Qui est en ligne ? | Il y a en tout 94 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 94 Invités
Aucun
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 171 le Dim Oct 13 2024, 09:27
|
|
| Reportages et découvertes..... | |
| | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Reportages et découvertes..... Mer Mai 02 2018, 16:11 | |
| Au paradis des randonneursSauvage, authentique, préservée, la côte de l’Alentejo, au sud-ouest du Portugal, offre aux marcheurs ses falaises escarpées, ses plages désertes et ses eaux turquoise.Le charmant village de pêcheurs de Porto Covo.La zone côtière allie le romantisme et la tranquillité de l’Alentejo au caractère de la dernière partie véritablement sauvage de l’Algarve.Par Laura MauriceIl est des régions au charme discret, aux trésors cachés, aux airs de paradis.L’Alentejo est de celles-là. Entre Lisbonne et la très touristique Algarve, la côte portugaise offre une sérénité rare et des paysages d’exception.Des plages désertes, une eau turquoise, des dunes colorées, des falaises balayées par le vent, des ports encastrés et près de 75.000 hectares protégés par le parc naturel régional du sud-ouest. C’est dans ce décor unique, sauvage et authentique, qu’est née la Rota Vicentina, un réseau de sentiers de 450 km sillonnant, depuis le cap Saint-Vincent, un littoral parmi les plus beaux et les mieux préservés d’Europe.La zone côtière allie le romantisme et la tranquillité de l’Alentejo au caractère de la dernière partie véritablement sauvage de l’Algarve.Ici, les tours de fenêtre sont traditionnellement peints en bleu, contre le « mauvais œil », la quiétude est un art de vivre et le temps s’écoule lentement, propice à la randonnée. Des ruelles pavées de Porto Covo au château mauresque d’Aljezur, les chemins balisés conduisent de villages agricoles en petits ports de pêches, d’estuaires sauvages en criques idylliques.À pied ou à VTT, sur la côte ou les chemins ruraux, la Rota Vicentina offre mille possibilitésChaque jour, des étapes de 15 à 25 km permettent d’explorer les dunes, truffées de plantes rares et endémiques, les roches laissées à découvert à marée basse, les falaises escarpées entrecoupées de plages de sable fin, l’embouchure des fleuves et rivières, les forêts de chêne-liège et les plateaux côtiers.Les kilomètres défilent, éclipsés par l’immensité des lieux et le bruit des vagues contre la roche. Les marcheurs dénicheront de l’ail sauvage, croiseront le regard bienveillant d’un vieux pêcheur à flanc de falaises,retenu par une simple corde, et passeront de longues minutes à observer les cigognes nichées sur les pitons rocheux. Les plus courageux tenteront de rallier cette crique abandonnée en contrebas pour une pause hors du temps, à l’abri des regards.À pied ou à VTT, sur la côte ou les chemins ruraux, la Rota Vicentina offre mille possibilités.Sentier classique de grande randonnée, le « chemin historique » (12 étapes sur 230 km) traverse des villes et villages riches deplusieurs siècles d’histoire, des monts, des forêts de chêne-liège, des vallées et des rivières. Il a reçu, en 2016, le label « Leading Quality Trails – Best of Europe ». Plus spectaculaire, plus sablonneux, plus exigeant, le « Chemin des pêcheurs » se découvre essentiellement à pied.Ce sentier, emprunté par les locaux pour accéder aux plages et lieux de pêche, est déconseillé aux personnes souffrant de vertiges. Le souffle constant du vent et de la mer, la rudesse du paysage côtier et l’omniprésence d’une nature sauvage font la beauté singulière de ce circuit de 120 km.Randonnées en liberté ou accompagné, le spécialiste Chamina Voyages livre des itinéraires clé en main, personnalisables, avec transport des bagages d’une étape à autre, transferts et réservation des hébergements. Le véritable atout de cette agence : son lien permanent avec les locaux, qui permet de s’imprégner de la culture portugaise.Enfant du pays, Ricardo partage inlassablement son temps et ses souvenirs sur les sentiers. Le soir venu, il guide les randonneurs vers l’autre trésor de l’Alentejo : la gastronomie. Dans un restaurant traditionnel ou dans le cadre idyllique de la maison d’hôtes « Três Marias », dans la campagne de Vila Nova de Milfontes, porc noir, patates douces, palourdes, fromages de brebis, vins blancs aromatiques et rouges intenses ou liqueur de cerise réconforteront les organismes. Avant une nouvelle journée d’émerveillement, le lendemain. |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mer Mai 02 2018, 17:16 | |
| Je retiens de tout cela vins et liqueurs. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Lun Oct 29 2018, 10:44 | |
| Mékong, le retour Après le succès des deux croisières organisées cet hiver sur le célèbre fleuve d’Asie, vos quotidiens vous proposent le même périple l’an prochain (du 30 novembre au 12 décembre 2018). Un itinéraire que recommandent chaudement les premiers passagers. Angkor où la magie du soleil. Un fleuve sur lequel coule une vie authentique. En cette période de l’année, les eaux sont hautes et les paysages pleins de vie Daniel Tanière (Dieulouard - 54)... ici en train de manger un insecte grillé, un mets apprécié en Asie : « La vraie richesse du voyage, c’est de rentrer dans le pays ». Paroles aux passagers. Ici, Jean-Pierre Myotte (Pierrefontaine-les-Varans - 25), avec son épouse Huguette : « Sensationnel cette façon d’aller à la rencontre des gens ». Annick Gillet (Ranguevaux - 57), avec Michel son mari : « On en revient changé ». Claude Bour (Hayange - 57), dompteur de papillon : « La découverte d’un autre monde ». Il y a un peu plus d’un an, L’Est Républicain, Le Républicain Lorrain et Vosges Matin lançaient, par l’intermédiaire de leur club des Lecteurs voyageurs, leur première croisière au long cours. En bout de piste, une destination de rêve : le Mékong. Ce fut un succès qui dépassa toutes nos espérances et estomaqua CroisiEurope, notre nouveau partenaire. « Du jamais vu », confia-t-on chez le croisiériste alsacien. Deux heures après l’ouverture des réservations, le premier départ, prévu sur le nouveau navire de la compagnie (60 personnes sur le RV Indochine II), affichait complet. Juste le temps de trouver une deuxième date… Dix jours après, elle était