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| Les animaux et nous | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Les animaux et nous Mer Aoû 15 2018, 10:09 | |
| Parmi les différents sujets évoqués si l’en est un que je me devais de ne pas oublier C’est bien celui que je signe aujourd’hui . Les animaux oui , mais tous les animaux sans exception . Les animaux de compagnie bien sûr , les autres également . Tour d’horizon et bienvenue dans le domaine des..... |
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| Sujet: Re: Les animaux et nous Mer Aoû 15 2018, 10:10 | |
| Un signe pour les cygnes Pour protéger les anatidés, Strasbourg a installé des spirales dissuasives sur les fixations des lignes aériennes du tramway. Jusque-là en test, le dispositif mis en place par le Gorna va être généralisé. Les spirales anti-collision vont être mises en place sur différents sites de l’eurométropole strasbourgeoise. Alfred Bender Par Bruno Susset C’est une petite spirale métallique rouge qui sauve la vie. Celle des cygnes, hôtes majestueux de nos villes qui n’aiment rien tant que s’installer sur les plans d’eau urbains. Au risque, lorsqu’ils s’envolent pour franchir des ponts, d‘entrer en collision avec les lignes aériennes d’électricité, celles du tramway notamment. En Alsace, la compagnie des transports strasbourgeois (CTS) annonce avoir été le premier réseau de transport public français à tester un dispositif destiné à prévenir ces accidents. Son installation a été précédée par une étude lancée par le Gorna (Groupement ornithologique du refuge Nord-Alsace). « Depuis longtemps, notre centre de soin accueille régulièrement des cygnes victimes de chocs avec des câbles électriques en ville », explique Guy Marchive, le directeur du Gorna. Au terme de cinq années d’étude, le groupement a constaté « qu’en moyenne chaque année, une quinzaine de cygnes heurtent les câbles. Ces impacts entraînent d’importants traumatismes, voire, dans certains cas les plus graves, des décès ». Sur proposition du Gorna, un prototype a donc été installé au niveau du pont Winston Churchill à Strasbourg, un site « concentrant à lui seul près de 40 % des collisions ». Le système est aussi simple qu’ingénieux. Il a été mis à disposition gracieusement par Strasbourg Électricité Réseaux. « Il s’agit en réalité d’éléments habituellement utilisés pour la sécurisation des lignes à haute tension », indique le Gorna. Il est constitué de spirales métalliques glissées sur les fixations de la ligne aérienne du tram. Ces modules ont une double utilité. Ils sont d’abord visibles de loin par les cygnes lorsqu’ils entreprennent de survoler le pont pour s’installer de l’autre côté. Mais ils génèrent aussi un signal auditif, puisqu’ils émettent, au moindre souffle de vent, des ultrasons perçus par les volatiles. Les câbles ainsi repérés, les anatidés sont à même de modifier la trajectoire de leur vol et d’éviter ces obstacles dangereux. Et ça marche ! Il y a quelques semaines, à l’issue d’une phase de test qui a duré plusieurs mois, un premier bilan a été dressé avec les trois partenaires engagés dans cette opération de protection de la faune, qui a reçu en outre le soutien du groupe de travail « L’animal dans la ville », instauré par la Ville de Strasbourg. Et, compte tenu de la diminution significative du nombre de collisions accidentogènes, il a été décidé d’implanter le dispositif sur d’autres sites de l’eurométropole strasbourgeoise dont l’étude préliminaire avait révélé la dangerosité pour les cygnes. Et sans doute l’expérience alsacienne fera-t-elle école et étendue à d’autres agglomérations confrontées à la même problématique. |
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| Sujet: Re: Les animaux et nous Mer Aoû 15 2018, 10:10 | |
| Deux magnifiques araignées paons découvertes en Australie Par Andréa Haug, Futura Elles n'étaient que trois, elles sont à présent cinq. Deux nouvelles araignées paons enrichissent un groupe d'arachnidesqui s'avère bien plus diversifié qu'il n'y paraît. En plus de leur sublime apparence, les petites créatures produisent de spectaculaires danses de la séduction. Un mâle d'araignée paon de l'espèce Maratus jactatus étend l'une de ses pattes pour séduire une femelle lors d'une danse d'accouplement. © Jürgen Otto L'une semble fêter Halloween, l'autre une soirée Peace and Love.Si elles sont d'apparence très différentes, deux nouvelles espèces d'araignées du sud-est du Queensland,en Australie, partagent les mêmes techniques de séduction. Découvertes par une étudiante,les