vous qui sachiez ce qui est important pour vous.

Ne considérez pas comme acquise les choses les plus proches de votre coeur.

Accrochez vous à elles, comme si votre vie en dépendait. Sans elles votre vie n'a pas de sens.

Ne laissez pas votre vie vous glisser entre les doigts, en vivant dans le passé ou le futur.

En vivant une journée à la fois, vous vivez TOUS les jours de votre vie.

N'abandonnez pas quand vous avez encore quelque chose à donner. 

Rien n'est jamais perdu tant que vous essayez.

N'ayez pas peur d'admettre que vous n'êtes pas parfait. c'est le fil fragile de notre imperfection qui nous relie les uns aux autres.

N'ayez pas peur de prendre des risques. C'est en prenant des risques qu'on apprend à être courageux.

Ne fermer pas votre vie à l'amour en disant que c'est impossible à trouver.

Donner est la façon la plus rapide de recevoir l'amour. Le moyen le plus rapide de perdre l'amour, 

c'est de le retenir trop fort et le meilleur moyen de garder l'amour, c'est de lui donner des ailes.

Ne traversez pas la vie en courant si vite que vous en oubliez, non seulement d'où vous venez, mais aussi où vous allez. 

N'oubliez pas que le plus grand besoin émotionnel d'une personne est de se sentir apprécié.

N'ayez pas peur d'apprendre. Le savoir n'a pas de poids, c'est un trésor que vous pouvez emmener partout avec vous.

Faites attention à ne gaspiller ni le temps ni les mots. Ni l'un ni l'autre ne peuvent êtres récupérés.

La vie n'est pas une course mais un voyage à savourer pas à pas.

Hier c'est de l'histoire.

Demain est un mystère.

Aujourd'hui est un cadeau.

C'est pour cela qu'on l'appelle le présent ".

Ce texte a été écrit par Brian DYON, PDG de la firme Coca Cola, et présenté lors d'un discours

à l'occasion de la remise de diplômes dans une université américaine, le 6 septembre 1991.

"La vie n'est pas une course mais un voyage à savourer pas à pas.

Hier c'est de l'histoire.

Demain est un mystère.

Aujourd'hui est un cadeau."

 
Et plus en avance en âge ,moins on est sûr du lendemain et heureux de profiter du temps présent !!!!!!

La peste et la peur 

La Peste était en route vers Damas et croisa à toute vitesse la caravane d'un chef dans le désert.

« Où allez-vous si vite ? S’enquit le chef. 

- À Damas, j'ai l'intention d'y prendre mille vies. » 

Au retour de Damas, la Peste croisa de nouveau la caravane. Le chef dit :

« C'est cinquante mille vies que vous avez prises, non mille. 

- Non, dit la Peste : j'en ai pris mille. C est la Peur qui a pris le reste.» (Anthony de Mello) 





Empoisonnement imaginaire de la nourriture

Un groupe de touristes immobilisés quelque part à la campagne reçurent pour toute nourriture quelques vieilles rations.

Avant de manger ces aliments, ils vérifièrent leur qualité en en jetant une portion à un chien,

qui sembla l'apprécier et n'en ressentit par la suite aucun mal. 

Le lendemain on apprit que le chien était mort. Tout le monde fut pris de panique.

Plusieurs se mirent à vomir et se plaignirent de fièvre 

et de dysenterie. On fit appel à un médecin pour venir  soigner les victimes d'un empoisonnement par nourriture. 

Le médecin commença par s'enquérir de ce qui  était advenu du corps du chien.

On fit enquête. Un voisin déclara tout bonnement :

« Oh, on l'a jeté dans un fossé, parce qu’il  avait été écrasé par une automobile. » 

Tu n'as rien de plus gai pour un Dimanche ????

La journée commence bien .

Désolé 

Un patient chez le psychiatre : 
  - Docteur, j'ai un problème. Tous les soirs, quand je suis au lit, j'ai l'impression
   qu'il y a quelqu'un caché dessous.
  Alors, je me relève pour regarder sous le lit et, bien sûr, il n'y a personne.
   Je me recouche, mais au bout d'un moment, je me dis que je n'ai peut-être pas bien regardé.
  Alors je me relève pour vérifier de nouveau, sans résultat bien entendu.
  Bref, j'ai beau me dire que c'est idiot, je ressens toujours le besoin de m'assurer
  que personne n'est caché sous le lit. Et ça dure toute la nuit !
Docteur, tout cela me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?
 
  Le psychiatre :
  - Hum... Je vois... obsessionnel compulsif... Comptez quatre ans
  d'entretiens de psychothérapie, à raison de trois séances par mois
  et je vous guéris de votre obsession
  Le patient :
 
 - Euh... Combien ça va me coûter, Docteur ? 
  Le psychiatre :
  - 90,00€ par séance, soit 270.00 €par mois,
 soit 3,240.00 € par an et donc  12,960.00 € au final.
 
  Le patient songeur :
- Euh... je crois que je vais réfléchir.
 
  Six mois plus tard, le psychiatre rencontre le type dans la rue, par hasard :
  - Alors ? Pourquoi n'êtes-vous jamais revenu me voir ?
  Le patient :
  C'est que  12,960.00 € alors que mon livreur de pizza m'a résolu
mon problème pour 40.00 € seulement.
  Le psychiatre vexé :
 
Votre livreur de pizza ?
Vraiment ?
Et comment a-t-il fait ?
 
  Le patient :
  - Il m'a conseillé de scier les pieds de mon lit !
Bonne journée Docteur.
 
 

Je préfère !!!!!!