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| En Attendant Noël ....... | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: En Attendant Noël ....... Sam Nov 30 2019, 07:55 | |
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| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Sam Nov 30 2019, 10:00 | |
| Normal de parler de Noël en ce moment,nous entrons dans l’Avent ,dimanche prochain,quadragésime. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Sam Nov 30 2019, 10:09 | |
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| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Sam Nov 30 2019, 11:17 | |
| Maintenant le black friday que cette saloperie d’Amazon nous a apporté des USA dans toute l’Europe. En fait Thangsgiving est le jour férié le plus important et le lendemain,blackfriday est le lendemain et consacré aux achats. En Europe ça n’a aucun sens. Il faut dire que les occidentaux ont exporté Noël en Asie. Au Japon c’est comme le blackfriday,une frénésie consommatrice. Les humains n’ont plus de repères et courent partout comme des canards sans tête. | |
| | | Rosie
Messages : 43939 Localisation : Danizy
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Sam Nov 30 2019, 11:54 | |
| Ben je fais partie de celles qui a profité du black fridey ,et qui commande chez Amazon ,chacun est libre de faire ce qu'il a envie ,je ne sais plus quel ministre a avoué commander chez Amazon car ce qu'il voulait il ne l'avait trouvé nul part ailleurs . J'ai rhabillé mes 2 petits ,moins 40/ 100 de réduction n'est en aucun cas négligeable .À savoir qu'il n'y a pas d'arnaque comme disent les écolos qui ont empêché l’accès d'Amazon ,longtemps à l'avance j'ai suivi ce que j'allais acheter .
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Dim Déc 01 2019, 00:25 | |
| LE NOEL DU SOIXANTE HUIT L'histoire se passa à l'époque où les tramways marchaient à vapeur ! Les engins étaient dotés de chasse-corps en bois pour écarter les imprudents, notamment les femmes qui, chaussées de talons-hauts, chutaient après s'être pris les pieds dans les rails. En hiver, quand le Mistral soufflait, il faisait froid, et les tramways n'avaient pas de pare-brise. Le wattman, pour se protéger était tout emmitouflé, d'où son surnom de peau de bique. L'un de ces conducteurs de tram s'appelait Martin. Il oeuvrait sur la ligne du 68, qui dessert la rue Saint-Pierre à Marseille. C'était un gentil garçon, souriant, serviable, intelligent et de fort bonne allure. Il aimait sa voiture et se comportait avec les passagers comme s'ils eussent été ses invités : Martin aidait les personnes âgées à monter et à descendre. Il oubliait de faire payer les enfants, acceptait que Fraissinette, la jolie poissonnière, encombrât les allées de ses banastes (panières), que le gros cordonnier du boulevard Baille occupât trois places, que la vendeuse de limaçons fît paître son petit monde sur les banquettes, que la marchande de brousses du Rove égouttât son fromage par les portières, que la répétière (marchande) pèle ses oranges dans les allées. Et puis il y avait aussi le vieux monsieur qui ne voulait point être assisté lorsqu'il prenait le tram. Il s'asseyait à l'arrière, au tout petit matin, et ne quittait la voiture qu'à l'heure de la fermeture. Il avait une grande cape, un chapeau-claque et une lavallière à pois. Un petit singe se tenait sur son épaule droite. Le vieux monsieur souriait de longue (sans cesse). Le soir, au moment de quitter le tram, il claquait dans ses doigts, et la voiture se retrouvait aussi propre que le matin. plus aucune trace baveuse de limaçon, pas plus que de peaux d'orange dans les allées, ou d'odeurs de poissons... Les passagers du 68 l'avaient surnommé le magicien ! Les attentions de Martin pour les voyageurs avaient pour effet de contrarier sérieusement la rigueur des horaires. Et que dire de la recette dérisoire en fin de journée ! Cela ne pouvait que déplaire au responsable du dépôt. Un homme sérieux que ce chef-là ! Pour l'état civil il s'appelait monsieur Grinchonin, mais tout le monde lui disait Capdebouc (tête de bouc). Il portait des lorgnons et était fier de sa barbichette soigneusement entretenue. Après plusieurs rappels à l'ordre et au règlement, Capdebouc informa le jeune homme qu'il le congédierait s'il prenait encore une seule fois du retard sur l'horaire. C'était le matin d'un vingt quatre décembre ! Martin eut beau dire que ce soir c'était Noël, l'autre lui tendit le règlement et lui demanda de chercher lui-même le chapitre, l'article, l'alinéa où il était question d'éventuelle dérogation quant au respect des horaires pour cause de nativité... Pour mieux s'assurer que Martin outrepasserait bien les consignes, Capdebouc décida d'accompagner le wattman toute la journée. Le jeune homme prit le temps d'aider les personnes âgées qui montaient ou descendaient de voiture ; puis, la rage au coeur, il fit payer leur place aux enfants, demanda à Fraissinette, la tendre poissonnière de ne point encombrer les allées de ses banastes. Il imposa triple tarif au gros cordonnier du boulevard Baille, pria la marchande de limaçons de les tenir enfermés dans leur caisse, recommanda à la marchande de brousses du Rove de ne pas les égoutter par les fenêtres, et à la répétière de ne pas laisser traîner de peaux d'orange... Les uns, les autres, regardaient Martin, puis Capdebouc. Ils hochaient la tête en souriant, et obtempéraient sans rien dire. Tout cela sous le regard du vieux monsieur qui avait mis sa plus belle cape, un tout nouveau chapeau-claque et une magnifique