protagonistes d'à peine 5 millimètres en moyenne s'ajoutent aux trois espèces connues de calcitrans, un groupe d'araignées paons ainsinommées en raison de leurs chatoyants motifs abdominaux et de leurs impressionnantes parades nuptiales. Suivant les espèces, à l'approche d'une femelle, le mâle soulève son abdomen coloré, fait vibrer des soies latérales déployées en éventail etagite une à deux pattes dans différentes directions. Un régal pour les yeux. Cette nouvelle espèce (Maratus sceletus) étonne les scientifiques avec son dessin ressemblant à un squelette,les araignées paons étant connues pour leurs couleurs flamboyantes. © Jürgen Otto De nombreuses araignées paons restent à découvrirEn revanche, les costumes de ces nouveaux arachnides diffèrent. Maratus jactatus, qui revêt des rayures bleues et rouge vif sur son abdomen, aété surnommée Sparklemuffin, ce qui peut se traduire par « muffin éclatant ». Skeletorus est le petit nom de la seconde, quiofficiellement s'appelle Maratus sceletus. Cette espèce se démarque des quatre autres par sa robe noire pourvue de stries blanches rappelant un squelette.« Ce qui me fait penser que ce groupe est peut-être beaucoup plus diversifié que ce que nous avions pensé »,déclare Jürgen Otto, entomologiste et co-auteur d'une description scientifique parue dans le journal Peckhamia. Les deux espèces se distinguent aussi par leur comportement. Tout près de la femelle, la danse du mâle Skeletorus est à son paroxysme :« les filières s'agrandissent et tournoient à une vitesse incroyable, rapporte Jürgen Otto. Une des pattes se fléchit comme s'il voulait montrer ses muscleset il se déplace constamment d'un côté à l'autre du brin d'herbe ». Quant à Sparklemuffin, d'aspect plus similaire aux autres espèces,« c'est en particulier sa nature docile et son apparence ''ours en peluche'' qui m'ont vraiment charmé » explique ce spécialiste des araignées paons.Si la première araignée paon fut décrite dans les années 1800, il aura fallu attendre plus d'un siècle pour que des scientifiques s'intéressent à nouveau àces minuscules arthropodes. Pour les auteurs du présent article, malgré le grand nombre d'espèces répertoriées ces dernières années,bien d'autres encore paradent anonymement dans les herbes d'Australie. |
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| Sujet: Re: Les animaux et nous Mer Aoû 15 2018, 13:26 | |
| C'est marrant chez les animaux
"Suivant les espèces, à l'approche d'une femelle, le mâle soulève son abdomen coloré, fait vibrer des soies latérales déployées en éventail et agite une à deux pattes dans différentes directions. Un régal pour les yeux."
je viens de regarder une très belle vidéo sur "la Tasmanie " et ben les mâles diables de Tasmanie mordent et tabassent les femelles ;les honorent plusieurs fois par jour résultat ....40 petits pour 4 mamelles ...il n'en est resté que deux ! les petits ont éliminé le trop plein !!!!Charmante famille .
Très belle vidéo :
https://www.arte.tv/fr/videos/080095-000-A/etrange-tasmanie/
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| Sujet: Re: Les animaux et nous Jeu Aoû 16 2018, 13:55 | |
| La bague à la patte Seul bagueur diplômé en Lorraine, Dominique Klein piste les cigognes pour le compte du Muséum d’histoire naturelle de Paris. Afin de percer le mystérieux comportement des migratrices. Entre début mai et fin juin, Dominique Klein a passé l’anneau à 245 juvéniles âgés de 35 à 45 jours. Par Xavier Brouet À Grostenquin (57) son imagerie est en passe de détrôner celle du père Noël. À Imling (57), l’un des quatorze nids du Schlosspark doit accueillir une webcaméra. À Sarralbe (57), les nids haut perchés ponctuent le « parcours découverte » des bâtiments historiques… Le folklore alsacien aurait-il du plomb dans l’aile ? Le voilà en tout cas malmené par le voisin lorrain. Après un retour sur la pointe des pieds, la cigogne blanche y investit en nombre ses départements où elle compte désormais 400 nids. Une renaissance inespérée. « En 1974, il ne restait qu’une douzaine de couples dans toute la France, dont neuf en Alsace et un en Moselle », rapportait Gérard Wey, ancien directeur de l’Aprecial (Association pour la protection et de la réintroduction de la cigogne en Alsace-Lorraine) lors de la dissolution de l’association, une fois ses objectifs de repeuplement atteints. Avec 800 nids, dont 450 dans le Haut-Rhin, l’Alsace détient toujours le record dans l’Est. La Moselle en compte 300, la Meurthe-et-Moselle 60, la Meuse 40 et les Vosges, un couple (à Mirecourt). Mais la façade ouest, notamment la