Bonjours & et Bonsoirs Février 2018

Rappel du premier message :

 
 
 
 
Pourquoi le mois de février n’a-t-il que 28 jours ?

Une année fait 365 jours, il était donc possible en faisant des mois de 30 et de 31 jours de retomber sur nos pattes… et bien non,
c’est le mois de février qui se sacrifie et ne présente que 28 jours 3 années sur 4.
Cela n’est finalement du qu’à une question de jalousie!
 
Notre calendrier est grégorien, il est issu du calendrier julien dont le mois de février était le dernier et comportait 30 jours.
L’empereur Auguste, qui a donné son nom au mois d’août, voulait que son mois soit aussi long que celui de Jules César, le mois de juillet, qui comportait 31 jours.
Auguste a donc décidé de prendre un jour au dernier mois du calendrier julien et de la rajouter au mois d’août : février – 29 jours, août – 31 jours.
Le calendrier grégorien a juste changé l’ordre des mois et février est devenu le deuxième mois de l’année.
 
A cette époque le calendrier julien comportait donc systématiquement 366 jours.
Pour rectifier le tir et respecter la durée de la révolution de la Terre autour du  Soleil (365,24 j.), un jour supplémentaire a donc été enlevé à février, déjà écourté, 3 années sur 4.
 
Origine et histoire du mois de février
 
Le nom février vient du latin februarius, de la même famille que le verbe februare qui signifie purifier.
Dans les premiers calendriers romains, l'année commençait en mars, et les mois de janvier et février étaient donc absents des calendriers.
C'est vers 700 avant JC que le roi de Rome Numa Pompilius ajouta dans les calendriers les mois de janvier et février. Le mois de février comptait alors 28 jours, et c'était le dernier mois de l'année.
Vers 450 avant JC, pour tenir compte du fait que l'année ne fait ni 365 jours, ni 366 jours, mais environ 365,25 jours, le mois de février comptait 23, 24, ou 28 jours, et, dans le cas ou il comptait 23 ou 24 jours, l'année comportait 13 mois avec l'ajout du mois de mercedonius.
Depuis l'arrivée du calendrier julien, en 46 avant JC, le mois de février compte 28 jours les années non bissextiles, et 29 jours les années bissextiles.
Depuis l'arrivée du calendrier grégorien, la régle pour savoir si une année est bissextile est la suivante : une année bissextile est soit divisible par 400, soit divisible par 4 mais pas par 400. Ainsi les années 2000, 2012, 2016 et 2400 sont bissextiles, alors que les années 2100, 2200 et 2300 ne le sont pas. Cette régle permet d'approcher au mieux la durée réelle de l'année, avec une durée moyenne de 365,2425 jours.
Le mois de février ne compte pas de jours fériés dans la plupart des pays francophone, mais plusieurs fêtes sont cependant célébrées :
- La fête de la Chandeleur le 2 février : c'est une fête religieuse, mais c'est aussi le jour où, par tradition, on mange des crèpes.
- La Saint Valentin le 14 février : c'est la fête des amoureux et de l'amitié.
Le nouvel an chinois, qui est aussi le premier jour de la fête du printemps, tombe toujours entre le 21 janvier et le 20 février du calendrier grégorien, et a donc souvent lieu en février.
 
 
Le mois de février
 
Historique :
 
Le mois de février est le deuxième mois du calendrier grégorien et julien.
Son nom vient du latin februarius en l’honneur de Februa. À l’époque antique, il fut le dernier mois de l’année dans le calendrier romain (à l'époque, le calendrier débutait au mois de mars).
 
C’est le mois le plus court de l’année, le seul à compter moins de 30 jours. La raison est historique et vient du calendrier julien : pour rendre hommage à Jules César et à l’empereur Auguste, un jour supplémentaire a été ajouté de façon permanente aux mois de juillet et août, et retiré à février, portant le mois à 28 jours au lieu de 30.
 
C’est donc le seul mois de l’année à avoir un nombre de jours variable selon les années :
 
28 jours le plus souvent, pour les années non bissextiles
29 jours les années bissextiles
 
 
Célébration de février :
 
Le mois de février est connu pour la Saint-Valentin, fête des amoureux. Elle se célèbre chaque année le 14 février. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d'amour ainsi que des roses rouges qui sont l'emblème de la passion.
De plus, c'est au mois de février, précisément le 2 février que l'on peut déguster les fameuses crêpes de la Chandeleur ! On dit aussi que les crêpes, par leur forme ronde et dorée, rappellent le disque solaire, évoquant le retour du printemps après l'hiver sombre et froid.
 