elle aussi remplie. Et de nombreux lecteurs nous faisaient part de leur souhait de partir avec nous. Ce qui n’était techniquement plus possible. Devant cet engouement, les trois journaux de Lorraine et de Franche-Comté vous proposent un nouveau départ fin 2018 (13 jours - 10 nuits, du 30 novembre au 12 décembre 2018), lorsque les eaux sont hautes, la navigation possible sur le lac Tonlé Sap, les rizières vertes et pleines de vie. Nous reprenons ici une formule qui a fait ses preuves : des tarifs négociés inférieurs au prix public (à partir de 3.299 euros par personne), tout inclus (vols sur compagnie régulière, excursions, visas, sélection de boissons à table et cocktail du soir), un accompagnement personnalisé (des journaux de bord, un album offert au retour) et, en option, un transfert depuis la région (en supplément). Du Cambodge au Vietnam, des mythiques temples d’Angkor à la dynamique Saïgon, ce somptueux parcours effectué à bord du RV Indochine II descend un fleuve chargé d’histoire et qui irradie toute l’Asie du Sud-Est. Le périple propose même en option un saut de puce jusqu’à la baie d’Along. Le club des Lecteurs voyageurs y a déjà effectué deux séjours, les derniers passagers sont d’ailleurs rentrés la semaine passée. Alors, laissons-leur la parole. Ce sont désormais eux qui en parlent le mieux. Leurs avis sont unanimes. Annick Gillet, de Ranguevaux (57) le dit : « Le paysage est ‘’décoiffant’’. On découvre un autre monde. On en revient changé. Cela nous amène à revoir nos valeurs. » Daniel Tanière (venu avec son épouse… Danièle également) de Dieulouard (54) confirme : « Bien sûr, il y a des sites touristiques comme Angkor. Mais la vraie richesse du voyage, c’est de rentrer dans le pays, de nous faire voir la vraie vie des gens. Le bateau n’accoste pas sur des pontons géants mais à la limite des villages. » Jean-Pierre Myotte, de Pierrefontaine-les-Varans (25) est sur la même longueur d’ondes : « C’était juste sensationnel, cette façon d’aller à la rencontre des gens. Surtout au Cambodge. » Claude Bour, de Hayange (57), qui, à Angkor, s’est improvisé dompteur de papillon, ne dit pas autre chose et parle lui aussi de « la découverte d’un autre monde ». Ou de plusieurs mondes en réalité. Tant le Cambodge semble frappé du sceau de l’authenticité et le Vietnam, dont le pouls bat très fort, offre l’image d’une Asie en train de renaître. Il faut vite aller leur rencontre. Vite avant que tout ne change. |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Lun Oct 29 2018, 12:01 | |
| Jamais de tourisme organisé pour moi , se balader tout seul dans le monde est une autre aventure . | |
| | | Rosie
Messages : 43939 Localisation : Danizy
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Lun Oct 29 2018, 16:23 | |
| Pour nous non plus jamais nous n'avons jamais fait de tourisme organisé , nous allons juste nous renseigner à l'office du tourisme .Je ne supporte pas le tourisme organisé car on vous impose plus ou moins où s’arrêter . | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mar Mar 05 2019, 11:06 | |
| Séduisantes Sybelles En Maurienne, six stations interconnectées forment le quatrième plus grand domaine skiable de France. Panorama sur les emblématiques aiguilles d’Arves. Photo HDPanorama sur les emblématiques aiguilles d’Arves. Comme des sœurs, elles se sont donné la main pour s’unir et grandir ensemble, tout en gardant chacune sa physionomie et ses traits de caractère propres. Les Sybelles : le domaine, rêvé dans les années 90, est né en 2003, de l’union de six petites stations, les six belles. Le Corbier (1.550 m) avec ses galeries couvertes et son incontournable piscine extérieure chauffée. Sublime et relaxant. La Toussuire (1.750 m), réputée pour son ensoleillement exceptionnel et son panorama à couper le souffle. Saint-Sorlin-d’Arves (1.600 m) et son rythme unique au fil de ses quatorze hameaux et son ambiance station-village. Authentique. Saint-Jean-d’Arves (1.550 m) où les vaches laitières qui nourrissent le Beaufort partagent authenticité et clichés rêvés. Grandiose. Saint-Colomban-des-Villards (1.100 m) et ses infrastructures modernes soigneusement intégrées dans un cadre préservé. Charmante. Les Bottières (1.300 m), réputée pour être la station familiale à l’état pur. Apaisante. 146 pistes déroulées sur 310 km Interconnectées par le sommet de l’Ouillon (2.431 m), dont l’accès depuis le Corbier et Saint-Jean d’Arves est facilité depuis cet hiver par le nouveau télésiège débrayable du Mont Corbier, elles soulignent le caractère familial et authentique à la fois du ski en Maurienne. Mieux, en s’unissant, elles forment le quatrième plus grand domaine alpin de France où se dessinent 146 pistes déroulées sur 310 km (dont 6 km pour la plus longue). Des pistes pour tous les goûts. Et tous les niveaux. Uniquement des bleues en famille ? C’est possible. Y compris pour parcourir le domaine dans son intégralité. Du ski plus engagé ? L’embarras du choix avec 9 pistes noires et 41 pistes rouges. Débutant ? Des zones spécifiques et ludiques sont dédiées hors des flux habituels. « On ne se lasse jamais de skier aux Sybelles ! » Habitués et Savoyards le disent : « On ne se lasse jamais de skier aux Sybelles ! » Une espèce de lapalissade établie à la faveur de versants diversifiés, de ski aux saveurs différentes, d’ambiance sportive, ludique ou familiale. Et dans un cadre, au choix, plus épuré ou plus boisé, sous la protection bienveillante et permanente des aiguilles d’Arves. Sur les pistes autrement ? Outre les virées en raquettes, aux Sybelles on peut se mettre au parapente, au speed riding (avec une voile), à l’ULM. On peut aussi tester le VTT ou la trottinette sur neige, s’initier à la conduite d’un attelage de traîneaux à chiens. Ou s’élancer dans une descente de snake gliss (plusieurs luges qui se clipsent les unes aux autres). Fous rires garantis. Un paysage grandiose devant lequel il fait bon se prélasser. La station de Maurienne propose 9 pistes noires et 41 pistes rouges. La piscine du Corbier. Séance de snake gliss en soirée, à la fermeture des pistes. Les Sybelles bulles, à déguster skis aux pieds. Petite pause avant de redescendre vers Le Corbier, en contrebas. Jean-Christophe PIGNON |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mar Mar 05 2019, 11:31 | |