Charente-Maritime, s’impose désormais première région d’accueil du bel échassier. Entre la cigogne et la Lorraine, la complicité ne date pas d’hier. « On trouve trace de sa présence à Metz en 1474. La commune de Solgne veut dire cigogne en patois », confirme l’ornithologue sarregueminois Dominique Klein. « Son retour doit beaucoup à la création de nids artificiels ou d’enclos destinés à la reproduction, comme au Lindre ou à Saint-Nicolas-de-Port (54). Mais aussi à l’existence de dépôts d’ordures qui les sédentarisent, comme à Teting-sur-Nied (57) ou à Lesménils (54). » Le Mosellan vient de boucler sa campagne de bagage et de recensement pour le compte du muséum d’histoire naturelle de Paris. Il y a deux ans, ce technicien ONF obtenait l’examen de bagueur dispensé par le CRBPO (Centre de recherches sur la biologie des populations d’oiseaux). Le voilà seul Lorrain autorisé à procéder au baguage des cigogneaux au nid. Entre début mai et fin juin, il a ainsi passé l’anneau à 245 juvéniles âgés de 35 à 45 jours. L’exercice peut s’avérer périlleux. « Je sollicite parfois l’aide des pompiers. Le nid est souvent à plus de six mètres de haut, offrant à leurs occupants une vision périphérique totale. » Après une longue mise en sommeil par manque de crédits, l’activité - bénévole - de baguage prend un nouvel essor. Sous la pression démographique des échassiers dont les migrations conservent leur part de mystère. « Deux routes migratoires traversent la France à l’est et à l’ouest. Chez nous, la migration post-nuptiale draine des oiseaux venant de Hollande, d’Allemagne, de Belgique ainsi que les cigognes nidifiant dans l’Est. La majorité des individus partent vers le sud par le couloir rhodanien, puis rejoignent Gibraltar en traversant l’Espagne. Quant aux cigognes installées dans l’ouest, elles rejoignent Gibraltar par la façade atlantique. » Des jeunes bagués, en Lorraine ont été signalés, au-delà des Pyrénées, dans les secteurs de Valence, Malaga et Barcelone. Mais à cause d’un taux de mortalité de 50 % la première année, beaucoup ne reviendront pas. Pour les autres, le GPS biologique se révélera plus efficace qu’un fil à la patte. |
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| Sujet: Re: Les animaux et nous Jeu Aoû 16 2018, 13:59 | |
| J'ai vu à ce sujet qu'on leur "fait" des nids à ces dames les cigognes pour éviter qu'elles les placent dans des endroits dangereux pour elles ou nuisibles aux cheminées et maisons !
http://www.lavoixdunord.fr/344312/article/2018-03-26/les-naissances-attendues-d-un-couple-de-cigognes-qui-quitte-saint-venant-pour |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Mer Aoû 22 2018, 08:30 | |
| Les araignées Araignée pélican : 18 espèces cannibales découvertes à Madagascar Des centaines de spécimens passés au crible. Certains issus de collections de musées. D'autres, trouvés sur le terrain. Un travail de titan pour identifier 18 espèces jamais encore décrites. Elles sont cannibales, se ressemblent et portent toutes le même nom : c'est l'araignée pélican. « Ce n'est qu'un début », estime Hannah Wood, conservatrice spécialiste des araignées au Smithsonian’s National Museum of Natural History (États-Unis). « Je suis convaincue que nous allons encore trouver de nombreuses espèces d’araignées pélicans qui n'ont pas encore été documentées ». Une manière peut-être aussi, d'encourager la préservation de l'extraordinaire biodiversité de Madagascar. Car, si des araignées pélicans ont déjà été trouvées en Afrique du Sud et en Australie, c'est bien de l'île de Madagascar dont sont originaires les nouvelles espèces décrites par Hannah Wood. Des espèces qui, à en croire les analyses menées au microscope électronique, se distinguent par leur morphologie génitale et par la forme de leur carapace. L’araignée pélican doit son nom à de longues chélicères dont la forme évoque celle d’un bec de pélican. Ici, l’Eriauchnius milajaneae, l’une des nouvelles espèces décrites par Annah Wood et baptisée en hommage à sa fille. Hannah Wood, Smithsonian Institute Des araignées hors du commun Pour ceux qui ne connaissent pas les Archaeidae — c'est le nom scientifique des araignées pélicans —, des araignées un peu particulières, sachez que les recherches ont pu montrer qu'elles vivaient probablement sur Madagascar déjà il y a quelque 180 millions d'années. Avant même donc l'apparition des pélicans dont elles portent le nom. Mais ce qui a fait leur réputation, c'est le fait que ces araignées se nourrissent exclusivement... d'autres araignées. Des araignées cannibales, donc. Et leur morphologie particulière constitue une arme redoutable en la matière. L'araignée pélican en effet, ne tisse pas de toile. Elle traque ses cibles et les empale de ses longues chélicères. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Jeu Aoû 23 2018, 19:57 | |
