pour vivre plus simplement ou pour fuir Paris (peut-être à cause d'une affaire trouble, liée à son homosexualité) il gagne Pont-Aven en 1888, où il séjourne à la Pension Gloanec, puis au Pouldu, où il loge dans la Buvette de la Plage que tient Marie Henry, surnommée Marie Poupée par la clientèle ; il retrouve Paul Gauguin qui loge dans la chambre sur cour et Meyer de Haan, dans la grande chambre ; Paul Sérusier les rejoint en 1890, il loge dans la chambre sur rue. Il chante, joue de la mandoline, Gauguin de la guitare. Ces jeunes artistes se retrouvent là dans un endroit plus tranquille que Pont-Aven, partagent une franche camaraderie et un désir d'ouvrir une nouvelle voie dont Gauguin s'impose comme chef de file.