lavallière à pois. Le chef de dépôt trouvait cet accoutrement de bien mauvais goût. Un homme de son âge ! Avec un petit singe sur l'épaule droite... Mais le monsieur souriait comme d'habitude, en observant Martin, et ne prêtait aucune attention à Capdebouc. Le chef de dépôt enrageait : il s'était promis de congédier Martin le jour-même ; mais il ne trouvait rien à redire : le tram n'avait pris aucun retard sur l'horaire. L'aigrelet barbichu décida donc de provoquer l'incident qui servirait de prétexte au licenciement. En fin de soirée, alors que les habitués étaient rassemblés pour le retour vers la Conception, Capdebouc remplaça la bouteille thermos par une autre qu'il avait sabotée : un trou minuscule laissait s'échapper la vapeur, si bien que le tram tomba en panne rue Saint-Pierre. - Vous êtes mis-à-pied, mon petit, jubilait le barbichu, mis-à-pied... Ce fut alors que le vieux monsieur intervint. C'était bien un magicien qui, originaire de la lointaine Armorique, avait beaucoup voyagé avant de prendre sa retraite à Marseille. - Laissez-moi voir ça ! dit-il en se penchant sur le boggie. - On ne touche pas au matériel de l'administration, hurla en trépignant Capdebouc. Mais le vieux monsieur n'avait cure des hurlements du chef de dépôt. Il décrocha la bouteille thermos, l'examina et probablement au moyen d'une formule magique, boucha le petit trou. Puis il souffla dans le goulot, et replaça la bouteille. Martin remit le tramway en marche, et la voiture redémarra : jamais elle n'avait aussi vite et aussi bien roulé. Tout le monde applaudissait le vieux monsieur : Fraissinette, la belle poissonnière, le gros cordonnier du boulevard Baille, la vendeuse de limaçons, la répétière... Tout le monde, à l'exception de Capdebouc qui aboyait : - Cela n'est pas réglementaire, vous êtes mis-à-pied, mon petit, mis-à-pied ! Mais Martin s'en moquait, et riait avec les passagers. Touché par la démonstration de sympathie dont il était l'objet, le vieux monsieur salua bien bas. Il prit un peu de poudre dans son chapeau-claque, et le jeta sur les passagers. Des milliers d'étoiles scintillèrent dans la voiture et se posèrent sur les uns et les autres ! La Bonne-Mère n'en crut pas ses yeux : le 68 décollait pour survoler la ville ! Capdebouc s'étranglait : - C'est interdit par le règlement, vous êtes mis-à-pied, mon petit, mis-à-pied. Le vieux monsieur sembla enfin remarquer le chef de dépôt : il prit la peau de bique qui était posée au dos du siège du conducteur, et la jeta sur Capdebouc en lui disant : - Désormais tu mériteras ton nom ! Et le digne chef de dépôt, transformé en un bouc à barbichette et à lorgnons, bêla : - Misapièèèèèè ! Misapièèèèèè! Cette année-là le père Noël était bien fatigué. Le 68 le rencontra... Ils sympathisèrent, là-haut, dans le ciel marseillais. Et à minuit, ils étaient heureux ceux qui distribuèrent les cadeaux aux enfants de la cité phocéenne : un gentil wattman, souriant et serviable, qui considérait ses passagers comme des invités, une jolie poissonnière qui encombrait à nouveau de ses banastes les allées du tram, un gros cordonnier qui riait et occupait trois places, une marchande de limaçons qui laissait paître son petit monde sur les banquettes, une marchande de brousses du Rove qui en profitait pour les égoutter par la fenêtre, une répétière qui, emportée par l'enthousiasme, jetait des oranges dans les cheminées. Pendant qu'un vilain bouc bêlait : - Misapièèèèèè ! Misapièèèèèè ! Capdebouc, au matin, retrouva son aspect ordinaire. Après tout, c'était Noël ! La leçon lui fut profitable : il n'embêta plus jamais Martin... Le vieux monsieur reste (demeure) toujours à Marseille. Vous le rencontrerez peut-être un jour, avec sa grande cape, son chapeau-claque, sa lavallière à pois et son petit singe sur l'épaule droite... Maintenant il préfère se déplacer en métro ! Quant au gentil wattman, il épousa Fraissinette, la belle poissonnière, et ils eurent de bien beaux minots. Jean-Claude RENOUX
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Lun Déc 02 2019, 08:40 | |
| En attendant Noël Il fallait s’en douter, des mois de l’année, Décembre est le préféré des enfants. Dès le premier jour, dans le calendrier Ils découvrent leur surprise de l’Avent. Petit à petit on décore les maisons, On prépare sa liste de cadeaux, On sort les guirlandes des cartons Afin que le sapin soit le plus beau ! Puis on écrit sa lettre au Père Noël En espérant avoir été bien sage. Cette année encore, la fête sera belle Et le traineau magique fera son voyage. Enfin, après une belle nuit de réveillon, Y aura-t-il des cadeaux sous le sapin ? On se précipite, on fait des bonds, Super ! Des jouets, il y en a plein !!! Karine Persillet |
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| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Mar Déc 03 2019, 07:43 | |
| Pourquoi les crocodiles ne mangent pas les poules ?
(AFRIQUE)
Une poule... Une poule avait pour habitude de descendre chaque jour au bord de la rivière afin d’y chercher de la nourriture. Un crocodile la regardait l’estomac envieux de la voir si grassouillette. Un jour, le crocodile vient près d'elle et menace de la manger mais la poule s’écrie : - Frère, O mon frère, ne faites pas cela ! Le crocodile en est si troublé qu'il s'en va, pensant qu'il pouvait bien être le frère de la poule. Chaque matin, il revient près de la rive la rive, bien décidé à faire de la poule son repas. Chaque matin, la poule se met à crier : - Frère, O mon frère, ne faites pas cela ! Et le crocodile s’en va en maudissant la poule.