| Les tarifs Forfait journée : adulte 44,80 € sauf le samedi 22 € (semaine 224 €) ; enfant et vermeil 38,10 € (semaine 190,50 €). Divers bons plans et packages ski, famille, bien être… à retrouver sur www.sybelles.ski Où manger ? Où dormir ? Parmi les nombreuses formules d’hébergement offertes (location de particuliers, résidences, hôtels…), le chaleureux hôtel La Balme, à Saint-Sorlin-d’Arves, et son restaurant Le Cerf aux Bois d’Argent où sont proposées des formules tout compris incluant l’hébergement, la demi-pension, le forfait remontées mécaniques (www.hotel-balme.com). Incontournable adresse, à la fois branchée et sympathique en famille, le restaurant Le Hors Piste, à Saint-Sorlin-d’Arves, pour y déguster la Sybelle miche : une fondue directement cuite dans sa miche de pain. Pour sortir de l’ambiance savoyarde à tout prix, la pizzeria Di Peppino, à Saint-Jean-d’Arves, meilleurs risottos et meilleures pizzas du secteur selon les habitués. Petits plus Pour se faire livrer directement toute l’année, du beaufort depuis la coopérative laitière de la vallée des Arves : www.beaufortdesarves.com Les Sybelles bulles : l’hiver dernier, un crémant de Savoie a été créé qui a donné corps à deux cocktails mis au point par le bartender parisien Mido Ahmed Yahi Sybelles au Naturel et Après ski. S’y rendre En voiture, depuis Nancy par A31 : 6 h 20 ; en train, gare la plus proche : Saint-Jean-de-Maurienne ; en avion, aéroport à proximité : Chambéry. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mer Mar 06 2019, 11:29 | |
| A la découverte Sur les routes du Midwest Terres de tradition et d’accueil, l’Indiana et le Wisconsin puisent aujourd’hui leur modernité dans les origines du pays. Autrefois accrochées sur les façades des maisons, des fermes et des granges, les étoiles amish apportaient chance, bonheur et protection. Les canyons du Turkey Run State Park. Photo Thierry Suzan White River State Park à Indianapolis. Photo Thierry Suzan Fermier amish de la région de Nappanee. Photo Thierry Suzan La ville de Milwaukee et le lac Michigan. Photo Thierry Suzan Les tours de verre d’Indianapolis miroitent sous le soleil du matin. La capitale de l’État de l’Indiana, cosmopolite et verdoyante, dévoile ses multiples regards. Art et culture, nature et tradition, musique et sport mécanique, Indy est à la croisée de tous les chemins. Dotée d’un riche patrimoine historique et d’une architecture bigarrée, la ville à taille humaine donne l’image d’un destin maîtrisé. L’innovante piste cyclable Cultural Trail conduit les visiteurs à travers tous les quartiers, du parc arboré White River State au légendaire circuit automobile d’Indianapolis, en passant par les innombrables musées et les théâtres, le stade de football américain Lucas Oil Stadium et le vieux quartier de Lockerbie jalonné de maisons victoriennes. Tous sont l’héritage de l’histoire foisonnante d’Indianapolis. Les Amish sont présents dans l'Indiana depuis plus de deux siècles À chaque heure du jour, les chevaux de trait piétinent l’interminable campagne. D’un geste éprouvé, le fermier tire sur la sangle et met en branle les puissants équidés qui avancent à travers les gerbes de blé. Si les empreintes dans la terre sont profondes, les traditions des Amish le sont tout autant. La communauté anabaptiste est présente dans l’Indiana depuis plus de deux siècles. Sans voitures ni électricité, guidés par une foi indéfectible, les Amish vivent à l’écart du progrès, dans le refus des temps modernes. Pour ne pas pervertir leurs âmes, ils se conforment à des règles strictes et respectent des principes rigoristes en matière de religion. Les Amish sont des agriculteurs dont l’existence repose sur un mode de vie autarcique. Cependant, ils échangent parfois avec le monde extérieur, à l’instar des habitants de la ferme historique Amish Acres située dans la région de Nappanee. Là, ils partagent leur art de vivre avec les voyageurs venus de tous les horizons. Le Wisconsin est la contrée des collines, vallées et rivières L’Indiana est un florilège d’immenses prairies, de dunes de sable, de plaines et de forêts. Chaque année, les Hoosiers, les natifs de l’Indiana, se retrouvent en famille autour du festival des ponts couverts. Une façon de montrer qu’ici, les gens sont simples et généreux. Sur les routes sinueuses du proche Wisconsin, les paysages agricoles s’échappent à perte de vue. Terre de naissance de l’architecte Frank Lloyd Wright, le Wisconsin est la contrée des collines, vallées et rivières. « The Dairy State », l’État laitier qui fabrique un quart de la production fromagère des États-Unis est bordé au nord par les grands lacs Michigan et Supérieur et à l’ouest par le fleuve Mississippi. La route panoramique du Great River Road suit le long cours d’eau qui coule entre les vignobles et les villages pittoresques. Située sur la rive méridionale du lac Michigan, la ville de Milwaukee abrite le Art Museum avec son architecture futuriste et sa collection d’œuvres classiques, le Harley Davidson Museum ainsi que l’une des plus grandes usines de brassage de bière, la Miller Brewery. Entre modernité et ruralité, le Midwest séduit par son terroir paisible et ses villes dynamiques, à l’image de ses habitants. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mer Mar 06 2019, 11:29 | |
