Que faire, que dire même lorsqu'ils tuent ,les djihadistes sont convaincus de faire le bien .
J'ai lu il n'y a pas longtemps , que pour les musulmans de culture qui découvrent la foi et se mettent à pratiquer, mais les convertis non-musulmans viennent aussi souvent de familles catholiques ou protestantes plus ou moins pratiquantes. Il existe aussi de rares personnes issues d’autres horizons religieux ou politiques,certains étaient passés par le bouddhisme avant de faire le choix de l’islam,je me souviens avoir lu aussi qu'il y avait des djihadistes issus de familles juives ou encore d'autres qui militaient dans les rangs de l'extrême-droite. En fait, on trouve un peu de tout, et toutes sortes de cas qui ne sont absolument pas représentatifs. Mais dans l’ensemble, il est assez clair que la conversion s’inscrit dans une quête spirituelle, une démarche rédemptrice, ou en tout cas qu’elle apporte une réponse à une question latente.
Il parait que les djihadistes concernés vivent ainsi le djihadisme comme une purification qui les laverait de ce qu'ils perçoivent comme étant des souffrances ou des péchés qu’eux ou leurs proches auraient commis. En ce sens, cette idéologie les soulage, les apaise et leur redonne foi en un avenir promis comme paradisiaque dans l'au-delà, avec un code de conduite qui régit tous les aspects de la vie terrestre et qui leur redonne un sentiment de fierté, de supériorité sur les non-croyants, l'impression d'une renaissance en appartenant à la communauté des élus.
Alors tu vois nous ne sommes pas au bout de nos peines avec ces salopards .
, rencontré des djihadistes issus de familles juives ou encore d'autres qui militaient dans les rangs de l'extrême-droite. En fait, on trouve un peu de tout, et toutes sortes de cas qui ne sont absolument pas représentatifs. Mais dans l’ensemble, il est assez clair que la conversion s’inscrit dans une quête spirituelle, une démarche rédemptrice, ou en tout cas qu’elle apporte une réponse à une question latente. Ce mélange de découverte et de retour au religieux est quelque-chose qui vaut pour tous les djihadistes, de «Clémence» à Abou Moussab al-Zarqaoui