| Teigne, parasites, arthrose... Comment protéger votre chat des dangers de l'automne ? Le soleil persiste encore mais les températures commencent bel et bien à chuter. L’automne est arrivé, les arbres prennent des teintes cuivrées et les jours raccourcissent. Mais avec cette nouvelle saison arrivent également quelques petits désagréments pour nos chers matous. En effet, les changements de température et de luminosité ont des conséquences sur votre animal et sur ce qui l’entoure. Voici les principaux dangers de l'automne pour les chats, à bien surveiller pour le bien de votre fidèle compagnon. Gare à la teigneSi c’est principalement pendant l’été que se contracte la teigne, ses symptômes n’apparaissent en revanche qu’en automne. A défaut de traitement préventif, il est donc important de bien surveiller votre chat pour vous assurer qu’il ne l’a pas développée. Les signes distinctifs de la teigne du chat sont des démangeaisons, avec éventuellement des zones sans poils et des lésions cutanées. Cette maladie se transmet de l’animal à l’homme, il est donc conseillé de consulter un vétérinaire si votre chat présente ces symptômes. Heureusement, la teigne se guérit assez facilement. Le retour en force des parasitesDehors, les températures baissent : l’heure est déjà venue pour certains de mettre en route les radiateurs, pour réchauffer la maison. C’est alors le moment idéal pour l’éclosion des œufs de puces, qui patientaient jusque-là sous la moquette ou le parquet. Si votre matou a l’air de se battre contre les parasites, malgré les traitements, il est donc probable que les puces se soient installées chez vous. Un grand nettoyage de fond est alors nécessaire pour s’en débarrasser définitivement ! Attention également aux tiques, qui contrairement aux idées reçues ne sont pas moins actives avec la baisse des températures. Mue et boules de poilsQui dit changement de température dit changement de pelage ! Les chats vont bientôt entrer dans une phase de mue afin de retrouver leur épaisse fourrure d’hiver. Mais attention, en faisant leur toilette les chats sont susceptibles d’avaler leurs propres poils, qui s’ils ne sont pas recrachés finiront par obstruer leur système digestif ! l est donc important de bien brosser son chat en période de mue, lorsque leur pelage se renouvelle. Pour l’aider à mieux éliminer les poils avalés, il est également recommandé de lui fournir une alimentation riche en fibres. Les douleurs articulaires du chatAvec l’âge, les chats sont comme nous sensibles à des problèmes comme l’arthrose. La vieillesse et le surpoids sont d’ailleurs les deux principales raisons de l’apparition de problèmes articulaires chroniques, qui ne peuvent être soignés définitivement. Le froid et l’humidité de l’automne favorisent malheureusement le réveil de ces douleurs : votre matou peut avoir du mal à se lever, boiter ou sembler un peu moins joyeux. Si c’est le cas, n’hésitez pas à consulter un vétérinaire qui vous guidera sur la meilleure façon de soulager son arthrose. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Jeu Aoû 23 2018, 20:03 | |
| Petite consolation pour moi de ne plus avoir d'animaux chiens et chats .Ce n'était pas facile certaines années !ET .....Il faut bien le dire "ruineux " |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Les animaux et nous Ven Aoû 24 2018, 08:40 | |
| Pour être ruineux ,ça l’est. 100 € de bouffe trois-étoiles par mois ,50 € de médicaments mensuels plus les consultations à 300 € trois fois par an. La vétérinaire a toujours une prise de sang ou une échographie à faire. | |
| | | Rosie
Messages : 43939 Localisation : Danizy
| Sujet: Re: Les animaux et nous Ven Aoû 24 2018, 08:44 | |
| Je confirme ,la peau des fesses un animal ,mais ne dit -on pas que lorsqu'on aime on ne compte pas . | |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Les animaux et nous Ven Aoû 24 2018, 14:25 | |
| Heureusement ,notre Zoé ne boit que de l’eau. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Dim Sep 16 2018, 11:42 | |