 
De nombreux proverbes sont également associés à la Chandeleur. En voici quelques-uns :
 
À la Chandeleur, l'hiver se meurt ou prend vigueur.
À la Chandeleur, le jour croît de deux heures.
À la Chandeleur, grande neige et froideur.
À la Chandeleur, le froid fait douleur.
À la Chandeleur, au grand jour, les grandes douleurs.
À la Chandeleur, Quéré fait des crêpes jusqu'à pas d'heure.
Si la louve se met au soleil, le 2 février : six semaines d'hiver derrière.
     
Rosée à la Chandeleur, l'hiver a sa dernière heure.

 

Pour une fois que nous avons des compliments

Frida ,je ne parlais pas du tout de nos relations personnelles sur le forum.Mais d'une façon impersonnelle  à propos de notre forum.Nous ne vous voyons pas beaucoup ,mais je crois comprendre que vous avez quelques ennuis de santé et vous passez régulièrement nous dire un petit bonjour !

Nous n'en demandons pas plus !!!Bonne soirée !!!

merci à vous c'est super gentil

il faut rire beaucoup sinon on pleurerait trop ! Alors rions même si la santé n'est pas là le temps vécu est déjà très important 
Demain c'est demain jr=e profite de chaque instant allez chaque jour chaque semaine

b bisous à vous

Il ne faut pas hésiter à venir parler ici ou dans la partie privée, premier sujet du forum .

Ou dans le nombre de sujets proposés,si vous avez un commentaire à faire ou une expérience à partager !

 
 

 
 
La course au bien-être dans le Grand Est
 
En Lorraine, en Franche-Comté comme en Bourgogne, jamais le marché du bien-être ne s’est aussi bien porté.
Les techniques asiatiques revisitées envahissent les salles de gym.
Même la marche ne se pratique plus seulement un pied devant l’autre, dans les Vosges notamment.
 

 
 

 
 
 

 
 

 
Pour faire face à une vie trépidante, les gens cherchent à se déconnecter et pratiquent de plus en plus des activités de bien-être.
 
 
Par Jean-Marc TOUSSAINT
Je vous propose de fermer les yeux. On oublie ce qu’on a fait aujourd’hui. On se détend, on respire en écoutant son corps. On se relie aux Rishis de l’Inde ancienne pour recevoir leur force », énonce, d’une voix douce et monocorde, Adriana Gazziero, maître reiki, euphoniste énergéticienne qui se définit elle-même comme « coach du bien-être ». Nous sommes à l’espace culturel Montrichard à Pont-à-Mousson (54). Autour d’elle, une dizaine de personnes sont assises en rond, sur des chaises, le visage impassible, les bras posés sur les genoux ou pendant le long du corps. Puis l’animatrice invite chacun à réfléchir « à une douleur, un problème physique, une gêne ». « Nadine, tu peux nous dire quel est ton problème ? » Nadine lève ses yeux fatigués. Elle a un mal de tête carabiné depuis la veille au soir « et les médocs n’y ont rien fait ». Adriana et ses disciples vont donc l’aider dans sa quête de mieux-être. À l’unisson, le groupe percute avec ses doigts sept points d’acupuncture situés entre le sommet du crâne et le plexus abdominal, « pour harmoniser le corps, le cœur et l’esprit ». Le tout en répétant à haute voix « mal de tête frontal » des dizaines de fois. Pour qui n’est pas familier avec ces pratiques, cette méthode psychocorporelle, axée sur le déblocage des énergies, peut paraître un brin ésotérique. C’est pourtant quelque chose de plus en plus répandu, dans les salles de gym et autres maisons de loisirs où se développent le yoga, la méditation, le tai-chi, le reiki, le stretching, le qi gong, la sophrologie, le Feng shui… L’offre est aussi variée qu’abondante. Et comme souvent en pareil cas, il faut savoir séparer le bon grain de l’ivraie.
 