| "Si le coeur vous en dit" Signification Si vous le voulez, si cela vous tente. Et si le coeur vous en dit Préparation du voyage Visit the USA, le site officiel de l’office de tourisme des États-Unis, propose toutes les informations utiles pour préparer son voyage dans l’Indiana et le Wisconsin. Un site très complet avec des liens vers chaque région touristique des États-Unis. Renseignements sur www.visittheusa.fr ou sur www.thebrandusa.com VisitIndiana, propose aussi de préparer votre séjour grâce aux services et informations sur le site de l’office de tourisme de l’Indiana : événements, shopping, excursions et balades, activités sportives, météo, hôtels, restaurants et cafés, etc. Renseignements sur www.visitindiana.com Travel Wisconsin propose des informations pratiques et touristiques pour passer de bonnes vacances dans le Wisconsin : monuments et musées, histoire et culture, cartes et guides, transports, sorties, etc. Renseignements sur www.travelwisconsin.com Visa Les voyageurs français doivent être en possession d’une autorisation électronique de voyage ESTA, à remplir obligatoirement en ligne sur le site officiel d’ESTA avant d’embarquer pour les États-Unis, par voie aérienne ou maritime. Coût : 14 $ pour une validité de 2 ans. Visa à remplir sur www.esta.cbp.dhs.gov/esta Y aller American Airlines, la plus grande compagnie aérienne au monde, offre des liaisons quotidiennes au départ de Paris, avec des correspondances vers un grand nombre de destinations aux États-Unis, dont Indinapolis et Milwaukee. Réservations sur www.americanairlines.fr Où dormir Les hôtels Marriott proposent une grande gamme d’hébergements dans l’Indiana et le Wisconsin. Des chambres confortables pour tous les budgets. Réservations sur www.marriott.fr Dans l’Indiana > Sheraton Indianapolis City Centre Hotel à Indianapolis. > Le Meridien Indianapolis à Indianapolis. > Fairfield Inn & Suites Valparaiso à Valparaiso. Dans le Wisconsin > The Westin Milwaukee à Milwaukee. > Fairfield Inn & Hill Suites à Wisconsin Dell. Où manger > Mesh restaurant à Indianapolis, www.meshrestaurants.com > Thirty-Six Saloon à Rockville, www.thirtysixsaloon.com Thierry Suzan |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mer Mar 06 2019, 11:46 | |
| Il parait bien moderne votre Amish ,les roues de la faneuse sont des pneus . Ce n'est pas possible chez eux . | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Jeu Mar 07 2019, 10:51 | |
| Le Costa Rica eldorado de verdure Le petit pays d’Amérique centrale a fait le choix de l’écotourisme. Pour le plus grand bonheur des « ticos », des voyageurs, des toucans et autres quetzals. Matin de brume sur la forêt tropicale. Une nature généreuse où l’on croise des iguanes semblant sortis de la Préhistoire, de simples papillons aux ailes fragiles, des couguars au regard méfiant, des aras qui font figure d’arc-en-ciel dans le bleu du ciel et la fameuse grenouille aux yeux rouges, symbole du pays. Le volcan Arenal, l’un des plus beaux panoramas du pays. Même si son sommet est souvent perdu dans le brouillard. Par Philippe Marcacci Pura vida ». La vie pure et, pour le moins, au grand air. Le Costa Rica, un tout petit pays d’Amérique Centrale (51.000 km2 et 5 millions d’habitants) coincé entre le Panama et le Nicaragua, a choisi une devise résolument moderne aux allures de slogan publicitaire. Normal, surfant sur l’esprit vert du moment, la destination, qui joue la carte de l’écotourisme, est devenue très tendance. Notamment en France où, l’an passé, deux institutions se sont ouvertes à cet eldorado de verdure : le Routard lui a consacré son premier guide et Air France a ouvert une ligne San José-Paris. Pas la peine de s’inquiéter pour autant, vous n’entendrez pas parler français à tous les coins de rue. L’on vient surtout au Costa Rica pour sortir des sentiers battus et respirer une nature aussi vaste que généreuse. Dès les premiers pas, l’on est happé par cet îlot de prospérité où, au regard du continent, l’économie se porte bien. Si l’on en croit une étude britannique, les « ticos » (le surnom des habitants) sont d’ailleurs les hommes (et les femmes) les plus heureux du monde, les champions d’un « bonheur durable » qui prend en compte le degré d’inégalité des revenus, l’espérance de vie, la satisfaction de la population et l’empreinte écologique. Vrai qu’ici, on fume très peu, on trie partout et on a rangé les armes depuis près de soixante-dix ans. L’armée y a été supprimée en 1948. Pourtant, on s’y promène en toute sécurité. À la poursuite des nombreuses merveilles que proposent des paysages qui semblent changer à chaque virage. Impossible de tous les citer. Au moment de faire ses bagages, il faudra forcément choisir. Et la saison et les sites. Aller sur les plages du Pacifique où l’on trouve tout de même beaucoup de touristes américains ou, plus sûrement, opter pour Tortuguero sur la côte caraïbe. On est ici au bout du monde et on croise des iguanes, des toucans, des capucins et tant d’autres animaux. Sarpiqui ou bien encore Monteverde, les parcs sont nombreux. La nuit venue, en tendant l’oreille et en ouvrant les yeux, vous pourrez (assez facilement) croiser une des étonnantes grenouilles du Costa Rica. Certaines se promènent avec des yeux d’extra-terrestres, d’autres munies d’un poison mortel. Il y a également des volcans, comme celui d’Arenal, un seigneur étourdi qui perd parfois sa couronne dans la brume. Plus étonnant encore, le quetzal, un oiseau mythique à longue queue bleue, au poitrail rouge et à la toute petite tête. On le dit rarissime. Il s’offre pourtant généreusement aux voyageurs de passage. Comme tout le Costa Rica. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Dim Mar 10 2019, 17:56 | |
| Verbier, le bol d’air Suisse en hiver, c’est la Mecque des freeriders. mais La saison estivale n’a pas à rougir. La station helvète, chic mais pas bling-bling, est un paradis des sports de plein air dans un panorama d’exception. Réveil au son des cors alpins. Photos RL Lever du soleil au mont Fort, point culminant des pistes de la vallée, à 3.330 m d’altitude. Le soleil se lève sur le mont Blanc, vu côté suisse. Un magnifique terrain de jeu pour les vététistes. Outre les 12 km de descente du Bike Park pour les experts, la vallée offre 833 km de circuits VTT, enduro ou cross-country. Par Cécile Perrot C’est un décor grandiose du domaine des 4 Vallées dans le canton du Valais, à la frontière des trois Suisse. La station, perchée à 1.500 mètres d’altitude, est cernée par un florilège de sommets alpins, le Cervin, le Grand Combin et le mont Blanc pour ne citer que les plus admirés, les plus redoutés. Réputée l’hiver pour son ski hors-piste et l’été pour son festival de musique classique, la station voudrait gagner des places dans le palmarès des meilleures destinations estivales. Elle est le repaire des stars comme Madonna ou James Blunt, un pied à terre des familles royales belge et britannique. Le prince Harry y a enterré sa vie de garçon. Verbier n’est pas guindée comme la huppée Courchevel. Ses habitants y entretiennent leur flegme