Rosie
Messages : 43939 Localisation : Danizy
| Sujet: tous les chevaux d'artillerie viennent des Ardennes ou de Bretagne. Mar Mar 14 2017, 17:51 | |
| http://histoire08ardennes.over-blog.com/2017/03/le-cheval-ardennais-le-seul-qui-a-survecu-lors-de-la-retraite-de-russie.html?utm_source=_ob_share&utm_medium=_ob_facebook&utm_campaign=_ob_sharebar | |
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Claire
Messages : 19909 Localisation : Annecy
| Sujet: Re: tous les chevaux d'artillerie viennent des Ardennes ou de Bretagne. Jeu Mar 16 2017, 11:50 | |
| autre race très résistante [size=36]erko[/size] Serko est un petit cheval gris de 1,37 mètre et de type Amourski. Avec son cavalier cosaque Dimitri Pechkov, il a réalisé l’un des plus grands raids équestres de tous les temps.
Serko est un petit cheval hongre gris acheté pour 150 roubles à la stanitza de Constantinovskaya. Comme tous les chevaux de type Amourski (nommés Poney de Mandchourie en Chine), il a un chanfrein fortement convexe, des ganaches lourdes, une encolure épaisse et courte, et il est de petite taille, soit 1,37 mètre. C’est un petit cheval d’allure grossière mais très résistant et doué d’une grande endurance.
■ Historique L’histoire vraie se mêle à la légende pour décrire le raid de la fin du XIXème siècle. Le cosaque Dimitri Pechkov et sa monture Serko ont parcouru près de neuf mille kilomètres en moins de deux cents jours et sans jamais changer de monture. À cette époque, des villages cosaques étaient établis le long du Fleuve Amour, pour assurer la sécurité près de la frontière entre la Russie et la région de Mandchourie en Chine.
On ne sait pas quelle raison a poussé Dimitri Nicolaïevitch Pechkov à se lancer dans le raid. Le film évoque la nécessité de prévenir le Tsar du sort des chevaux Amourski, alors tués à grande échelle pour nourrir les ouvriers de la ligne de chemin de fer, mais il pourrait aussi bien s’agir d’un pari ou de la simple volonté d’établir un record.
C’est le 7 novembre 1889 que Dimitri quitta Blagovechtchensk, monté sur Serko. Le 19 mai 1890 ils arrivèrent tous les deux à Saint Pétersbourg après avoir traversé la Russie d’est en ouest à travers des régions particulièrement inhospitalières, faites de steppes, de forêts, et de territoires enneigés. Soit plus de 9 000 kilomètres en moins de 200 jours. | |
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