 
Adriana Gazziero et ses élèves lors d'une séance psychocorporelle axée sur le déblocage des énergies, organisée à l'espace Montrichard de Pont-à-Mousson (54).
 
 

 
Adriana Gazziero est maître reiki, euphoniste énergéticienne. Elle se définit comme " coach du bien-être".
 
 
Adriana Gazziero est une ancienne secrétaire médico-sociale qui s’est toujours passionnée pour ces techniques de bien-être, venues d’Asie. Un peu avant de prendre sa retraite, elle a suivi les enseignements d’Idriss Lahore à la Libre Université du Samadeva, au Hohwald, dans les Vosges alsaciennes. Depuis, elle diffuse gracieusement son savoir, notamment au centre Montrichard à Pont-à-Mousson, mais aussi au sein de l’association France dépression. Cet engouement pour le bien-être, tant physique que psychique, on le retrouve pêle-mêle dans l’explosion des spas, des centres de massage, la pratique contemplative pour se reconnecter à la nature, ou encore l’attention de plus en plus grande portée à l’alimentation. Mais aussi dans la pratique du jeûne, « pour purifier le corps et l’esprit ». Partout ces nouvelles pratiques gagnent du terrain, y compris dans le monde de l’entreprise où la méditation a fait une entrée discrète. Parallèlement, les demandes de retraite d’une à trois semaines en été à l’abbaye de Cîteaux (21), ou au temple bouddhiste Kosan Ryumon Ji en Alsace, n’ont jamais été aussi nombreuses. « À tel point qu’on est obligé de refuser du monde », souligne frère Benoît, le moine fromager de Cîteaux.
 
La marche permet de rendre son corps à la sensorialité du monde
Ces recherches multiples ont toutes les mêmes origines : elles cherchent à combler un manque de repères ou simplement un besoin grandissant de souffler, dans une société où l’individu se sent de plus en plus pressé comme un citron. Certaines personnes ont du mal à s’adapter au mode de vie de notre civilisation moderne. Elles se sentent débordées par les progrès techniques et par une vie sociale et professionnelle qui tend à gommer l’individu. Plus généralement, nous sommes de plus en plus stressés, à la recherche d’espaces et de techniques pour régénérer notre corps et notre esprit. « Si elles ne sont pas prises en compte, ces difficultés vont générer des blocages énergétiques et se traduire par des douleurs lombaires, des maux de tête, des éruptions de bouton. Comme si le corps nous disait ce qu’on ne fait pas bien », résume Adriana Gazziero, qui rappelle que ces techniques très anciennes ont été enseignées dans les écoles de sagesse de l’Inde depuis plusieurs millénaires.
 

 
" Les gens ont de plus en plus besoin de se déconnecter, de se couper de leur quotidien, alors ils marchent ", explique Alain Niquet, accompagnateur de moyenne montagne dans les Vosges.
 

 
La marche nordique a relancé les disciplines pédestres. Depuis cinq ans, le nombre de licenciés augmente de 3% par an.
 
 
À quelques encablures de là, sur les hauteurs du massif des Vosges, Alain Niquet, accompagnateur de moyenne montagne, observe sensiblement le même phénomène, avec des réponses toutefois très différentes. « Les gens ont de plus en plus besoin de se déconnecter, de se couper de leur quotidien, alors ils marchent », raconte-t-il. Les marcheurs (pas ceux qui courent derrière Macron, les autres) seraient 5,5 millions à pratiquer cette activité régulièrement. « Il y a un véritable engouement. Depuis cinq ans, le nombre de nos licences augmente d’environ 3 % par an », explique-t-on à la fédération française de randonnée. Dans cette humanité assise et immobile, la marche permet de rendre son corps à la sensorialité du monde, à une relation physique qui en prime anime et avive l’esprit. Pour y parvenir, Alain Niquet s’est mis à la marche afghane. Pourquoi afghane ? Parce qu’elle a été découverte en Afghanistan au début des années 80 par Édouard Stiegler, un médecin français. « Il était en randonnée dans les montagnes afghanes quand il a croisé une caravane. Les hommes venaient de parcourir 700 km à pied en 12 jours et ils étaient tous d’une fraîcheur étonnante. Il les a suivis, observés. Il s’est aperçu que ces marcheurs-là usaient de complexes techniques de respiration en fonction de leur effort, qu’ils adoptaient des postures différentes. Et que cette marche soulageait grandement les articulations, réduisait le poids du corps sur les pieds en faisant davantage travailler les fessiers, oxygènait mieux les cellules… », précise Alain Niquet. Tombés aux oubliettes, ces travaux ont refait surface il y a quelque temps. Alain Niquet les a remis au goût du jour, avec le sophrologue Daniel Zanin. Et là aussi, il est question de bien-être. Car la marche afghane a des effets décuplés sur la santé. « On a pu montrer qu’elle permettait d’augmenter la capacité respiratoire des malades de la silicose », explique Alain Niquet, qui cherche désormais à établir un programme pour proposer cette technique de marche aux médecins prescripteurs.

