ma réponse est oui

Ma réponse est oui aussi ,à mon époque nous faisions une dictée tous les matins en arrivant ,j'ai demandé à Antoine ,lorsqu'il était au collège ,une tous les 15 jours ,à l'époque de mes fils une par semaine ,au lycée plus du tout .

nous aussi,je me souviens c'était Victor Hugo,Anatole France ;Théophile Gautier

Et maintenant ici d'après ce qu'on m'a dit "aucune"

Alors que l'examen fin de troisième en comporte ?????

Je pense que nous avons la mémoire qui nous arrange .Je viens de ressortir un cahier de CE2 ,j'avais 7ans et demi .Rentrée le 1er octobre ,dictées les 2 octobre ,12,24,29,31 ,le 12 novembre ,le 19 et le 21 ,soit 8 en presque deux mois ,ce n'est pas une par jour .Fin du premier cahier du jour .
Une page de ce cahier :

Je n'ai pas la mémoire qui m'arrange ,je me revois  encore  dans mon bled paumé sortir notre cahier , réservé à cet effet  afin de faire une dictée ,peut-être était  ce au choix de l'institutrice .

Pour nous aussi jusqu'en septième ?Tous les jours et ça j'en suis certaine !

et je me souviens aussi qu'on faisait un dessin pour illustrer la dictée

Non,non je n'ai pas la mémoire qui flanche

Vous en êtes certaines ,mais moi j'ai la preuve .Pas de dessin pour illustrer la dictée ,ça j'en suis sûr .D'accord avec Rosie sur un point ,au lycée pas de dictées .Je ne sais plus pour le collège car les dictées étaient sur feuilles libres donc disparues .

Par la suite jusqu'en troisième une dictée par semaine .Il y avait l'épreuve dictée question au BEPC !

Je ne dis pas que vous n'avez pas raison pour votre école,mais pour nous c'était ça !En étude un problème tous les soirs, une page d'écriture sainte ,leçon de caté page de grammaire et de vocabulaire !


J'oubliais récitation une fois par semaine très souvent La Fontaine.Plus tard théâtre classique (Racine Corneille ,Molière !).Page d'histoire et géographie une fois par semaine aussi !

J'ai ressorti les cahiers suivants ,le rythme est toujours de une par semaine . Le calcul ,la morale étaient peut-être dictés .C'est un peu loin .Je ne pense pas faire plus de fautes que tout un chacun .Je vais rechercher les cahiers de ma fille pour voir 30 ans plus tard .

Elle était dans la même école que vous ?

Je me demande si à cette époque là (46 je pense fin du "primaire" ),les écoles religieuses étaient inspectées ?

Bien sûr que non ,où alors en interne car elles ne sont inspectées que depuis la loi qui subventionne une ou deux classes par école libre et en revanche a un droit de regard sur les programmes .Années 60 environ .

Ayant travaillé sous contrat dans une école libre en 61-62 et 62-63.,je n'ai jamais entendu parler de ces quelques classes subventionnées !

Le contrat d'association était accordé à tout l'établissement .

Pour ma part signé un contrat de deux ans.L'état n'a d'ailleurs pas rempli ses engagements ,puisque nous avons étés obligés de faire grève par deux fois avant que l'Etat ne se décide à nous payer .Notre établissement nous faisant une avance à rembourser lors de nos premiers chèques.

Pas de problème ma deuxième année !

Mais là il fallait obéir à des règles .Les cours d'instructions religieuses se faisant en dehors des heures officielles ainsi que les messes et ce que nous appelions "les méditations" un quart d'heure tous les matins avant l'ouverture normale des cours .

Pour ma part j'ai été inspectée la deuxième année (avec un avis favorable !!!)

Ma fille a fait toute sa scolarité à l'école confessionnelle jusqu'au bac .Toutes les classes n'étaient pas sous contrat de l'état mais une ou deux par établissement .

Je ne veux pas me mettre plus avec l'un qu'avec l'autre ,mais il me semble que puisque M-H a exercé en tant que professeur dans ce genre d'établissement ,elle doit savoir de quoi elle parle ,et les recherches que j'ai faites vont dans ce sens ,j’essaierai dans savoir plus demain ,puisque plusieurs amies dans l'enseignement .

Je me souviens d'une réunion de parents d'élèves où l'on nous avait dit qu'une classe ,je me souviens qu'il s'agissait de la première et c'était à la Maison Française à Cuise-la-Motte près de Compiègne. Peut-être n'ai-je rien compris comme d'habitude. Pourtant je me souviens parfaitement de l'intervention de la directrice disant à l'auditoire :l'an prochain nous avons signé pour une classe supplémentaire. Il faut savoir qu'il y a en retour du contrat une petite subvention de l'état qui ne peut pas dépasser 10 % du coût réel de la scolarisation. Le ministère a un droit de regard sur la qualité des diplômes.

http://www.education.gouv.fr/cid251/les-etablissements-d-enseignement-prive.html

Je vois qu'il y a contrat d'association et contrat simple.

Pour le contrat d'association il fallait ,parmi les exigences de l'état, un certain quota de professeurs diplômés d'état
C'est peut-être là toute la différence.

Je vous parle du tout début de la mise en place de contrats et particulièrement des contrats d'association !Peut-être qu'il y a depuis d'autres directives !

Rosie a écrit:

Non,non je n'ai pas la mémoire qui flanche

et bien moi si.Merci à Michel   rde me réveiller,car c'est après une rédaction le coup des dessins et non des dictéesgrrrrrrrr

Je ne vais pas scanner tous mes cahiers quand même .Montrez les vôtres .
Pour les établissements sous contrat ,je me souvenais parfaitement de cela lors de la réunion ,mais j'avoue que je n'ai pas creusé la question .