| Volailles d’exception et cerfs d’élevage à Vétrigne (90), la ferme de la famille thibaut approvisionne les bonnes tables du nord Franche-Comté Murielle Thibaut : « Nos volailles ne sont abattues qu’à maturité, ce qui leur donne du goût. » Photo ER Par François Zimmer Chez nous, rien n’est fade ! Nos volailles ne se nourrissent que de maïs, de blé, d’orge, de pois et de salades et ne sont abattues qu’à maturité, ce qui leur donne du goût ! » C’est le credo de Murielle Thibaut, dont la bonne humeur emplit le magasin de la ferme des Buis, à quelques kilomètres de Belfort. Avec son mari Guy, désormais retraité actif, elle a repris l’élevage avicole de ses beaux-parents il y a une quarantaine d’années et en a fait une référence qualitative en famille. « Nous avons vendu notre matériel d’éclosion en 2009 et transformé le couvoir en magasin car notre activité avait besoin de se renouveler. Et en 2016, nous avons créé un atelier de transformation artisanal, ce qui nous permet de proposer une large gamme de produits. Nos deux fils travaillent sur l’exploitation. Lionel s’occupe de l’élevage et de l’abattage, David essentiellement de la transformation. Comme leurs parents, ils sont gourmands et aiment bien manger ! » Cette passion familiale se vérifie en bouche, à tel point que de nombreux restaurateurs du nord-est comtois ne s’approvisionnent plus qu’à la ferme des Buis. « Il n’y a pas de secret », explique Murielle Thibaut, « notre poulet est élevé jusqu’à quatre mois et demi et reste moelleux. Nous emmenons ensuite nos coqs jusqu’à 3 à 5 kilos et nos poulardes jusqu’à 2,5 à 4 kilos. Les premiers présentent une belle chair rouge et ferme, les secondes sont proches du chapon et cuisent naturellement dans leur jus. Avec un couscous ou en tajine, deux gouttes d’huile suffisent ». Les autres volailles de la ferme des Buis sont tout autant dorlotées : le coquelet est amené à 4-6 semaines, avec un poids de 500 à 800 grammes ; la pintade peut atteindre de 1,8 à 2,5 kilos et présente elle aussi une belle chair rouge ; le chapon (un coq castré naturellement) est amené à 9 mois et fait la joie des amateurs à Noël, comme la dinde (entre 5 et 25 kilos) dont les Américains de Belfort raffolent. Murielle Thibaut propose également des surprises : des « sot-l’y-laisse » d’une finesse incomparable que l’on peut cuisiner en brochette ou à la poêle ; une farce maison 100 % volaille, des quenelles de foie, quinze sortes de terrines déclinées aux olives, dattes, comté, pruneaux, raisin, marron, fruits secs, chardonnay ou piment d’Espelette, et du lard de poularde inventé par son fils Daniel. Dans ce temple de la volaille d’exception, il y a cependant une place pour le cerf d’élevage, la marotte de Guy. « C’est une viande très tendre », explique Murielle, « qui se cuisine comme le bœuf, mais on peut aussi en faire une marinade avec du vin blanc, c’est plus léger ». Comme la volaille, il a droit à ses terrines ou à ses saucisses. Mais chez les Thibaut, on aime surprendre : leur baeckeoffe à la volaille et au cerf fait déjà partie de leur légende dorée… à point. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Lun Sep 17 2018, 11:30 | |
| Comment calculer l’âge humain de son chien ? Tout le monde le sait, chiens et humains n'ont pas la même espérance de vie. Et c'est pourquoi nous sommes toujours tentés de convertir l'âge de nos chiens en âge humain. En multipliant par sept, entend-on souvent. Mais ce n'est pas aussi simple. Pour transposer l'âge de son chien en âge humain, il ne suffit pas de recourir à la bonne vieille méthode de grand-mère. Car la simple multiplication par sept de l'âge de notre animal risque de ne nous donner qu'une vague approximation. Le rapport entre les âges canins et les âges humains n'est en effet pas vraiment linéaire. Rappelons-nous également que l'espérance de vie des chiens est fonction de leur race. Et plus encore peut-être de leur taille. Plus un chien est grand, moins son espérance de vie est élevée. On pressent donc que selon la taille du chien, il faudra appliquer une règle de calcul différente pour trouver son âge humain. D'autant que, autre fait étonnant, la vitesse de développement des chiens dépend aussi de leur taille. Ainsi à six mois, un chien de petite taille est considéré comme adolescent d'une quinzaine d'années. Un chien de grande taille se comportera encore comme un enfant de moins de dix ans. Mais quoi qu'il en soit, l'enfance et l'adolescence d'un chien passent beaucoup plus vite que celles d'un humain. Dans sa première année, un chiot vieillit environ 15 fois plus vite qu’un humain. ivan kmit, Fotolia Un calcul pas si facile Il n'existe donc finalement pas de formule mathématique simple pour calculer l'âge humain de son chien et évaluer son vieillissement. Pour vous faire une idée, vous pourrez assez facilement trouver