Mais où vas-tu nous amener Roberto ??????Pas pour moi !Non merci !

J'ai appris à détester ces groupes de marcheurs à bâtons qui te croisent sans un regard,te forcent à descendre du petit sentier pour les laisser passer ;qui papotent entre eux sans un regard pour le paysage qu'ils traversent !!!!

Je préfère ma petite marche tranquille et solitaire ,éventuellement avec mon appareil photo !!!!

Mais nous ne parlons peut-être pas de la même chose !!!!

D'accord avec Marie Hélène,ces petits groupes de vieux équipés pour la haute montagne sont arrogants et occupent le terrain,tout le terrain avec sans gêne. De plus je le vois à Groix ,ils forment le soir au restaurant une tablée bruyante. Comme Scapin je leur collerais bien un bon coup avec leurs bâtons.

Je ne suis pas non plus un adepte de la marche en groupe .
Je serais plutôt un "loup" solitaire ....

 
 
 
 
 
 

La pensée du jour VŒUX PIEUX......

 
 

 
 
En Alsace, un hôpital au chevet de la faune sauvage
 
1.600 animaux blessés ou abandonnés ont été accueillis l’an dernier au centre de sauvegarde de Neuwiller-lès-Saverne (Bas-Rhin).
Deux tiers d’entre eux retrouvent le milieu naturel au terme de cette captivité forcée.
 

 
 

 
Prise en charge d’une chouette hulotte victime d’un accident.
 
Par Jean-Marc TOUSSAINT
Cette chouette hulotte est arrivée il y a cinq jours, avec un traumatisme crânien. Elle a tapé une voiture », explique Graziella Tenin, responsable animalière du centre de sauvegarde de la faune sauvage de Neuwiller-lès-Saverne, le seul refuge du genre pour l’Alsace et la Lorraine, implanté au cœur du parc régional des Vosges du Nord. L’oiseau blessé, installé au calme et à la chaleur sous une lampe, a un œil gonflé et quelques plaies encore visibles. Nous sommes dans la salle de soins du centre, là où sont dispensés les premiers secours et accueillis les juvéniles ayant besoin d’un nourrissage assisté. Il y a là une jeune foulque de trois semaines, un hérisson encore nourri à la seringue et un écureuil. Sur un tableau lumineux, quelques radiographies sont affichées. Sur un plan de travail, des boîtes de médicaments sont soigneusement alignées. L’an dernier, ce centre, l’un des 42 existants en France, a accueilli 1.600 animaux, exclusivement des oiseaux et des petits mammifères. C’est deux fois plus qu’il y a cinq ans.
 

