Tout est bon dans le bio .

[size=42]Les toxines naturelles contenues dans le bio sont parfois plus dangereuses que dans les produits traités[/size]






Mis en ligne le 29/09/2019 à 12:06

Bio et bon ne riment pas forcément. La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes rappelle ou interdit de nombreux produits naturels qui sont potentiellement dangereux pour la santé.



Les pesticides sont traqués et interdits dans de nombreux endroits en France à cause de leur dangerosité. Mais la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) met en garde contre certains produits bios, qu’elle est obligée d’enlever du marché. Certains aliments contenaient des graines de datura, une plante extrême toxique, d’autres de l’ergot de seigle, champignon qui contamine les céréales et qui est, à forte dose, mortel. Ce dernier surnommé le « mal des ardents » ou « feu de saint Antoine » a tué des milliers de Français avant la Première Guerre mondiale rapporte Le Point. Des jeunes marseillais ont aussi découvert des chenilles dans leurs assiettes à la cantine. D’autres élèves souffrent de problèmes digestifs car d’après les études menées, les produits bios sont moins traités donc plus sensible aux infections et aux parasites.

Si c’est bio c’est bon

Une croyance populaire est alors née : si c’est bio c’est forcément bon. Sauf que dans la nature les plantes, fruits ou légumes produisent des substances toxiques pour l’homme qui leur servent à se protéger des insectes, parasites, bactéries… Il existe ainsi des dizaines de milliers de substances naturelles qui sont cancérigènes, d’autres, tout aussi nombreuses, sont neurotoxines et d’autres encore reprotoxiques. La roténone extraite de plantes tropicales a longuement été utilisée en culture bio. Mais elle a été interdite depuis 2008, car elle avait une action destructrice sur les neurones et favorisait la maladie de Parkinson.

Un Américain ingère chaque jour 1,5 g de toxines naturelles

Un célèbre toxicologue, Bruce Ames, a calculé en 1990 qu’un Américain ingérait chaque jour 1,5 g de toxines naturelles, mais 10 000 fois moins de traces de produits chimiques artificiels. Il remarquait ainsi que, « dans une tasse de café, la quantité de composés naturels cancérigènes pour les rongeurs est à peu près égale en poids à la dose de résidus de pesticides absorbée par un individu en un an ». Attention toutefois, les doses ingérées par tasse sont infimes, elles représentent une forte quantité en fonction de la quantité de café bu.
Certaines de ces toxines ne sont pas novices comme l’aspirine. Des combinaisons de plantes et de substances ont aussi permis de lutter contre les mauvaises herbes, les champignons, les insectes, les bactéries, les virus…

Si c’est bio c’est bon

Une croyance populaire est alors née : si c’est bio c’est forcément bon. Sauf que dans la nature les plantes, fruits ou légumes produisent des substances toxiques pour l’homme qui leur servent à se protéger des insectes, parasites, bactéries… Il existe ainsi des dizaines de milliers de substances naturelles qui sont cancérigènes, d’autres, tout aussi nombreuses, sont neurotoxines et d’autres encore reprotoxiques. La roténone extraite de plantes tropicales a longuement été utilisée en culture bio. Mais elle a été interdite depuis 2008, car elle avait une action destructrice sur les neurones et favorisait la maladie de Parkinson.



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Mais nous savons que la nature est hostile et pas du tout sympathique .Les humains luttent contre na nature depuis 3 millions d'années .

On s’est habitué à ne pas vouloir dépenser d’argent pour la bouffe. Actuellement la moyenne est 15% du budget familial contre plus de 50  % il y a 50 ans et même 70 % il y a 100 ans

Perso mon budget bouffe a plutôt augmenté .

Il serait même une des priorités , à commencer par la fréquentation des restaurants.

N'allant plus en vacances depuis ces dernières années .