Comment puis-je donc être le frère de cette poule, se demande un jour le crocodile ? Elle vit sur la terre, et moi je vis dans l'eau. Elle est dodue et moi je ne suis qu’un sac d’os. Je vais aller voir mon ami Mbambi afin de l'interroger et régler une fois pour toute la question. Un crocodile se posait des question Le crocodile se met en route. Il n'était pas encore bien loin quand il rencontre son ami Mbambi une sorte d’immense lézard.
- Mbambi, lui dit-il, je suis très troublé. Tous les jours, une jolie poule grasse vient au fleuve pour manger; chaque jour, quand je veux la saisir et l'emporter chez moi pour la manger, elle m'effraie et m'appelle son frère. Je me suis dit que je ne pouvais pas rester ainsi plus longtemps et j’allais trouver Mbambi pour tenir une palabre avec lui.
Mbambi, son ami - Oh ! tu n’es qu’un sot, répond Mbambi. Tu ne dois rien faire de tout cela car autrement, tu perdrais tes paroles et tu montrerais que tu es un ignorant. Ne sais-tu pas, mon cher crocodile, que les canards vivent dans l'eau et pondent des œufs et que les tortues en font de même. Moi aussi, d'ailleurs, je ponds des œufs, tout comme les poules. Et toi, mon stupide ami, que fais-tu donc ? Nous sommes donc tous frères dans un certain sens. C'est pour cette raison que les crocodiles ne mangent pas les poules.
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| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Mer Déc 04 2019, 07:55 | |
| "Oyez, Oyez bonnes gens, venez tous écouter l'étrange et extraordinaire histoire du pêcheur de feuilles..."
Le métier de pêcheur n'est pas toujours facile et, sans un peu de chance, il arrive que ces travailleurs de la mer ne soient guère payés de leur peine. Ainsi, un brave père de famille de la côte Adriatique, proche de la pointe de Samana, avait-il bien du mal à nourrir ses cinq enfants. Jamais la pêche n'était vraiment abondante, et il arriva même un moment où il resta dix jours sans prendre le moindre poisson. "Tout cela est très injuste, disaient les gens de son village, car il est le plus travailleur et il connaît son métier mieux que personne." On le plaignait beaucoup, mais, comme tout le monde était pauvre, personne ne se trouvait en mesure de lui venir en aide. Ses enfants avaient faim, et sa femme qui n'était pas très solide ne pouvait que laver un peu de linge pour gagner de quoi acheter du pain. Le brave homme eût bien fait un autre métier, mais il ne trouvait pas d'embauche. Et puis, parce qu'il aimait la mer, il espérait toujours qu'elle finirait par se montrer généreuse avec lui. Un jour que le Roi passait par là, il entendit les enfants qui criaient famine. Il se renseigna, on lui dit combien ce pêcheur fort méritant jouait de malchance, et ce roi riche et bon décida de l'aider. "Je veux faire quelque chose pour toi, lui dit-il, mais je tiens absolument à ce que tu restes pêcheur. Tu vas continuer ton métier et, chaque fois que tu apporteras quelque chose dans ton filet, tu viendras l'apporter sur le plateau de ma balance. Dans l'autre plateau, je mettrai le même poids en sequins d'or, et cet or sera pour toi." De nouveau plein de courage et d'espérance, le pêcheur reprit la mer. Trois jours passèrent, trois jours et trois nuits sans une minute de repos. Trois jours et trois nuits à ramer, à lancer son filet, à le ramener sans qu'il vît l'ombre d'un poisson. "Je suis maudit ! se lamentait-il. Nous mourrons tous de faim." Le pêcheur épuisé rentra au port, mais avant d'amarrer sa barque, il lança son filet une dernière fois. Lorsqu'il le retira, il n'y trouva qu'une feuille de chêne déjà bien abîmée par l'eau salée. Il allait la jeter lorsqu'un camarade lui dit : "Que risques-tu à la porter au Roi ? il n'a pas parlé de poisson, il t'a dit de lui porter tout ce que te ramènera ton filet. - Il va croire que je me moque de lui, et peut-être même me fera-t-il jeter en prison ? - Non, il ne le fera pas. C'est un bon roi. Et je suis tout disposé à témoigner que tu as bien pêché cette feuille." Le pêcheur était tellement désespéré qu'il mit la feuille dans sa poche et prit le chemin du palais royal. Lorsque le roi le vit arriver avec sa prise, il se mit à rire. "Mon pauvre ami, fit-il, cette feuille est si légère qu'elle ne fera même pas bouger d'un cheveu le fléau de ma balance. Mais enfin, puisque tu es venu jusque-là, tentons tout de même l'expérience." Le pêcheur posa sa feuille sur le plateau qui tomba comme si on l'eût chargé de plomb. Et le trésorier du roi commença de poser des sequins sur l'autre plateau. A haute voix, un secrétaire comptait. "Un sequin, deux sequins, trois sequins..." La balance ne bougeait toujours pas. Et il fallut soixante sequins pour faire monter enfin le plateau où se trouvait la feuille. Le pêcheur s'en alla avec les pièces et le roi, qui n'en revenait pas, garda la feuille. Tous les savants du royaume furent invités au palais où ils demeurèrent longtemps à examiner cette feuille de chêne si étrange. Ils se livrèrent à toutes les analyses que la science pouvait permettre et, en fin de compte, ils furent bien obligés de reconnaître que cette feuille n'avait d'autre particularité que son poids. Bien entendu, le pêcheur que l'on soupçonnait de magie fut interrogé, mais les enquêteurs, qui étaient des juges honnêtes, déclarèrent qu'il était beaucoup trop naïf pour être magicien. Lui-même ne savait rien. Il ne pouvait rien savoir, car il n'avait pas assez de mémoire pour se souvenir des moindres détails de sa vie d'enfant. C'était pourtant dans sa plus tendre enfance que dormait le secret de cette feuille. Car le pêcheur n'avait guère que trois ou quatre ans lorsqu'un laboureur, voisin de son père, avait déraciné et jeté sur le chemin un jeune chêne né en bordure de son champ. L'enfant l'avait ramassé ce tout petit arbre et l'avait planté en un endroit où personne ne cultivait le sol. Reconnaissant, le chêne, qui avait grandi en toute liberté, avait saisi cette occasion de remercier celui à qui il devait la vie. Et sans doute parce qu'il détenait le pouvoir de conjurer le mauvais sort, il s'arrangea pour que le pêcheur ne retire plus jamais de l'eau un filet vide. D'après les Légendes de la mer de B. Clavel, Ed. Hachette