suisse. Ils cultivent leur tempérament simple et nature. C’est la station la plus cool des sensations les plus fortes. Les fous de VTT accourent à Verbier pour son Bike Park, ses sept pistes et douze kilomètres de descente. Ils profitent d’un terrain de jeu de 833 km de circuits VTT, enduro, cross-country et e-bike. L’assistance électrique, même avec un bon coup de pédale, n’est pas un luxe pour ne pas laisser le guidon sur le bas-côté du sentier. Les sportifs dopent leur adrénaline à la via ferrata du col des Gentianes, à la via cordata du mont Fort, au sentier suspendu, en enchaînant trail et parapente. La station, été comme hiver, est réputée technique. Un été à Verbier, c’est aussi s’autoriser la rencontre fortuite avec des marmottes, un bouquetin ou les vaches d’Hérens. Ces vaches de lutte s’affrontent pour la suprématie du troupeau lors de la montée dans un des sept alpages. Les reines des 4 Vallées font la renommée du fromage à raclette de Bagnes. Fondue au feu de bois, dégustée devant l’âtre au retour d’une randonnée. Cinq cents kilomètres de sentiers ont été balisés. Ils conduisent aux plus beaux points de vue sur le massif. La cabane Panossière et son pont suspendu, la Pierre Avoi avec sa vue à 360° sur la vallée du Rhône, les massifs des Combins et le massif du Mont-Blanc. Splendide, vertigineux. Du côté de La Tzoumaz, en piste pour une balade gourmande avec Étienne. Le guide de montagne accompagne les randonneurs pour une cueillette de plantes sauvages. Arrivés à Riddes, les marcheurs cuisinent leur récolte à la Maison de la Forêt où le patron prête ses fourneaux, un peu d’ail et de poivre pour agrémenter la recette. Pesto aux orties, risotto d’épinards sauvages et berces aux pattes d’ours, sérac avec son coulis de rhubarbe sauvage, se dégustent à l’ombre d’un pin. Chaque mardi, après une séquence yoga en altitude, Marc, un des propriétaires d’un refuge de berger, propose un brunch à l’alpage de Sery : abricots du Valais, fromages, confiture maison, jus de pomme local. On se rêve petite Heidi, le temps d’une pause requinquante devant cet ître, un abri en pierre sèche, bercé par le cliquetis du ruisseau, le Bisse Sery. L’émerveillement et l’envie de nourrir le corps et l’esprit n’ont pas de limite. Alors on s’accorde une ultime ascension dans la minéralité des montagnes et leurs neiges éternelles. Chaque jeudi à 4 h 30, un bus monte ses voyageurs jusqu’au téléphérique au pied du glacier du mont Fort. Pour savourer, par zéro degré au cœur de l’été et à 3.330 m d’altitude, la magie du lever du soleil, flamboyant, sur l’autre versant du mont Blanc. |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Dim Mar 10 2019, 18:00 | |
| Je connais cette station ,mais je me suis contenté de marcher dans les rues avec des congères de un mètre . | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mer Mar 13 2019, 10:37 | |
| Madère ne manque pas d’air Terre réputée de randonnée pédestre, l’archipel portugais a bien d’autres atouts dans sa manche pour les amateurs d’activités en extérieur. Du canyoning au parapente en passant par la plongée, Madère exploite un patrimoine naturel riche à foison ! Le cap de São Lourenço est le point le plus à l’est de l’île. L’île est connue des surfers grâce aux excellentes conditions de surf et au climat subtropical tout au long de l’année. Francisco Correia Chaque année a lieu sur l’île la rencontre internationale de canyoning, RIC Madeira. Par Stéphanie Cheffer Les connaisseurs la surnomment la « Petite Réunion ». Une appellation guère usurpée : Madère, entre ses forêts luxuriantes, ses montagnes restées sauvages et ses côtes balayées par les vents n’a pas grand-chose à envier, hormis ses mensurations, à son homologue de l’océan Indien. Campée au large des côtes marocaines, au cœur de l’océan Atlantique, à un millier de kilomètres de Lisbonne, cette région autonome du Portugal invite à bouger. Sur terre, en mer ou dans les airs. L’île principale (740 km² sur les 800 km² de l’archipel) n’est plus à présenter en matière de trekking, elle qui offre trente chemins de PR (petite randonnée) longeant les levadas, ces canaux d’irrigation construits par l’homme et qui guident aujourd’hui le marcheur à travers la végétation exubérante de la forêt laurifère. Et quand la pente s’élève, c’est pour mener le randonneur au sommet du Pico Ruivo, point culminant (1.862m) en plein centre d’une île au passé volcanique. Et dont le relief enfante également de majestueux spots de canyoning : plutôt sur le versant nord en été, les rivières ayant un fort débit, et au sud l’hiver, sur des dénivelés plus doux et des courants plus calmes. La Ribeira a Pedra Branca, le Tiberira di Inferno ou encore le Riberiro Frio, voient ainsi défiler les amateurs de balades aquatiques ponctuées de sauts, de descentes en rappel et de franchissements, non loin d’ailleurs des fans d’escalade et de tyrolienne qui piochent au fil des falaises vertigineuses leur dose de sensations fortes. Comme toute région de moyenne montagne, Madère use également de ses richesses naturelles pour offrir un terrain de jeu tout trouvé aux vététistes. Mais ces kilomètres d’itinéraires ayant été dessinés dans la zone forestière protégée et classée Natura 2000, une petite spécificité est à noter : une autorisation préalable - disponible sur le site de l’Institut des forêts et de la conservation de la nature - est requise pour pouvoir aller rider dans le secteur du Poiso, ou sur le plateau Paul da Serra, perché à 1.400 m au-dessus de l’océan. Les vagues font de l’ouest de Madère, l’Hawaï de l’Atlantique Et quand on parle d’océan... Les surfeurs ne manqueront pas de le défier, sur les côtes de Jardim do Mar, de Paul do Mar ou encore de Sao Vicente. Les roches du fond de mer, alliées à la géographie accidentée et escarpée des côtes, donnent en effet naissance à des vagues qui font de Madère, sur sa partie ouest, l’Hawaï de l’Atlantique. Sous l’eau, et en mode plus contemplatif, le plongeur s’immergera dans les réserves naturelles pour aller saluer, entre anémones et coraux noirs, les mérous, murènes, raies et parfois loups de mer qui ont élu domicile dans les eaux de Caniço, Garajau, Machico, Caniçal ou Santa Cruz. Non loin du rivage de Madalena do Mar - soit à l’est de Funchal (la cité principale de l’île) - le « Bowbelle », navire qui a coulé il y a quelques années, offre par ailleurs un étonnant récif artificiel, entre 20 et 30 m de fond. Parfois chahuté par les vents, l’archipel se laisse également admirer de haut. À condition qu’Éole ne lui joue pas un mauvais tour, l’amateur de parapente pourra ainsi s’élancer du belvédère de Madalena do Mar, ou de la zone de Prazeres sur la côte nord-ouest, pour gagner un point de vue imprenable sur cette île… décidément à l’aise sur tous les terrains. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Dim Avr 14 2019, 16:38 | |
