Une amélioration considérable .

C'est dû à quoi?????

Aux sanisettes payantes?

Parce qu'on préconise tellement de boire de l'eau;il faut bien la rendre et ça peut être urgent....

Les sanisettes sont gratuites et très bien entretenues ,il y en a partout .A Paris c'est 162 € mais à Lyon ça ne rigole pas .
Un père risque 450 euros d’amende pour un pipi d’enfant

























Un père de famille a écopé d’une contravention pour «
miction sur la voie publique ». Sa fille de trois ans venait d'uriner au
pied d'un arbre du parc de la Tête d'Or à Lyon, à quelques mètres de WC
publics, rapporte le Progrès. Pas de chance, une patrouille de
policiers passait par là au même moment. Le père a alors expliqué qu’il
se déplaçait en béquille après une opération chirurgicale et qu’il n’a
donc pas eu le temps d’emmener sa fille jusqu’aux toilettes. Après
s’être excusé dans un premier temps, le ton serait très vite monté. L'un
des policiers aurait lâché : « je ne supporte pas ce genre d'attitude
». « Moi je ne supporte pas une telle agressivité pour un simple pipi
d'enfant », lui aurait rétorqué le père. Selon la municipalité de Lyon, «
la petite fille s'est soulagée sur le trottoir devant l'entrée d'un
restaurant » du parc, et non sous un arbre. D’où la contravention. Le
père de la fillette, maître de conférence en droit public, est convoqué
au tribunal de police et pourrait se voir infliger une amende allant
jusqu’à 450 euros.

En effet,je retarde elles ont été payantes et d'aspect pas très accueillants.


Le prix d'entrée des sanisettes avait été originellement fixé par délibération du Conseil de Paris du 20 octobre 1981 à un franc1. Depuis le 15 février 2006, elles sont gratuites3.

Elles sont beaucoup plus modernes maintenant et toujours très propres .Pour vouss donner une idée de la propreté de certaines personnes ,j'en ai vu un uriner contre la sanisette .

Je pense que c'est un geste antique et presque traditionnel.Chez nous en Bretagne c'était monnaie courante.Ils buvaient au bistrot et sortaient se soulager sur le mur à la sortie.
A nous les femmes de tourner la tête ou faire un détour.Même dans la famille (pourtant en principe bien élevés),ils adorent se soulager dans le jardin.
Voilà une supériorité et un avantage que je concède bien volontiers aux hommes.Ce qui n'est pas le cas je pense chez la plupart des femmes bien plus difficiles pour trouver un petit coin qui leur conviennent.

Pour photographier la sanisette ,Michel,vous êtes rentré dedans ....

Je l'ai prise sur internet mais je l'utilise une ou deux fois par an .Faire pipi dans la nature c'est un petit bonheur réservé aux hommes mais uriner dans les rues de Paris ,c'est autre chose .Le dernier que j'ai vu était un homme d'une cinquantaine d'années qui faisait sur le trottoir ,tout matériel au vu des passants ,certes c'était un clodo ,mais quand même .

Dans l'Aisne c'est exactement pareil ,ils sortent de la maison pour se soulager ,c'est une chose que J-L ne supporte pas et plusieurs fois il a fait savoir à des amis que nous étions pourvu de toilettes avec lave mains et sèche mains ,je ne supporte pas les hommes qui font ce petit besoin partout alors qu'il est vrai que nos villes sont bien pourvu d'endroits pour cela .

Pour moi impossible de rentrer dans des sanisettes.... J'ai toujours peur que la porte s'ouvre :lol!:

Je vous présente la "face" cachée des sanisettes"

Dommage que les statistiques ne donnent pas le nombre de femmes parmi les 627 personnes...

J'en ai trouvé une à Madrid. Par contre, quand je vais au 9 Calle de Cefeo à Madrid, on voit bien la voiture mais impossible d'aller derrière, je me demande comment certains font...

V@lérie a écrit:

J'en ai trouvé une à Madrid
Par contre, quand je vais au 9 Calle de Cefeo à Madrid, on voit bien la voiture mais impossible d'aller derrière, je me demande comment certains font...