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| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Mer Déc 04 2019, 09:00 | |
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| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Jeu Déc 05 2019, 08:14 | |
| L'amitié des deux chacals Conte d'Egypte Il y a fort longtemps, vivaient dans l'immensité du désert deux chacals qui s'aimaient d'une amitié sincère, un peu comme s'aiment deux frères. Ils s'entraidaient et chacun pouvait compter sur l'autre en cas de coup dur. Ils partageaient les mêmes peines mais aussi les mêmes joies. Ils ne frayaient avec aucun autre animal préférant passer tout leur temps ensemble. Ensemble, ils recherchaient leur nourriture. Ensemble ils buvaient et mangeaient. Ensemble ils se rafraîchissaient à l'ombre des mêmes rares arbres du désert lorsque le soleil les tourmentaient de ses ardents trop ardents. Or un jour, alors qu'ils étaient à la recherche de nourriture, l'un à côté de l'autre, sur un terrain aride et brûlé de soleil, ils virent surgissant devant eux un lion affamé qui était lui aussi à la recherche d'une proie. Plutôt que de fuir, les deux amis s'immobilisèrent et firent face à l'ennemi avec opiniâtreté. Le lion fort surpris ne put s'empêcher de leur demander : - Eh bien, pourriez-vous m'expliquer par quel prodige vous ne vous êtes pas enfui à mon approche ? Etes-vous inconscients ? Ne voyez-vous pas que je suis affamé et à la recherche de nourriture ? L'un des deux chacals prit la parole et dit : - Pour sûr, ô seigneur ! Nous sommes fort conscients de cet état de fait. Nous avons vu que tu étais en chasse et que tu allais te jeter sur nous et nous dévorer. Nous avons cependant décidé de ne pas fuir. Quoi que nous fassions, aussi vite que nous puissions courir, tu nous rattraperais. Nous avons donc décidé de ne pas fuir. Nous préférons que tu ne sois pas épuisé au moment où tu décideras de nous dévorer. Nous préférons mourir rapidement et non souffrir par une mort lente. Le lion qui avait écouté avec attention les paroles du chacal lui dit : - Le roi des animaux n'est pas en colère d'entendre des paroles sincères. Il sait reconnaître le courage et l'audace de ses sujets. Il se doit d'être grand et généreux envers ses sujets sans défense. Sur ce, le roi du désert disparut et depuis ce jour, il accorda la paix aux deux chacals. |
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| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Ven Déc 06 2019, 07:13 | |
| Poèsie : En attendant Noël Il fallait s’en douter, des mois de l’année, Décembre est le préféré des enfants. Dès le premier jour, dans le calendrier Ils découvrent leur surprise de l’Avent. Petit à petit on décore les maisons, On prépare sa liste de cadeaux, On sort les guirlandes des cartons Afin que le sapin soit le plus beau ! Puis on écrit sa lettre au Père Noël En espérant avoir été bien sage. Cette année encore, la fête sera belle Et le traineau magique fera son voyage. Enfin, après une belle nuit de réveillon, Y aura-t-il des cadeaux sous le sapin ? On se précipite, on fait des bonds, Super ! Des jouets, il y en a plein !! De Karine Persillet |
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| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Sam Déc 07 2019, 08:10 | |
| An khe tra vang Le carambolier
Il était une fois deux frères qui se partagèrent un héritage, à la mort de leurs parents. L'aîné, cupide et avare, s'empara de tous les biens et laissa à son cadet et à sa femme seulement une paillote délabrée et un carambolier aux fruits juteux mais rabougris. Mais ces deux époux cadets ne s'en plaignaient guère et se contentaient de ce maigre avoir. Ils prenaient soin de leur carambolier et l'arrosaient sans cesse de manière que l'arbre reprit vigueur et porta une quantité de fruits. Quand les caramboles commencèrent de mûrir, un corbeau d'une taille extraordinaire venait chaque matin en manger. Il était impossible pour ce couple de l'en chasser quoi qu'il fît.
L'épouse navrée se lamentait: "Malheur à nous. Pauvres que nous sommes, nous comptons beaucoup sur ce que nous rapporte le carambolier et voilà que l'oiseau ravage tout. Nous connaîtrons probablement la faim". Miracle! Le corbeau entendit les lamentations, se pencha et répliqua d'une voix d'homme:" Des caramboles je mange, de l'or je rends, munissez - vous d'un sac de trois livres et suivez-moi pour en chercher". Apeurée, la femme se précipita dans la chaumière pour chercher son mari. Ils se concertèrent et décidèrent de coudre le sac suivant la mesure indiquée, dans l'attente d'un éventuel retour de l'oiseau.
