Au service du comte d'Artois, il se qualifie lui-même d'ultra-royaliste. Il survit à la Révolution , occupe un poste important sous la Restauration mais meurt en exil. Il laisse des souvenirs trop peu lus aujourd'hui, souvent drôles , dans lesquels il manie l'auto-dérision. Il y peint aussi la société poitevine, il résida en effet à Poitiers pour servir son maître.