| le Sud californien en toute décontraction La Californie, ce n’est pas que San Francisco, les parcs nationaux ou la vallée de la mort. Au sud de Los Angeles, ville aux multiples charmes, San Diego l’hispanique et l’oasis de Palm Springs dégagent une douceur de vivre sans pareil. Difficile de croire que San Diego est la huitième ville des États-Unis tant l’ambiance y est paisible et décontractée. Les villas des stars à Palm Springs, se fondent parfaitement dans l’environnement montagneux et désertique. La carte-postale du rêve californien à Venice Beach. Dans l’Arts District de Los Angeles, quartier en plein renouveau, la plupart des murs sont ornés de graffitis. Par Philippe Marque À San Diego, le sang hispanique coule dans près de 30 % des veines. La ville du sud de la Californie est posée à 30 km de la frontière mexicaine, et ça se sent à chaque coin de rue. L’ambiance y est si décontractée que jamais le visiteur n’a l’impression d’être dans la huitième ville des États-Unis et la deuxième agglomération de Californie, avec 3 millions d’habitants. Cette atmosphère unique doit beaucoup aux 35 ans de moyenne d’âge de la ville ! Si Old Town, son vieux quartier de style espagnol, a vendu son âme aux touristes, les oiseaux de nuit se retrouvent à Gaslamp, véritable paradis pour fêtards ! C’est l’occasion de goûter à la spécialité locale, la bière artisanale, San Diego ne comptant pas moins de 85 brasseries. Réputée pour son climat chaud et sec, la plus ancienne ville de Californie offre un condensé de son passé dans la dizaine de musées regroupés dans le Balboa Park. La population adore flâner le week-end dans ce bol d’oxygène de 560 ha, aux 20.000 arbres et aux bâtiments de style colonial espagnol. Ou sur les quais où se visite l’impressionnant porte-avions USS Midway. Côté plages, une promenade le long de Pacific Beach s’impose. Les locaux y boivent l’apéritif du matin au soir face au spectacle permanent offert par la faune locale, surfeuse ou branchouille. De là, les immenses champs d’éoliennes mènent à Palm Springs. Célèbre pour son festival de rock, cette oasis en plein désert fait partie de ces villes proprettes surgies de nulle part. Les stars de Hollywood l’ont transformée en capitale du farniente. Marlene Dietrich, Clark Gable ou Greta Garbo ont ouvert le bal dans les années 20-30. La villa de Sinatra a abrité des soirées dont on parle encore ! Et celle où Elvis a passé sa nuit de noces se loue toujours à prix d’or ! Aujourd’hui encore, une star hollywoodienne se doit d’y avoir une habitation pour parachever sa réussite. Il faut dire que la ville possède un patrimoine unique avec ses villas de style mid-century modern (1933-1965), caractérisées par leur horizontalité et leur parfaite harmonie avec l’environnement montagneux et désertique. Véritable paradis pour riches retraités, l’endroit compte une centaine de golfs. Leurs greens au vert flamboyant feraient presque oublier que cette terre a auparavant été celle des Indiens cahuillas. On la découvre en randonnant dans Indian Canyons, où ils vécurent jusqu’à la fin du XIXe siècle. La Californie du Sud c’est enfin et surtout la mythique Los Angeles. Une ville impossible à aborder dans son ensemble tant elle est multiple. On ne lui connaît d’ailleurs pas de centre-ville tant ses 88 quartiers sont autonomes. Bien sûr, il y a tout ce qui touche à Hollywood et ses usines à rêve. Comme la visite impressionnante des studios Warner Bros (www.wbstudiotour.com), leurs quartiers new-yorkais reconstitués, leur jungle, leurs hangars sans fin dédiés aux accessoires, et les musées consacrés à Harry Potter, Batman ou à la série Friends. Les amateurs de gratte-ciel se réfugieront à Dowtown pour boire un verre sur d’époustouflants toits-terrasses comme celui du Freehand Hotel ou manger au 71Above, au 71e étage de la tour la plus haute. Il fait aussi bon flâner dans l’Arts District, quartier aux murs recouverts de graffitis, autrefois ‘’craignos’’ et aujourd’hui en plein renouveau. Les hangars s’y transforment en concepts stores ou en bars tendances. Ses kilomètres de plages paradisiaques font enfin partie des incontournables. Entre Santa Monica et son pier, véritable fête foraine posée sur l’océan, Venice Beach avec ses canaux et sa population déjantée ou Malibu et ses maisons d’architecte en bord de plage, le choix est cornélien. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Lun Avr 15 2019, 08:55 | |
| Je ne sais pas pourquoi ,j'ai loupé ces articles qui me paraissent bien intéressants .J'ai tout à rattraper!!!! .Toutes mes excuses Roberto ! Mériterait peut-être une rubrique à part!En remontant le sujet ,classé dans "divers" ,me parait dommage !!!!! |
| | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Lun Avr 15 2019, 09:22 | |
| Vous ventez San Diego et sa douceur de vivre , que voit-on sur la photo,d'ignobles buildings. Je suis allé plusieurs fois en Californie ,franchement il n'y a pas de quoi rêver. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Dim Avr 21 2019, 11:24 | |