Quelques jours plus tard, l'oiseau revînt, mangea tout son saoul de caramboles puis descendit de l'arbre pour inviter l'époux à prendre place sur son dos avec le sac. Puis ils disparurent ensemble à l'horizon. Effrayé, le cadet ferma les yeux. L'oiseau le transporta très loin avant d'atterrir sur une île déserte, remplie de pierres précieuses. Libre d'en prendre autant qu'il pût. Il remplit son sac et le corbeau le ramena chez lui. Depuis ce jour, le couple connut l'opulence, vivait dans des demeures luxueuses. Il venait en aide souvent aux pauvres. A l'occasion de la commération de la mort de ses parents, le couple invita l'aîné à venir chez lui. Plein de mépris pour le cadet, l'aîné chercha prétexte pour se dérober et exigea que le cadet tapîssât le chemin de nattes et dorât le portail si ce dernier voulait le recevoir.
Le cadet respectueux de son aîné, s'exécuta selon le voeu de ce dernier. Celui-ci et son épouse furent surpris devant l'opulence et la richesse du couple cadet. Curieux, l'aîné chercha habilement à pénétrer le mystère. Son cadet, honnête et franc, n'hésita à lui raconter l'histoire du corbeau géant qui l'avait emmené chercher de l'or. Le couple aîné proposa d'échanger sa fortune contre seulement la paillote et le carambolier juteux. Les cadets obtempérèrent. Un jour, le corbeau revint manger des caramboles et fit la même recommandation: un sac de trois livres pour aller chercher de l'or. L'aîné, cupide et curieux, emmena deux gros sacs de six livres chacun et une fois sur place les remplit de l'or. Sur le chemin de retour, plié sous le poids démesuré de ces deux sacs, l'oiseau qui n'en pouvait plus, tangua et l'aîné fut balané dans la mer et s'y noya.
L'aîné fut l'objet de beaucoup de mépris quand on connut l'histoire de son avidité et de sa cupidité. Dieu vient toujours en aide aux bons et punit toujours les méchants.
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| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Dim Déc 08 2019, 07:27 | |
| LE HUIT
Auteur : Agnès de Lestrade
Cette année, le Père Noël est très fier. Il a fait une bonne affaire en achetant un minibus pour distribuer les jouets. Quelle astuce ! Le soir de Noël, il fait le tour du village, histoire de voir si son moteur est à la hauteur. Sur la route, il croise son ami le fantôme. - Dis-moi, Père Noël, ton bus va très vite ! Peux-tu me déposer chez moi ? Je t'offrirai un thé à la fraise des bois. - Volontiers, cher fantôme, dit le Père Noël. Un peu plus loin sur le chemin, Père Noël croise son ami le vampire. - J'ai très mal aux dents. M'emmènerais-tu chez le dentiste, si tu en as le temps ? - Volontiers, dit le Père Nel. De toute façon, avec mon nouveau bus, je serai sur Terre en un éclair. Sur la place du village, Père Noël croise son ami le dragon. - Puisque tu as autant de place, pourrais-je monter avec toi ? Je t'offrirai une part de tarte avec une boule de glace. - Mais bien sûr, cher dragon, dit le Père Noël. Un peu plus loin sur la route, Père Noël croise sa copine la sorcière. - Mon balai est cassé. Puis-je monter avec tous mes paquets ? - J'ai tout mon temps, profites-en, dit le Père Noël. Bientôt, minuit sonne au clocher de l'église. Et le Père Noël n'a pas vu l'heure passer. - Oh la la ! Quel malheur ! s'exclame-t-il. Je n'aurai jamais le temps de distribuer leurs jouets à tous les enfants ! - Ne t'inquiète pas, on va t'aider ! dit le fantôme. - Pas question de te laisser tomber ! dit le vampire. - Les amis, c'est fait pour ça, dit le dragon. - Avec ma baguette magique, on ira plus vite, dit la sorcière. Voila pourquoi, la nuit de Noël, il vaut mieux dormir sur ses deux oreilles pour ne pas croiser devant la cheminée un fantôme, un vampire, un dragon ou une sorcière... les drôles d'amis du Père Noël !
- Fin -
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| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Lun Déc 09 2019, 11:43 | |
| La butte aux Romains
Il y a, au croisement de Tchebaïev, une dépression dans le sol juste assez profonde pour abriter du vent un arbuste rachitique. Mais de mémoire d’homme, il a toujours existé. Quand les voyageurs parviennent à ce croisement, ils cherchent cette curiosité qui rompt enfin la monotonie de la toundra, ils la cherchent aussi pour se rassurer. La peur de se perdre tient au ventre de ceux qui traversent ces régions désertes. Un soir que notre convoi campait à proximité du croisement, j’étais allé me promener autour de l’arbuste. Je m’étais même allongé sur la pente pour mieux l’observer. La lune était basse et sa lumière intense. Les branches de l’arbuste découpaient des formes mouvantes. J’y vis soudain le visage d’un homme hagard. Ses yeux démesurément ouverts trahissaient une frayeur peu commune. En me relevant j’arrivais à voir qu’il étreignait des deux mains une petite sacoche en cuir. Il était comme pétrifié par ce qu’il voyait. Petit et sec, toutes ses forces, il avait dû les utiliser pour marcher jusqu’ici. Je ne distinguais pas d’autre visage à ses côtés. Il était donc seul. Je me demandais ce qui provoquait une détresse