en ligne — mais aussi chez votre vétérinaire le plus souvent — des convertisseurs âge chien/âge humain. Ou encore des tableaux de correspondance selon la taille de votre chien. Voici quelques exemples : À 6 mois, un chien de moins de 15 kg aura l'équivalent humain de 15 ans ; à 1 an, celui de 20 ans ; à 5 ans, celui de 40 ans ; à 10 ans, celui de 60 ans et à 15 ans, celui de 80 ans. À 6 mois, un chien dont le poids — de forme s'entend, ne comptent pas les kilos « en trop » — est compris entre 15 et 45 kg aura l'équivalent humain de 10 ans ; à 1 an, celui de 18 ans ; à 5 ans, celui de 45 ans ; à 10 ans, celui de 75 ans et à 15 ans, celui de 102 ans. À 6 mois, un chien dont le poids est supérieur à 45 kg aura l'équivalent humain de 8 ans, à 1 an ; celui de 16 ans, à 5 ans ; celui de 49 ans, à 10 ans ; celui de 96 ans et à 15 ans — s'il les atteint —, celui de 141 ans. Notez que pour un peu plus de précision encore, certains divisent les chiens en quatre grandes catégories de taille. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Mar Sep 18 2018, 17:57 | |
| Ces ANIMAUX que l’on N’oublie pas« Pourquoi nos animaux n’ont-ils pas eux aussi droit au respect dans la mort ? Je pense qu’ils ont leur place dans un cimetière. En existe-t-il un quelque part ? » Il existe plusieurs cimetières animaliers en France ; le plus ancien date du XIXe siècle. En effet, une loi du 21 juin 1898 autorisant l’enfouissement des animaux morts a fait naître ce que l’on peut considérer comme la plus ancienne nécropole zoologique du monde. Située à Asnières, dans les Hauts-de-Seine, elle a été créée en 1899 grâce à la mobilisation de quelques personnalités, entre autres l’écrivain Edmond Rostand, le poète Sully Prudhomme et le pianiste Camille Saint-Saëns. Tous soutenaient la logique du respect contre celle de l’équarrissage jusqu’alors imposé par le Conseil d’hygiène de la Seine. L’auteur Georges Harmois et la directrice du journal féministe « La Fronde », Marguerite Durand, ont fondé, cette année-là, la Société française anonyme du cimetière pour chiens et chats. Un cimetière s’établit sur une parcelle étroite et tout en longueur en bordure de Seine, sur l’ancienne île des Ravageurs. L’architecte parisien Eugène Petit conçut le portail d’entrée dans le style Art nouveau et le plan du cimetière. Des milliers d’animaux seront inhumés dans ce cimetière. On peut découvrir aujourd’hui encore de jolies épitaphes encensant le fidèle compagnon. Chiens et chats côtoient lapins, chevaux, tortues, poules, poissons, rongeurs, moutons, singes… La direction a érigé des monuments, mettant à l’honneur des « héros », comme le chien Barry (1800 – 1814). Cet épagneul des Alpes, ayant appartenu aux moines de l’hospice du Grand Saint-Bernard, a sauvé la vie de nombreux pèlerins. Un monument à la gloire des chiens policiers a été élevé en 1912. La statue d’un petit chien de pierre rappelle que Mémère, née en 1914, fut la courageuse compagne d’un régiment de chasseurs à pied. D’autres, vedettes de films ou de théâtre, ont un espace réservé tel Rintintin, héros de films d’aventures produits entre 1923 et 1932 par la Warner. En 1987, la société propriétaire décida de fermer le cimetière. Sensibilisée, la ville d’Asnières le racheta. Le 27 juin de la même année, le site fut classé à l’inventaire des monuments historiques du fait de son « intérêt à la fois pittoresque, artistique, historique et légendaire ». La ville, devenue propriétaire en 1989, le gère depuis 1997. En 2001, l’entrée du cimetière a été rénovée et un nouvel aménagement paysager en fait un charmant lieu de promenade, apprécié des touristes et des amis des bêtes. L’inhumation d’un animal peut encore y être envisagée. La plus petite des sépultures coûte près de 1.000 € , si l’on prend en compte le coût annuel de concession, les frais d’inhumation et le monument funéraire. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Mar Sep 18 2018, 18:45 | |
| Je trouve que à Asnières ,les épitaphes sont parfois un peu limites !Il faut s'habituer à voir la mort comme un évènement naturel .Aussi bien pour nous que pour nos animaux . Il y a même la tombe du chien inconnu:Ce n'est pas celle-ci rassurez-vous ! http://lagrandedepression.com/les-12-plus-belles-sepultures-du-cimetiere-des-chiens-dasnieres/4949 |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Les animaux et nous Mer Sep 19 2018, 05:05 | |
| J’ai une préférence pour les cimetières anglais où il n’y qu’une pierre dressée au milieu d’une pelouse. On marche sur cette pelouse ,on se promène en mangeant un sandwich,bref pas de tristesse. Les pierres ne sont pas alignées. | |
