Le bon sens paysan plus fort que les mathématiques ! Il fallait la trouver cette solution...
> À sa mort, un fermier laissa en héritage dix-sept (17) chevaux à ses trois fils.
> Dans son testament, le père avait ainsi établi le partage de l’héritage :
> ---Mon fils aîné recevra la moitié (1/2) de tous les chevaux.
> --- Mon second fils recevra le tiers (1/3) de tous les chevaux
> --- Mon plus jeune fils recevra le neuvième (1/9) de tous les chevaux
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> Or il était tout à fait impossible de diviser 17 chevaux par deux, par trois et par neuf.
Puis, à un moment donné, ils décidèrent de faire appel à un fermier voisin, dont ils appréciaient l’intelligence, dans l’espoir qu’il puisse trouver une solution à leur différend.
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> Le fermier prit donc le testament et l'examina avec grand soin.
> Après quoi, il alla chercher son propre cheval et l’ajouta aux dix-sept (17) autres.
> Il y avait maintenant dix-huit (18) chevaux dans le champ.
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> Dès lors, il devint possible aux héritiers de procéder au partage, tel que prévu dans le testament du père.
· Fils aîné : la moitié de 18 = 9 chevaux
· Second fils : le tiers de 18 = 6 chevaux
· Plus jeune fils : le neuvième de 18 = 2 chevaux
> En faisant l’addition, des chevaux distribués, cela donna : 17 chevaux.
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> Et.... il restait un cheval, celui du fermier voisin que celui-ci reprit et ramena à sa ferme...
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> Et le problème fût résolu !
> > Hein! ça vous en bouche un coin les matheux... et les politechniciens