| Le pays des conquistadors entre la Castille et l’Andalousie, l’ Estrémadure est encore assez peu connue des touristes. La région a pourtant de nombreux trésors à faire découvrir aux passionnés d’histoire et de grandes aventures. Un imposant château surplombe Medellin le village qui a vu naître Hernan Cortes. Photos Shutterstock L’amphithéâtre de Mérida abrite chaque année un important festival de théâtre classique. Il témoigne de l’importance de la ville dans l’Empire romain. Par Jérémie Nadé Avec ses petites ruelles étroites, aux murs blanchis à la chaux, qui mènent jusqu’à l’église, le point le plus haut de la ville, Jerez de los Caballeros est une ville typique de l’Estrémadure. Cette région peu connue du sud-ouest de l’Espagne longe la frontière avec le Portugal et peut paraître aride au premier abord. Mais par son histoire et les différentes civilisations qui s’y sont installées au fil des siècles, l’Estrémadure recèle de nombreuses surprises. La région a par exemple vu naître un grand nombre de conquistadors. Jerez de los Caballeros est la ville d’origine de Vasco Nunez de Balboa, qui découvrit la côte orientale du Pacifique en 1513, mais la liste ne s’arrête pas là. Cortes, Pizarro, Orellana… nombreux sont les Estrémègnes qui partirent à la conquête du nouveau monde. Une concentration d’explorateurs d’autant plus étonnante que l’Estrémadure, coincée entre la Castille et l’Andalousie, se situe à plusieurs centaines de kilomètres de la mer. Cette particularité est en fait due aux principes de succession de l’époque. Comme le patrimoine familial revenait intégralement au fils aîné, certains cadets ont préféré partir à l’aventure. Il n’est donc pas étonnant de retrouver le nom de certaines villes estrémègnes de l’autre côté de l’Atlantique (Mérida, Trujillo, Caceres…). C’est en marchant sur les traces de Francisco Pizarro que l’on peut découvrir la ville médiévale de Trujillo. Lieu de naissance du conquérant de l’empire inca, la ville est aussi le berceau de Francisco de Orellana qui découvrit le fleuve Amazone. Les petites rues qui serpentent jusqu’au sommet fortifié de la ville permettent de découvrir les nombreuses églises que recèle la cité. Des bâtiments toujours richement décorés et abritant des retables foisonnant de détails. Hernan Cortes quant à lui permet de découvrir Medellin, le village qui l’a vu naître. Et si la villa du conquistador a disparu depuis de nombreuses années, la commune continue d’entretenir l’histoire de l’explorateur du Mexique. Dans l’imposant château qui surplombe la ville, une exposition présente armes et équipements qui ont servi lors des expéditions en Amérique. Mais l’histoire des conquistadors n’est pas la seule à être contée en Estrémadure. Occupée tour à tour par les Romains, les Wisigoths et les Arabes, la région en a gardé des traces. À Mérida, la capitale, impossible de louper l’Alcazaba, inscrit comme d’autres édifices de la ville au patrimoine mondial de l’Unesco. Construit en 835 par l’émir Abd al-Rahman II, il devait permettre de défendre la ville tout en l’approvisionnant en eau. À quelques centaines de mètres, changement de décor, changement de civilisation. C’est un théâtre et un amphithéâtre qui s’offrent à la vue des touristes. Aujourd’hui en ruines et largement pillés au fil des siècles, ils témoignent avec le cirque, l’Arc de Trajan ou le temple de Diane de l’importance de la ville dans l’Empire romain. Ils continuent d’ailleurs de faire rayonner Mérida puisque le théâtre abrite encore chaque année, depuis 1933, l’un des plus importants festivals de théâtre classique. Que ce soit pour son influence dans la conquête de l’Amérique ou pour la richesse de son patrimoine marqué par les siècles et les civilisations, l’Estrémadure a donc beaucoup à offrir à ses visiteurs. Une richesse historique et culturelle encore peu connue qui se cache derrière une austérité de façade qui ne demande qu’à tomber. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mer Mai 08 2019, 11:12 | |
| Un autre versant de la Grèce Ses îles mythiques, ses panthéons et autres trésors sont connus. Mais en dehors du Péloponnèse ou de Mykonos, le pays offre de belles découvertes, loin du tourisme de masse. À l’image du centre et de la région du mont Pélion, aux portes de Volos. Le charme des « kalderimia », ces chemins de pierres jalonnant les villages du Pélion, ici à Makrinista. La plage de Mylopotamos, un bijou à la beauté sauvage. Le patrimoine religieux est important, ici l’église de Volos. Par Virginie ROSENBLIEH La péninsule du mont Pélion, c’est comme la Corse : une montagne dans la mer ! » Dimitris Maninis, peintre-céramiste à Tsagarada, voue à sa région une réelle passion. Il pourrait en parler pendant des heures, comme il la représente à travers ses œuvres. Si la ressemblance est plus marquée avec les décors de l’arrière-pays des Alpes-Maritimes, certains paysages de l’Île de Beauté sont effectivement très proches. Notamment ces roches tombant dans la mer, ces criques aux eaux cristallines ou ces chemins alliant les parfums de montagne à la brise de mer. De quoi séduire les touristes en quête de vacances authentiques. Un site unique mêlant mer et montagne, légendes et mystères. C’est en effet au mont Pélion que les douze dieux de l’Olympe prenaient plaisir à passer leurs vacances estivales. Les habitants de la région en sont fiers, comme de leurs traditions populaires. « Vous n’êtes jamais venus en Grèce ? Vous avez bien choisi, cette région est unique, c’est la plus belle ! », s’exclame d’emblée Alexandros Leventis, chauffeur de l’agence Les Hirondelles qui fait découvrir ces montagnes au cœur de la Magnésie. Ces terres envoûtées par des créatures mythiques, les Centaures, avec ses communes perchées et ses plages sublimes. À Volos, la mythologie rejoint là aussi la réalité. C’est de ce port, désormais moderne (le troisième du pays), que l’expédition de Jason et les Argonautes pour la recherche de la Toison d’or est partie avec le premier navire à rames de l’Antiquité. Un bateau dont la réplique est justement amarrée non loin de la mairie où son histoire est contée. La terre du mont Pélion recèle de ces légendes qu’il faut prendre le temps de découvrir. Les villages à flanc de montagne du mont Pélion, au nombre de 24, ont chacun leur charme. Mais tous sont articulés autour d’une place principale avec son arbre centenaire, ses terrasses de café, son église… Authenticité et douceur de vivre. À Makrinitsa (classé hameau traditionnel), le « balcon du Pélion » offre une vue panoramique sur Volos et le golfe Pagasétique. Un peu plus bas dans ses ruelles escarpées, la maison de Maître Topali (XIXe siècle) est devenue un musée d’art folklorique et d’histoire du Pélion avec objets d’antan mêlant costumes, armes… Envie de découvrir la