| | | Claire
Messages : 19909 Localisation : Annecy
| Sujet: Re: Les animaux et nous Mer Sep 19 2018, 09:18 | |
| j'ai les cendres de mon husky chez moi | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Mer Sep 19 2018, 15:41 | |
| Vole avec les oies À Marckolsheim (Bas-Rhin), François Proix vole en ULM avec un groupe d’oies rieuses. Les volatiles l’identifient à leur géniteur. Stupéfiant. François Proix devant son ULM pendulaire. Par Jean-Marc Toussaint Venez, venez, venez », incite François Proix en actionnant la poire de son klaxon. Bien disciplinées, les huit oies rieuses viennent se positionner à hauteur de son ULM pendulaire. Elles gloussent, cacardent, battent des ailes et attendent. Le moteur ronfle. Sur un petit terrain agricole à la sortie de Marckolsheim, dans le Bas-Rhin, l’ULM s’ébranle en même temps que les oies qui le suivent. Instants magiques que de voir ses oiseaux fendre l’air à portée de main. À 1.000 pieds au-dessus du sol (environ 300 m), les volatiles se positionnent en V, comme une escadrille en se relayant à intervalles réguliers. « L’oie de tête dépense 10 à 15 % d’énergie en plus. Les autres se positionnent derrière pour s’économiser. De cette manière, elles peuvent parcourir plusieurs centaines de kilomètres par jour », explique le pilote à travers le casque. Quelquefois, elles s’approchent à moins de 2 m, volent au-dessus, en dessous de la machine. Durant le vol, François Proix leur parle comme à des enfants, « pour les rassurer ». Il faut dire que pour ces oies de quatre mois à peine, il est un peu leur papa. « Ce que je fais, ce n’est pas du dressage, mais de l’imprégnation. Je ne les oblige à rien, j’essaye simplement de les habituer à voler avec moi », explique le pilote alsacien. Dans la nature, les oisons volent naturellement avec leurs parents. Mais quand ceux-ci font défaut, il arrive qu’ils volent avec d’autres oiseaux ou… avec un ULM. Mais une telle proximité implique un contact quotidien avec l’animal. Pour se donner toutes les chances de réussir, François Proix s’est équipé d’une couveuse. Il achète les œufs qu’il fait éclore, ce qui lui permet de commencer le travail d’imprégnation dès le troisième jour. « D’abord, on incite les oisons à marcher à côté de l’ULM chaque jour, pendant huit semaines, puis, progressivement, on vole avec eux, chaque fois un peu plus longtemps. À trois mois, ils sont capables de voler une vingtaine de minutes », explique François Proix, qui a découvert cet univers étonnant en 2013 lors du tournage du film de Frédéric Fougea « Le plus beau pays du monde ». « On m’avait sollicité pour embarquer un cameraman en ULM, pour multiplier les prises de vue. La première fois que j’ai vu les oies voler à côté de moi, j’en ai eu les larmes aux yeux, tellement les sensations étaient fortes », se souvient-il. Passé cette inoubliable expérience, il décide de tenter l’imprégnation. « J’ai appris avec Philippe Bousseaud qui possède une quarantaine d’oies dans la région de Nantes. L’an dernier, j’ai commencé avec un premier groupe, mais il a fallu maintenir les oiseaux confinés pendant quatre mois à cause des risques de grippe aviaire. C’est seulement depuis cette année que je propose des vols biplaces de 20 à 30 mn au public », explique-t-il. Des vols qui s’effectuent principalement de l’automne au printemps. En été, il fait souvent trop chaud. Les oies rieuses sont des oiseaux qui nichent à l’état sauvage dans la toundra arctique et qui migrent en Europe du Nord durant l’hiver. « Au-dessus de 10-12 degrés, c’est plus difficile de les faire voler », explique François Proix, qui emmène « ses enfants » durant les deux premières années de leur vie. Ensuite, très naturellement, l’oie se détache de ses parents pour s’accoupler. Dans ce cas précis, les oies ne volent plus avec l’ULM. Mais demeurent néanmoins incapables de vivre en milieu naturel. Elles n’ont pas été élevées pour se défendre des prédateurs. « Du coup, on les donne à des éleveurs », explique François Proix, qui envisage désormais de tenter l’imprégnation avec des oies bernaches du Canada, réputées plus rapides en vol. Ce sera pour l’an prochain. |
| | | Claire
Messages : 19909 Localisation : Annecy
| Sujet: Re: Les animaux et nous Mer Sep 19 2018, 16:44 | |
| A ce propos un très joli film a voir c'est l'envolée sauvage | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Jeu Sep 20 2018, 11:04 | |