si grande. Je n’avais le souvenir d’aucun drame qui se soit déroulé ici. Ma curiosité dépassa la vague appréhension qui laissait un goût amer au fond de ma bouche. Je me concentrais de toutes mes forces pour essayer d’élargir mon champ de vision, je tournais lentement autour de l’arbuste à la recherche du moindre détail qui m’aurait guidé vers ce que je cherchais. Et soudain je le découvris en entier, debout devant moi, figé dans sa posture d’ahuri. Ce que j’avais pris pour une sacoche se révélait être la bride d’un cheval que je ne pouvais toujours pas distinguer. Sa tunique et ses sandales étaient d’un autre âge et il me fut impossible d’en reconnaître la provenance. Mais c’était bien lui, je l’aurais reconnu entre cent comme si nous avions été familier l’un de l’autre. Il appartenait à une armée antique, son uniforme n’était pas exactement à sa taille, à son côté, une épée courte qu’il ne pensait même pas utile de tirer de son fourreau pour se défendre. Les marchands du convoi qui me virent explorer l’arbuste de Tchebaïev pensèrent que j’avais perdu la raison ou à tout le moins le sens du ridicule. Mais le voyage touchait à sa fin et ils ne me reverraient probablement jamais. Ils me laissèrent en paix redoubler d’efforts pour apercevoir dans les branches entremêlées la vue d’ensemble qui me faisait encore défaut. Je ne voulais pas rester dans l’ignorance et laisser la porte ouverte à mon imagination pour projeter en face de ce soldat les formes multiples de mon angoisse. Cela m’a pris du temps de trouver la réponse. L’échelle de la scène était différente des précédentes et la vision d’une femme, blanche et lascive, perturba mon attention avec une telle insistance que j’en vins à croire qu’elle faisait partie du même tableau. Mais c’est sans doute une autre histoire. Le cavalier venait donc de descendre de sa monture, à proximité d’une tour de guet en bois. Une poignée de soldats le suivait à pieds. Mais ils arrivaient trop tard. Trois de leurs camarades gisaient morts dans la position grotesque des empalés. L’un d’eux, qui avait résisté au premier choc quelques secondes, avait tenté avec ses mains de s’extirper du pieu. Cet acte de barbarie était insoutenable. Encore que la guerre offre une variété inépuisable d’horreurs, et sans vouloir en relativiser la force, la scène de la tour de guet se situait plutôt dans la catégorie des exécutions sommaires de soldats, bien en-dessous des crimes raffinés et des massacres systématiques de populations civiles. Le cavalier ne devait pas être habitué à ces tableaux macabres. Mais son regard exprimait aussi son impuissance. Et s’il avait pu faire quelque chose, empêcher ces trois hommes de passer de ce monde à celui des morts, s’il avait sa part de responsabilité dans leurs souffrances, il ne pouvait que s’en prendre à lui-même. Et il devait se révolter contre l’intuition qui lui maintenait que tout ce qu’il aurait pu entreprendre aurait abouti à la même désolation. Alors j’ai pris conscience en face de l’arbuste de Tchebaïev de l’inanité des bons sentiments et de la vanité de ceux qui prétendent vous sauver. J’ai vu que j’étais misérable et, que rien ne me rachèterait dans ce monde, qu’on méprisait mon ego, que l’importance que je me donne se réduit à une sinistre farce. Je marche à longueur de journées pour guider les voyageurs et les marchands. Je n’ai pas d’attaches. Je suis seul. Je ne fais pas de rêves et je me garde d’espérer en faire un jour. C’est assez pour avoir envie d’en finir une bonne fois pour toutes. Mais il y a quelque chose de plus grand, de plus vaste que ce monde, et je le vois dans les arbustes. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Lun Déc 09 2019, 18:12 | |
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Auteur : Pauline et Charlotte
L'HISTOIRE DU CONTE "LA NUIT DE NOËL"
Ce soir, Caroline est tout excitée car le Père Noël va bientôt passer.
Nous sommes le 24 décembre au soir. Caroline met ses chaussons sous la cheminée, puis, elle va se coucher. Le lendemain matin, vite, elle se lève et voit ses chaussons vides! Non, ce n'est pas un rêve : ses chaussons sont bien vides! Caroline a envie de pleurer. Pourtant, pendant cette année, elle a fait beaucoup d'efforts! Elle décide d'écrire au Père Noël :
Cher Père Noël,
Je me demande pourquoi mes chaussons sont vides ?
Réponds-moi vite, je t'en prie !
signé:
Caroline
Une semaine plus tard, elle n'a toujours pas de réponse. Le trois janvier, à six heures, elle se lève pour aller boire et voit le Père Noël en train de déposer des milliers de cadeaux sous le sapin! Elle entre et lui dit : - Pourquoi n'es-tu pas venu le 25 décembre comme la tradition le dit si bien? - Mais, nous sommes le 25! - Non ! nous sommes le 3 janvier! - Ha ! Mais les rennes se sont trompés! Ce sont eux qui m'avertissent lorsque c'est Noël! - Père Noël, ne sois pas si triste! L'essentiel, ce sont les cadeaux! - Tu as raison, mais j'ai encore beaucoup de travail! A Noël prochain!! Caroline se coucha le sourire aux lèvres. Et maintenant, tous les Noëls, Caroline dit "Bonjour" au Père Noël.