péninsule autrement ? Embarquez dans le petit train du Pélion au charme ancien pour laisser défiler les paysages. La péninsule, située entre la mer Égée et le golfe Pagasétique offre une large gamme d’activités de plein air. En hiver, une station de ski dans le hameau d’Hania permet de dévaler les pistes en jetant un œil à gauche sur le golfe et à droite sur la mer ! Les randonnées à travers les « kalderimia » (chemins de pierres) pour les marcheurs et les balades à cheval entre les oliviers jusqu’au bord de la mer se combinent idéalement aux sports nautiques, sorties VTT sur les 250 km de sentiers… Escapade en canoë-kayak sur les eaux tranquilles du golfe ou croisière en voilier au départ du port de Volos, il ne reste qu’à choisir. Difficile de résister à la balade maritime en direction de l’île de Palio Trikeri, où l’on profite des joies de la table entre « mezzés » (assortiments de plats méditerranéens) et langoustes, accompagnés (avec modération) d’un tsipouro, l’alcool local anisé. Après une longue pause à table, comme les Grecs qui aiment profiter de ces instants de partage, il est temps d’arpenter la colline pour découvrir l’ancien monastère ou en profiter pour se baigner dans une des criques de cette île sans voiture. Sérénité assurée. Un séjour au cœur de la Grèce continentale est aussi l’occasion d’admirer la plage de Mylopotamos, bijou à la beauté sauvage. Une étendue de sable blanc coupée en deux par un rocher percé permettant de passer d’un côté à l’autre et de profiter de son eau turquoise, des roches et de la nature luxuriante. Ou de s’émouvoir dans la baie de Damouchari, cadre d’une partie du film « Mamma Mia ! ». Objets souvenirs et photos du tournage sont d’ailleurs méticuleusement rassemblés dans un bar où l’on peut déguster l’une des boissons stars, le café freddo (café frappé). Là encore, on profite de l’instant présent, simplement. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mer Mai 08 2019, 12:41 | |
| Merci pour ces images et ce reportage .....On peut toujours rêver !!!!! |
| | | Rosie
Messages : 43939 Localisation : Danizy
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Mer Mai 08 2019, 17:49 | |
| Ce qui donne à rêver c'est le beau temps ,ici temps pourri . | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Sam Oct 19 2019, 14:56 | |
| Par Philippe Marcacci Entre Croatie et Monténégro, plus d’un millier d’îles déploient leur charme. la découverte de sites spectaculaires : Dubrovnik, Split, les chutes de Krka et les bouches de Kotor. Par Philippe Marcacci Vous surprendre ? Toujours. Vous séduire ? Il faut l’espérer. Pour sa quatrième croisière de printemps, le club des Lecteurs Voyageurs vous propose son habituelle croisière fluviale… sur les côtes de l’Adriatique. Entre Croatie et Monténégro. En partenariat avec CroisiEurope, L’Est Républicain, Le Républicain Lorrain et Vosges Matin vous invitent à naviguer, du 14 au 21 mai 2020, entre certaines des plus belles îles de la Méditerranée. De Dubrovnik à Split, des chutes de Krka aux bouches de Kotor, il faudra s’attendre, entre eaux bleu turquoise et nature toute verte, à une débauche de couleurs. La navigation s’effectuera à bord de la bien nommée « Belle de l’Adriatique » (5 ancres, 200 personnes), le premier bateau maritime de la compagnie alsacienne. La formule reprendra tous les éléments qui firent le succès de nos croisières des précédentes années (Danube en 2017, Venise en 2018 et Douro en 2019) pour lesquelles il fallut prévoir deux départs. La Belle de l’Adriatique sera privatisée, c’est-à-dire uniquement réservée à l’ambiance familiale du club des Lecteurs Voyageurs. Il y aura la fameuse (et redoutable) dictée, le journal de bord, une flopée d’avantages (lire par ailleurs) et, indéniable atout, un départ régional depuis l’aéroport Metz-Nancy Lorraine à destination de Dubrovnik. De la Croatie au Monténégro, la côte dalmate ressemble à une mer qui serait parsemée de confettis. Sur moins de 200 km, plus d’un millier d’îles sont recensées. C’est simple, il y en a partout. Et toutes s’offrent comme des perles dans le panorama qui défile lors de la navigation. I l y a, à quelques encablures de Dubrovnik, Mljet (prononcez « Mliette »). Avec ses ports minuscules (il faut débarquer en chaloupe) et ses vieux villages, « l’île verte », longtemps considérée comme un petit paradis (c’est ce qu’en dit Le Routard), jouit aujourd’hui du statut de parc national. Sur la côte, un peu plus au nord, se trouvent Sibenik et, à quelques kilomètres de cette grande baie, un autre parc naturel : celui qui abrite les chutes de Krka. Ici, l’eau, à force d’obstination et d’érosion, s’est taillé un chemin dans la roche karstique. Elle jaillit partout en une multitude de cascades. Avant de revenir à Dubrovnik, le périple glisse tout au sud, jusqu’au Monténégro et aux bouches de Kotor, un décor unique en Adriatique. Puisque cette autre merveille de la nature est réputée comme étant l’égal des fjords norvégiens. Si le voyage fait la part belle à la nature, il s’inscrit aussi dans une perspective historique. La Croatie et le Monténégro, deux jeunes et petits pays issus de l’ex-Yougoslavie, possèdent un riche patrimoine qu’ils ont parfois eu bien du mal à sauvegarder. Protégée par l’Unesco depuis 1979, Dubrovnik a failli être rayée de la carte lors de la guerre du début des années 90. Devant la splendeur de cette ville-musée, l’on peine aujourd’hui à croire que la perle de l’Adriatique vécut alors un enfer de six mois. Aujourd’hui, elle ne subit plus les assauts que de la foule des touristes. Il faudra également se promener dans Split, la cité construite autour d’un palais romain, Trogir et son labyrinthe de ruelles… Et l’on en passe. Il y a tant à découvrir qu’il n’est pas sûr qu’une seule croisière suffise. |
| | | Invité Invité
| | | | Michel Boisjoly
Messages : 39531 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... Sam Oct 19 2019, 17:42 | |
| Monts d’Aragon ,Galice ,Estramadoure , Oh je porte malheur à tout ce qui m’entoure. | |
| | | Invité Invité
| | | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Reportages et découvertes..... | |
| |
| | | | Reportages et découvertes..... | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |