Le cerchois de mes tristes yeux
La Verité aux aspres lieux,
Quand de cette obscure tasniere
Je vis resplendir la clarté
Sans qu’il y eust autre lumière :
Sa lumière estoit sa beauté.
J’attache le cours de mes ans
Pour vivre à jamais au dedans :
Mes yeux, de la première veüe,
Bien que transis et esplorez,
L’eurent à l’instant recognuë
A ses habits tout dechirez.