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| | | Rosie
Messages : 43939 Localisation : Danizy
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Mar Déc 10 2019, 06:00 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Mar Déc 10 2019, 06:13 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Mar Déc 10 2019, 08:27 | |
| Auteur : Vanessa L'HISTOIRE DU CONTE "LE PÈRE NOËL EXISTE-T-IL ?" Il était une fois cinq jeunes garçons nommés Samuel, Richard, Jordan, Math et le dernier s'appelait Logan. Celui-ci était très intelligent, le plus intelligent de tous. Un jour, pendant une récréation, Logan dit à ses amis: - Le Père Noël, c'est des histoires de bébé! Il n'existe même pas! Ses amis étaient d'accord avec lui. Le soir, ils rentrèrent tous chez eux. Le lendemain, le 12 décembre, à 8h01, un petit lutin descendit du ciel. Les cinq jeunes allèrent au collège. Le 13 décembre, pendant la nuit, le lutin dit à l'oreille de Samuel: - Ton frère Logan a tort. Le Père Noël existe! Je te donne rendez-vous le 24 décembre à minuit. Le jeune garçon se réveilla en sursautant et dit: - Qui a a parlé? Il regarda partout, ne vit personne et se rendormit. Pendant ce temps le petit lutin alla voir le Père Noël et lui dit: - Père Noël, Samuel, Richard, Jordan, Math et Logan disent que tu n'existe pas. Le Père Noël très en colère claqua la porte au nez du lutin. Le Père Noël raconta à Dame Noël et à son fils Artichaut ce qui s'était passé sur la terre. Dame Noël et Artichaut le consolèrent, mais ça ne suffisait pas. Le Père Noël dit: - Je vais prouver à ces enfants que je suis bien vivant! Le soir arriva très vite. Samuel, son frère, ses amis, s'étaient donné rendez-vous à minuit comme le lutin l'avait demandé. Maintenant il était minuit! Le Père-Noël ne pouvait plus retenir sa colère et sauta, sauta tant qu'il décrocha des morceaux d'étoiles et des morceaux de lune et avec ceux-ci il put écrire dans le ciel: "J'existe bien et je vais vous le prouver" Les enfants regardèrent dans le ciel et virent la phrase. Quelques secondes plus tard le Père Noël descendit sur terre avec sa famille. Les cinq jeunes garçons étaient heureux d'avoir enfin le Père Noël pour eux et lui promirent de ne jamais l'oublier!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Mar Déc 10 2019, 08:43 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Jeu Déc 12 2019, 07:49 | |
| Auteur : Lise-Marie
L'HISTOIRE DU CONTE "LE PÈRE-NOËL AUX ÎLES HAWAÏ"
Il était une fois, le Père Noël qui avait beaucoup, beaucoup de travail car Noël approchait. Un jour, il dit à ses lutins et ses lutines :
- Je suis trop fatigué pour continuer. Il me faut des vacances. Le Père Noël commença à faire ses bagages : un maillot de bain, ses lunettes de soleil, un short, un tee-shirt, un pull et sa pierre préférée. Il entassa tout ça dans sa valise et mit celle-ci dans son traîneau. Il fit ses dernières recommandations à ses lutins et ses lutines et leur dit au revoir. Il commença son voyage dans le ciel. Tout à coup, une méchante sorcière apparut. Elle lui dit : - Pour arriver aux îles Hawaï, il te faudra réussir deux épreuves. La première sera d'entrer dans les îles Hawaï malgré mes robots. Quand tu y seras arrivé, dit "Gribouille" bien fort et j'apparaîtrai. Et la sorcière disparut. Le Père Noël était découragé. Tout à coup, un craquement lui fit tourner la tête. I l vit un superbe oiseau de toutes les couleurs. I l fut très surpris d'entendre l'oiseau lui parler. - Je m'appelle Zipa. Je suis un oiseau magique. Je vais t'aider. Cela fait longtemps que les robots tentent de m'attraper. Je pourrai les attirer. Pendant ce temps-là, tu entreras dans la première île. Allez, j'y vais. Et le Père Noël vit s'éloigner Zipa. Puis il alla chercher son traineau. Il le mit de façon à pouvoir voir quand les robots partiraient. Il se dit : - Ouf ! Je vais bientôt être en vacances. Tout à coup, les robots se mirent à courir dans tous les sens pour attraper Zipa. - C'est le moment, se dit le Père Noël ; j'y vais. Et le traîneau s'éleva dans les airs. Quand il arriva sur l'île, il vit que les robots tentaient toujours d'attraper Zipa. Alors, il cria : "Zipa ! je suis arrivé sur l'île. Tu peux repartir. Merci ! Alors, Zipa repartit. Le Père Noël appela : - Gribouille ! Et la sorcière apparut. - Me voici, mais ce n'est pas fini. Il faut encore que tu combattes les robots. Quand tu auras terminé, appelle-moi. Ha, ha, ha, ricana la sorcière. Le Père Noël était plus découragé que jamais. Dans son dos, une grosse voix le fit sursauter : - Je suis l'ours de l'île. Je vais t'aider à les combattre à la condition que tu ailles chercher un pot de miel tombé dans une crevasse. Je suis trop gros pour y descendre, dit le gros ours. - Marché conclu, dit le Père Noël, angoissé. L'ours le conduisit vers la crevasse. Elle était peu profonde et très étroite. Le Père Noël y descendit, chercha le pot, le trouva, remonta joyeusement et le tendit à l'ours enchanté. - Voilà, dit le Père Noël. -Merci, dit l'ours. Puis ils repartirent en direction des robots. L'ours s'avança, leur donna à chacun trois grosses tapes, leur enleva leurs piles et revint triomphant, vers le Père Noël. -Merci ! tu m'as rendu un grand service, lui dit celui-ci. - A moi aussi, répondit l'ours. Puis il s'en alla. Le Père Noël appela : - Gribouille ! La sorcière apparut. Elle avait l'air triste et honteuse : - Tu peux passer tes vacances aux îles Hawaï. Tu as gagné. Et elle repartit. Le Père Noël plongea dans la mer et fit quelques brasses pour se remettre de ses émotions. Il passa quatorze jours aux îles et repartit au grand Nord. Là, il fut accueilli par mille questions : - C'était bien ? dit un lutin. -Tu as nagé ? dit un autre. -Les îles étaient belles ? dit une lutine. Le Père Noël soupira : -Oui, mais quel plaisir de vous revoir !
