D'accord avec Michel, quand on a pas d'eau, pas d'électricité et qu'on ne sait pas si demain, on aura quelque chose à becqueter, avoir ou pas accès au réseau des réseaux est plutôt secondaire pour ne pas dire totalement superflu. Mais même si moins de 1% de la population de la Mongolie ou du Bénin est susceptible d'y accéder, ce serait bien de leur en donner la possibilité.
Dire que nous râlons (et moi le premier) quand le débit internet est un peu faible, alors que nous sommes des privilégiés. A toujours regarder vers le haut, on en oublie parfois de regarder vers le bas.