| Elle tombe folle amoureuse d’un chat sur Internet et fait quelque chose de totalement dingue Une très très belle histoire qui devrait vous émouvoir. Souvenez-vous. Il y a quelques jours de cela, nous vous racontions l’histoire de Freya, une adorable chatte errante qui avait grand besoin d’aide. Pour l’obtenir, elle a décidé de sauter dans la voiture d’une femme croisée sur le parking d’une école. La femme en question se nomme Susannah Nevison, et elle décide alors de tout faire pour aider cette chatte. Dans un premier temps, Susannah Nevison envisage de l’adopter, mais rapidement des problèmes d’allergie font surface. Elle doit alors se résoudre à confier la chatte à un refuge qui prendra soin d’elle et tentera de lui trouver la meilleure des familles pour continuer sa vie. Une histoire qui devient virale Rapidement, l’histoire de la belle Freya devient virale et tout le monde pense alors que son adoption n’est qu’une question de jours. Au refuge, la chatte est pucée et opérée de son œil. Malheureusement, une première journée d’adoption passe et Freya ne trouve pas de famille. Mais tout va changer quand le site TheDodo raconte son histoire. Là, la fille de Caren Kolb entend parler de cette chatte et ne peut s’empêcher de la montrer à sa maman qui tombe immédiatement amoureuse de Freya. Elle demande alors l’opinion de son mari – car le couple a déjà deux chats – et il est d’accord ! « Nous n’avions pas du tout besoin d’une autre boule de poils, mais cette chatte avait besoin d’aide maintenant. » Le seul hic c’est que Freya se trouve dans l’Utah et que le couple vit dans le Nevada. Comme le refuge refuse de « réserver » des chats, Caren Kolb comprend qu’elle doit vite agir si elle veut ramener Freya avec elle. Elle saute alors dans un avion et se rend dans le refuge. Dès leur première rencontre, Freya et Caren tombent sous le charme l’une de l’autre. Une fois de retour chez elle avec la chatte, Caren et son mari décident qu’elle mérite un nouveau nom pour débuter une nouvelle vie. Un nouveau nom et une nouvelle vie Si tout le monde a d’abord pensé à un nom de pirate, c’est finalement celui d’un personnage de la série « Game of Thrones » qui lui sera donné. C’est ainsi que Freya est devenue Yara. Un prénom qui souligne son courage. Si Yara a encore besoin d’un peu de temps pour s’acclimater à sa nouvelle vie, elle commence déjà à trouver ses marques. « La semaine dernière, nous l'avons vue sur une vidéo virale, et maintenant elle est à la maison avec nous, c'est un peu surréaliste. » Une belle rencontre, beaucoup d’amour et une magnifique histoire. |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Les animaux et nous Jeu Sep 20 2018, 18:10 | |
| Un chien bien insouciant . | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les animaux et nous Ven Sep 21 2018, 14:44 | |
| Un indice de stress « De temps en temps, mon chat, âgé de 14 ans, urine un peu partout dans la maison. Comment l’en dissuader ? Jusqu’à présent, il utilisait sa litière. Je ne comprends pas. » Ce phénomène de régression par des manifestations malodorantes traduit le plus souvent un stress. Si l’animal se tient debout lors de son oubli, cela reflète un sentiment d’anxiété ou de déprime. L’usage de répulsifs à base de phéromones reste la solution la plus adaptée. S’il urine normalement, en position assise, il doit être contrarié et manifeste son mécontentement. Avez-vous changé de bac ou de litière ? Le sable est-il suffisamment renouvelé ? Placez la litière à l’endroit qu’il a choisi avant de la ramener progressivement à l’endroit initial. Versez-y quelques gouttes de Javel, ce qui devrait l’inciter à la réintégrer. Une technique consiste à rendre l’endroit où il s’oublie moins accueillant. Disposez des feuilles d’aluminium (bruyantes). Le marc de café constitue aussi un bon répulsif. Faites preuve de patience et de ruse pour rééduquer votre chat à la propreté. Évitez de nettoyer les souillures à l’eau de Javel ou à l’ammoniaque, car les chats raffolent de ces odeurs. |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Les animaux et nous Sam Sep 22 2018, 03:10 | |
| Notre chatte qui a 16 ans fait son pipi dans la litière. Elle a depuis quelque temps une manie ,miauler très fort la nuit trois ou quatre fois la nuit. | |
| | | Kris
Messages : 2271
| Sujet: Re: Les animaux et nous Sam Sep 22 2018, 09:43 | |
| - Michel Boisjoly a écrit:
- Elle a depuis quelque temps une manie ,miauler très fort la nuit trois ou quatre fois la nuit.
Le chant du cygne, peut-être ? | |
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| Sujet: Re: Les animaux et nous | |
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