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| | | Rosie
Messages : 43939 Localisation : Danizy
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Jeu Déc 12 2019, 08:04 | |
| ,je viens de voir que ce conte a été écrit par une petite fille de 11 ans . | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Ven Déc 13 2019, 08:09 | |
| Auteur : Julie L'HISTOIRE DU CONTE "LE MIRACLE DE NOËL" Une famille vit en Angleterre, à Londres. La veille de Noël, Mme Durling cuit de la dinde dans son immense four. Occupée à rigoler avec sa famille, elle ne surveille pas la dinde qui est en train de brûler. Puis le petit Jordan sent une odeur de fumée, il avertit sa famille, mais sa famille ne s'occupe pas de lui. Jordan a trop peur et se sauve dans le divan du salon. Dix minutes plus tard la dinde brûle à grand feu et encore dix minutes plus tard toute la cuisine brûle. La famille se demandant d'où tout ce bruit venait, regarda la cuisine avec peur. Tout à coup la famille se sauva dans la rue d'en face et appela de l'aide. Les pompiers arrivèrent quand la maison fût presque entièrement brûlée. Après avoir éteint le feu, les pompiers ne souhaitaient pas aider la famille et même leurs voisins ne voulaient pas. La famille dût dormir dehors dans la froid, dans la neige. Leur Noël fût gâché par une stupide dinde. Puis le soir de Noël, une famille rigolait dans la rue en passant devant la pauvre famille : - Avant-hier je suis passée ici et cette maison n'était pas en ruine, dit une femme en montrant la maison en ruine. - C'est notre maison, elle a brûlé la veille de Noël, dit tristement Mme Durling. - Oh je suis désolée Mme, dit-elle en réfléchissant. - Voulez-vous être hébergé chez moi à New York? dit-elle après avoir réfléchi. - Comment? dit la famille en choeur. - Oui nous voulons bien vous héberger, dit la famille. - Merci!! dit la famille Durling en serrant fortement l'autre famille. - Au fait, nous nous appelons : Gradwerng, et vous? - Durling! Après que les deux familles se soient présentées les unes les autres, la famille Gradwerng et la famille Durling allèrent à l'aéroport pour acheter des tickets et monter dans l'avion immense. Dans l'avion Jordan Durling et Antonio Gradwerng jouaient avec un camion de pompier et une grue. Léa Durling et Sophie Gradwerng parlaient de stars et regardaient un magazine. Les parents Durling et les parents Gradwerng parlaient de leur travail, de leur vie etc... Après plus de deux heures de vol l'avion atterrit calmement à New York, une ville que les Durling admiraient. - Ouah c'est magnifique New York, dit Léa. Les Gradwerng appelèrent un taxi et montèrent en voiture pour héberger les Durling. Après vingt minutes de route, de bouchons, ils arrivèrent dans une cour, où tout au bout de cette cour une magnifique maison. Toute la famille contempla cette magnifique maison, et après ils entrèrent dans la maison où là tout était différent, chaque pièce avait une couleur. Les Durling étaient trop contents! Ils vivaient heureux dans la magnifique demeure des Gradwerng. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En Attendant Noël ....... Sam Déc 14 2019, 07:56 | |
| Auteur : Julie L'HISTOIRE DU CONTE "LE MIRACLE DE NOËL" Une famille vit en Angleterre, à Londres. La veille de Noël, Mme Durling cuit de la dinde dans son immense four. Occupée à rigoler avec sa famille, elle ne surveille pas la dinde qui est en train de brûler. Puis le petit Jordan sent une odeur de fumée, il avertit sa famille, mais sa famille ne s'occupe pas de lui. Jordan a trop peur et se sauve dans le divan du salon. Dix minutes plus tard la dinde brûle à grand feu et encore dix minutes plus tard toute la cuisine brûle. La famille se demandant d'où tout ce bruit venait, regarda la cuisine avec peur. Tout à coup la famille se sauva dans la rue d'en face et appela de l'aide. Les pompiers arrivèrent quand la maison fût presque entièrement brûlée. Après avoir éteint le feu, les pompiers ne souhaitaient pas aider la famille et même leurs voisins ne voulaient pas. La famille dût dormir dehors dans la froid, dans la neige. Leur Noël fût gâché par une stupide dinde. Puis le soir de Noël, une famille rigolait dans la rue en passant devant la pauvre famille : - Avant-hier je suis passée ici et cette maison n'était pas en ruine, dit une femme en montrant la maison en ruine. - C'est notre maison, elle a brûlé la veille de Noël, dit tristement Mme Durling. - Oh je suis désolée Mme, dit-elle en réfléchissant. - Voulez-vous être hébergé chez moi à New York? dit-elle après avoir réfléchi. - Comment? dit la famille en choeur. - Oui nous voulons bien vous héberger, dit la famille. - Merci!! dit la famille Durling en serrant fortement l'autre famille. - Au fait, nous nous appelons : Gradwerng, et vous? - Durling! Après que les deux familles se soient présentées les unes les autres, la famille Gradwerng et la famille Durling allèrent à l'aéroport pour acheter des tickets et monter dans l'avion immense. Dans l'avion Jordan Durling et Antonio Gradwerng jouaient avec un camion de pompier et une grue. Léa Durling et Sophie Gradwerng parlaient de stars et regardaient un magazine. Les parents Durling et les parents Gradwerng parlaient de leur travail, de leur vie etc... Après plus de deux heures de vol l'avion atterrit calmement à New York, une ville que les Durling admiraient. - Ouah c'est magnifique New York, dit Léa. Les Gradwerng appelèrent un taxi et montèrent en voiture pour héberger les Durling. Après vingt minutes de route, de bouchons, ils arrivèrent dans une cour, où tout au bout de cette cour une magnifique maison. Toute la famille contempla cette magnifique maison, et après ils entrèrent dans la maison où là tout était différent, chaque pièce avait une couleur. Les Durling étaient trop contents! Ils vivaient heureux dans la magnifique demeure des Gradwerng. |
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