Probablement que la photo a été retirée par google mais trop tard... puisque des petits malins l'avaient déjà mis sur leur site

Dommage que les statistiques ne donnent pas le nombre de femmes parmi les 627 personnes... Relève Christian !

Sachant que l"opération" est beaucoup moins aisée pour les femmes
D'une part elles "prennent leurs précautions" avant de sortir(c'est ce passage obligé aux toilettes qui fait que ces messieurs sont souvent "obligés de les attendre"au moment de partir.)
D'autre part,toujours pour la même raison,elles sont capables de se retenir,parfois jusqu'à s'en rendre malade.Laquelle d'entre nous n'a pas connu les affres d'une promenade en ville,en butte à une envie intempestive..Dans ce cas ,une seule solution,trouver au plus vite un café.

Je pense donc pour en revenir à la question de Christian:Qu'il n'y avait pas de femmes dans ces statistiques ...Ou très peu !

Sacré coquin de Michel qui nous a fait disserter sur ce sujet fort intéressant

J'ai vu une femme en pleine rue ,au beau milieu du trottoir ,en pleine journée ,tout d'un coup s'accroupir ,relever ses jupailles et hop un gros pipi .C'était à New-York ,59 ème rue ,une rue chicos en bordure de Central Park ,personne n'a moufté .J'en ai ai vu au Pérou ,elles s'accroupissent et vas'y donc mais elles ont des jupes très évasées .En Egypte et au Tibet ,les hommes se réunissent au dessus d'un caniveau et devisent gentiment en faisant leurs besoins ,ensuite ils cherchent une pierre pas trop anguleuse pour s'essuyer .Rabelais a décrit les dizaines de façons de se torcher et celle qu'il préfère est un oisillon tout chaud .Il faut toujours relire Rabelais ,on y apprend beaucoup de choses .

Rabelais, Gargantua, 1534Chap. 13 Comment Grandgousier congneut l'esperit merveilleux de Gargantua à l'invention d'un torchecul. Sus la fin de la quinte année, Grandgousier, retournant de la defaicte des Ganarriens, visita son filz Gargantua. Là fut resjouy comme un tel pere povoit estre voyant un sien tel enfant, et, le baisant et accollant, l'interrogeoyt de petitz propos pueriles en diverses sortes. Et beut d'autant avecques luy et ses gouvernantes, esquelles par grand soing demandoit, entre aultres cas, si elles l'avoyent tenu blanc et nect. A ce Gargantua fEist response qu'il y avoit donné tel ordre qu'en tout le pays n'estoit guarson plus nect que luy. "Comment cela ? dist Grandgousier. - J'ay (respondit Gargantua) par longue et curieuse experience inventé un moyende me torcher le cul, le plusseigneurial, le plus excellent, le plus expedient quejamais feut veu. - Quel ? dict Grandgousier. Comme vous le raconteray (dist Gargantua) presentement. "Je me torchay une foys d'un cachelet de velours de une damoiselle, et le trouvay bon, car la mollice de sa soye me causoit au fondement une volupté bien grande ; "une aultre foys d'un chapron d'ycelles, et feut de mesmes ; "une aultre foys d'un cache coul ; "une aultre foys des aureillettes de satin cramoysi, mais - Page 1 -

		Rabelais, Gargantua, 1534 mirificque, tant par la doulceur d'icelluy dumet que par la chaleur temperée de l'oizon laquelle facilement est communicquée au boyau culier et aultres intestines, jusques à venir à la region du cueur et du cerveau. Et ne pensez que la beatitude des heroes et semi dieux, qui sont par les Champs Elysiens, soit en leur asphodele, ou ambrosie, ou nectar, comme disent ces vieilles ycy. Elle est (scelon mon opinion) en ce qu'ilz se torchent le cul d'un oyzon, et telle est l'opinion de Maistre Jehan d'Escosse. "

Vu aussi des vieilles bretonnes s'accroupir en pleine rue comme les péruviennes profitant de leurs longues jupes amples.

J'ai eu le courage de lire toutes les solutions préconisées pour les "grosses commissions",mais suis outrée par la solution finale .

Ceci dit,je ne regrette pas qu'on nous ait interdit de lire ce chef d'oeuvre de Rabelais