QUEL EST CET APPAREIL ?

Quel est cet appareil ?

Il me semble bien reconnaitre le logo de Commodore, marque d'ordinateurs célèbre dans les années 80.
Et puis un lecteur de disquette, un écran et un clavier, ce ne peut être qu'un ordinateur.
Probablement portable, peut être même le premier ordi portable de la marque

A cette époque, moi j'étais plutôt orienté Amstrad, mais il m'est arrivé souvent de tenter d'adapter des programmes Commodore sur mon Amstrad, et ça se passait en langage Basic... que d'évolution depuis ce temps "préhistorique"

à Christian et Richard,
Le premier ordinateur portable !

en ces temps mémorables, j'étais abonné à un magazine hebdomadaire d'informatique qui s'appelait "Hebdogiciel" et qui fournissait des petits programmes informatique à tous les heureux possesseurs d'ordinateurs Commodore 64, Sinclair ZX80 et 81, Oric, Amstrad cpc 464 et cpc 6128, Amiga, Thomson TO7 et MO5, IBM PC et probablement d'autres dont j'ai oublié le nom. C'était essentiellement des listings qu'il fallait recopier à la main, sans omettre la moindre virgule ou point virgule, ni faire la moindre faute de frappe, pour que ça fonctionne. Et bien sûr, un programme pour Commodore ne fonctionnait que sur Commodore et pas sur les autres.
Mais l'IBM PC allait révolutionner le monde de l'informatique en permettant à tous les programmes pour PC de fonctionner sur tous les ordinateurs "compatibles PC" quelle que soit leur marque. Tous les ordinateurs actuels sont des compatibles PC

Les disquettes souples avaient une capacité deux fois moindre que la disquette qui lui a succédé .Il fallait vraiment y croire à cette époque et de plus cela coûtait une fortune .

Je crois me souvenir que les disquettes souples (5 pouces 1/4) avaient une capacité de stockage de 124 Mo

Ont suivi des disquettes de 3 pouces 1/2 dont il existait 2 sortes (les bleues 256 Mo) et les noires (512 Mo)


Moi aussi j'ai eu un "Sinclair" dans les années 1980.

Auparavant (à la Fac) je fonctionnais au Fortran. Et là il fallait écrire le programme, se perforer des cartes (une carte correspondait à une ligne de programme).

Un programme pas très compliqué pouvait avoir 500 lignes donc 500 cartes à perforer. D'autres pouvaient en faire 5000. Et là, il fallait un cageot pour transporter le tout.

Une erreur dans une ligne, par exemple une virgule ou un guillemet oublié, et c'était le blocage du programme assuré. Ensuite il fallait récupérer les cartes perforées et les vérifier toutes une par une.

Quand l'erreur était trouvée, on retapait la carte qui posait problème, on repartait avec son paquet de carte à l'ordinateur (il fallait alors attendre son tour. En général ce tour ne venait qu'une semaine plus tard.

On remettait le paquet de carte dans le lecteur et.....si ça plantait à nouveau, c'est qu'il y avait une seconde erreur, etc......

C'était le bon temps !!!!

Moi je n'ai fonctionné qu'en autodidacte, cependant j'avais fini par me débrouiller pas trop mal en basic, langage un peu moins évolué que le Fortran. L'Amstrad cpc 464 n'avait même pas de lecteur de disquette mais un lecteur de cassettes standard qui lui permettait de stocker les données, mais en moins rapide que la disquette. Et évidemment, il n'y avait pas de disque dur....
J'aimais bien créer de petits programmes pour réaliser de belles courbes mathématiques ou des rosaces de toutes les couleurs.

Je me souviens aussi d'un copain du club avion ,travaillant chez epson et arrivant tout triomphant :les amis une grande nouvelle nous avons un disque dur de 2 mo .autre époque .