 
Le Centre de sauvegarde la faune sauvage dispose de grandes volières qui servent notamment à l'accueil des cigognes.
À leur arrivée, les animaux sont pris en charge par un soigneur. Quand les blessures sont graves, il est fait appel à un vétérinaire qui opère, pose des broches, soigne ce qui peut l’être. Les soins sont suivis d’une période de convalescence, puis de rééducation, de plusieurs mois parfois, pendant laquelle les animaux refont du muscle. Parallèlement à cette activité clinique, le centre assure également l’élevage des juvéniles recueillis et incapables de se nourrir seuls. Les volières, de 20 à 35 m de long, et les box sont spécialement équipés pour permettre aux orphelins d’apprendre à chasser des souris vivantes. La volière à chauve-souris est équipée d’un éclairage ultraviolet pour attirer les insectes pendant la nuit et tester l’aptitude à la prédation des chiroptères. « Les animaux sont relâchés quand ils sont à 100 %, ce qui implique pour les jeunes un temps d’apprentissage pour la recherche de la nourriture. D’ailleurs, on ne relâche pas un animal, mais un reproducteur potentiel », nuance Guy Marchive, directeur du centre. 70 % des oiseaux accueillis sont relâchés contre 58 % pour les mammifères. En moyenne, ils restent cinq à six semaines au centre. « Les animaux incapables de retourner dans le milieu naturel ne sont pas gardés. Ils sont euthanasiés pour éviter toute souffrance inutile. Il y a tout de même quelques exceptions. Les espèces rares, mais aussi des spécimens pilotes qui vont aider à rassurer les nouveaux arrivants, à réduire leur stress et donc à faciliter le nourrissage. Le rôle du centre est également de recenser les causes de blessures, afin de pouvoir proposer des solutions permettant de les faire régresser. « Nous formons également les professions relais (pompiers, gardes ONF…). Dans le cadre de saisies et sur réquisition des autorités, nous sommes également amenés à accueillir temporairement des animaux exotiques », précise Guy Marchive. Fondé au début des années 80 pour lutter contre la disparition annoncée du faucon pèlerin, le centre de sauvegarde alsacien a depuis largement étendu ses activités. « Il recueille aussi bien des chats sauvages que des loirs, des rapaces ou des échassiers », souligne Graziella Tenin. Le centre relâche ainsi une cinquantaine de cigognes chaque année.

 


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

]


" L'esprit est tout. Ce que tu penses, tu le deviens. "
Bouddha

J'ai beau penser que je suis une jeune et belle vahiné sur la plage ou un lagon....Rien nada...Je suis toujours une vieille en robe de chambre en train de pianoter sur le clavier de l'ordinateur !

Marie-Hélène a écrit:

J'ai beau penser que je suis une jeune et belle vahiné sur la plage ou un lagon....Rien nada...Je suis toujours une vieille en robe de chambre en train de pianoter sur le clavier de l'ordinateur !

Pourtant il y a des solutions,

la preuve :

 
 

 
Aujourd'hui : "Un géant dans la ville"
Où l’on apprend qu’il est possible de tomber du ciel pour atterrir au Havre.
 

 
Royal de Luxe, Le Géant tombé du ciel, 1993, Le Havre Royal de Luxe
 
 
1993. Un mystère plane au Havre… Sur les murs de la ville, ce message vient d’apparaître : "Il était une fois un géant qui vivait dans les nuages. Un jour, il tomba du ciel sur un boulevard".
Intrigant ! Qu’est-ce que cela signifie ?
 
Les Havrais ont la réponse peu après. Un matin, dans une rue, ils découvrent un géant de 9,5 mètres, allongé au sol et ligoté.
Il dort paisiblement, sa poitrine se soulève au rythme de sa respiration.
Une armée d’hommes vêtus de rouge, qu’on appelle les "Lilliputiens", s’affaire autour de lui.
 

 
Royal de Luxe, Le Géant tombé du ciel, 1993, Le Havre, photo : Gérard Lecompte
 
Cette œuvre gigantesque est celle de la compagnie de théâtre Royal de Luxe. À l’époque, elle est déjà connue pour ses spectacles en plein air.
Mais c’est la première fois qu’elle présente au Havre cette immense marionnette de bois articulée.
 
Les "Lilliputiens" l’animent à l’aide de câbles, pour la faire cligner des yeux ou boire. Une vraie performance artistique !
Devant tant de réalisme, on oublie vite que le géant n’est qu’une marionnette…
 

 
Royal de Luxe, La visite du Sultan des Indes sur son éléphant à voyager dans le temps, 2006, Le Havre, photo : Erik Levilly - Royal de Luxe
 
Pendant plusieurs jours, le géant se balade dans les rues du Havre.
Pour Royal de Luxe, l’objectif est atteint : la compagnie veut faire tomber les murs du théâtre pour offrir un spectacle gratuit, à l’échelle de la ville.
Toute une foule de spectateurs peut partager la même émotion.
 
Quand le géant quitte Le Havre, ses aventures sont loin d’être terminées.
Il est désormais connu dans le monde entier, et vient régulièrement rendre visite aux Havrais. L’occasion d’émouvantes retrouvailles !

 
 
 

 
 
Au fil de l’âme russe
 
Le Mékong en 2017 et la Russie l’an prochain. Du 6 au 17 septembre 2018, les Lecteurs Voyageurs mettront le cap sur une nouvelle destination au long cours.
De Moscou à Saint-Pétersbourg, deux mythes.
 
 
 

 
 
 

 
 
 
 

 
 
 

 
Après le succès du Mékong cette année (deux bateaux privatisés en septembre et décembre pour des voyages VIP de soixante personnes), le club des Lecteurs voyageurs propose une nouvelle destination inédite au long cours : la Russie. Au départ de Moscou (vol depuis Paris) et à destination de Saint-Pétersbourg, le voyage conduira les passagers des journaux (L’Est Républicain, Le Républicain Lorrain et Vosges Matin) à travers les légendaires immensités du plus étendu pays du monde (17 millions de km² ). Neva, Volga et, accessoirement, un peu de vodka. Ce circuit-croisière de 12 jours et 11 nuits (du 6 au 17 septembre 2018, une période où la forêt prend toute sa couleur) sera une nouvelle fois proposé à des tarifs négociés et inférieurs à la brochure (à partir de 2.949 euros tout inclus). La croisière s’effectuera à bord du Rostropovitch, un confortable bateau (5 ancres). Une sage précaution. Tant les bâtiments russes ont parfois la réputation de ne pas être à la hauteur de leurs homologues occidentaux.
À n’en pas douter, il s’agira d’un voyage dans l’espace et le temps. Moscou (plus de 10 millions d’habitants) pour commencer. Pour ceux qui ont grandi avant la chute du mur de Berlin, la découverte est forcément mythique. Parce qu’il y a là la place Rouge (en russe, l’adjectif a deux sens : la couleur et beau) ou bien encore le Kremlin, ex-temple du pouvoir soviétique… qui a toujours abrité de superbes églises. Mais les temps ont changé. Le Gum, jadis magasin d’État aux rayons vides, accueille aujourd’hui des boutiques de luxe. Dans l’attente de la Coupe du monde de football de l’an prochain, la ville fait d’ailleurs peau neuve.
la Venise du Nord dévoile un charme incroyable le long de ses canaux
À l’autre bout du voyage, place à sa majesté Saint-Pétersbourg (5,2 millions d’habitants). Pendant deux siècles, celui de la splendeur des Romanov, la métropole la plus septentrionale du monde fut la capitale du pays. Construite par Pierre le Grand sur un marécage pour devenir « une porte ouverte sur l’Europe », la Venise du Nord dévoile un charme incroyable le long de ses canaux, de ses ponts, de cette Neva gelée une bonne partie de l’hiver et de ses palais chargés d’histoire. Étonnant dans une ville qui, dit-on, ne connaît que soixante jours par an sans pluie, tout est lumière. Avec 1.000 salles, 60.000 pièces exposées et trois millions d’objets en réserve, l’Ermitage, où se bousculent les Rembrandt, Titien, Léonard de Vinci et les touristes japonais, est tout simplement le plus grand musée du monde. La ville des nuits blanches (de fin mai à début juillet) recèle des merveilles. Comme cette étonnante cathédrale du Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé dont les bulbes ressemblent à des sucres d’orge, le château de Peterhof, le Versailles russe ou la forteresse Pierre-et-Paul dont la flèche dorée perce le ciel pétersbourgeois.
Un peu plus de 700 km séparent les deux villes. Le passage par les lacs Onega et Ladoga, le détour par l’île de Kiji et sa surprenante église de bois, les arrêts à Ouglitch, Mandrogui et Goritsy allongent le trajet. Il y a près de 1.500 km à parcourir. Ce qui laisse le temps au regard de flâner au milieu de paysages immenses. Là où se nimbe la fameuse âme russe.

 
 
 
 
 
 

Mais comment c'est fait ces dessins sur café

Bonjour à tous et bonne semaine sous un soleil radieux et un ciel bleu magnifique .


Mais glagla - 10 chez moi .

Latte art .


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Marie-Hélène a écrit:

Mais comment c'est fait ces dessins sur café

Sur la mousse sans doute ...

Il faut tout de même un équipement spécial


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]