merci Christian

Très chouette la présentation .Mais je viens viens de voir que ça sautille un peu à chaque changement d'image ,mais sinon très sympa .

C'est pas mal tous les gilets rouges!!

ce n'est qu'un test pour m'amuser. je pense que le sautillement est dû au fait que toutes les images n'ont pas la même hauteur. Alors je vais essayer d'y remédier

Alors là, je ne comprends rien... Pas de test, pas de sautillement, pas de gilets rouges, rien !

Personnellement ,mais surtout ne pas en tenir compte je trouve que les images qui changent ce n'est pas mal .

ça a l'air de se stabiliser.Mais du coup on reste regarder les images défiler et ON NE BOSSE PLUS

C'est vrai Marie-Hélène on regarde le film

V@lérie a écrit:

Alors là, je ne comprends rien... Pas de test, pas de sautillement, pas de gilets rouges, rien !

Vous parlez de quoi ?

de la nouvelle présentation de la page d'accueil tient donc tu vois rien ?

Chez moi on ne sautille pas ,on est sage .

ça veut dire quoi ça que je ne suis pas sage ,trouvez en deux comme moi ,impossible :lol!: un peu moins depuis que les images apparaissent plus lentement, et qu'il y en a un moins grand nombre .Il n'y en a plus que trois ,plus au départ .

normal que ça ne sautille plus puisque les 4 images qui défilent ont maintenant la même hauteur à 1 pixel près

Voilà j'aime bien la rouge ,Marie- Hélène mine de rien nous sommes les deux plus jeunes du forum ,yés.

Comme quoi c'est bien facile sur internet de tromper son monde ....Je parle pour moi !!!!!

Personnellement, je préférais l'ancienne présentation, c'est à dire l'image 3 seule.

L'image 1 seule ou l'image 4 seule aurait été bien aussi.

Quand à la n° 2, je ne l'aurais pas mise car elle peut indiquer aux nouveaux venus que nous sommes un groupe trop fermé.

En plus il n'y a pas tout le monde. Ca fait un peu discrimination. Par exemple, Jean (qui est un grand timide) n'y est pas, d'autres non plus.

C'est vous qui voyez avec Christian ,personnellement cela m'est égale j'ai donné un avis comme ça .

Moi aussi, j'ai donné mon avis, à postériori.

Je pense comme Richard ,c'est sympa mais ça fait club fermé ,hermétique .

Les gilets roses et rouges sont les sapeuses pompières de Quincié-en-Beaujolais ?

L’ARRIVEE DES SAPEUSES POMPIERES

Il ne suffisait pas que l’anglo-americain vienne envahir notre vocabulaire, mais il faut qu’à présent il finisse par pervertir notre grammaire.

Dans le débat sur la « féminisation », qui prend la tournure d’une affaire d’état, parce que c’en est une effectivement puisque ce sont des ministres qui, ex officio, l’ont provoquée, diverses voix s’élèvent pour nous enjoindre de nous éclairer « à la lumière des usages dans d’autres pays francophones »Belgique et Québec notamment.

Je crois être un défenseur, assez ardent et permanent de la Francophonie, Je crois avoir marqué assez d’attachement au Québec et à la Wallonie, pour pouvoir me permettre de dire que ce n’est pas sur leur parler que la France doit aligner sa langue officielle. Le contraire me paraîtrait plus convenable.

Si le français est devenu, à partir du XVIIème siècle, la langue universelle dont le Canada et la Belgique, avant tant d’autres, ont été bénéficiaires, ce n’est pas à Chicoutimi ou à Charleroi que ses normes et ses usages ont été définis, mais à Paris, et plus particulièrement au Louvre ou Louis XIV installa l’Académie.


N’en déplaise à ses détracteurs, le travail de celle- ci, au long de ses 363ans d’existence, n’a pas été vain. Et
c’est bien en partie grâce à elle qu’a pu se constituer une entité d’un type nouveau, la Francophonie, cimentée par un langage partagé.

L’anglais possède le genre neutre

Sait-on vraiment ou cette mode de la féminisation des noms de titres et des fonctions a pris naissance ? Nullement au Québec, mais aux Etats-Unis.Et le Canada a seulement été contaminé par voisinage géographique.

Ce sont les « lobbies » féministes américains, comme le rappelait récemment dans le Monde une linguiste fort distinguée, qui se sont mis en tête de débarrasser l’anglais de ses éléments prétendument sexistes et ont obtenu, par exemple, de faire remplacer « chair man »par « chairperson ». Mais l’anglais court peu de risques d’être, par cette mode dénaturé. Il possède un genre neutre. Le français n’en dispose pas, et c’est le genre masculin ou non marqué, qui en général en tient lieu.

Ainsi, il ne suffisait pas que l’anglo-américain vienne envahir notre vocabulaire, par des primetime, nominé, best-of et autres looks qui n’ont rien a y faire ; mais il faut à présent que, se servant du relais québequois, il finisse par pervertir notre grammaire.


Je me devais de le signaler à ceux qui tiennent encore, non pas à « l’exception »française, mais simplement
à la personnalité française.

Encore nos parents de Montréal et de Bruxelles - ces derniers sacrifiant aussi à l’américanomanie-seraient-ils
unanimes et enthousiastes pour une féminisation tous azimuts, leurs positions pourraient-elles être considérées. Mais nous sommes assez loin du compte.

La liste des termes que publia naguère, par décret, la communauté française de Belgique – sans en référer aux Académies de son pays – provoqua autant de levées de boucliers que d’éclats de rire. On en arrivait aux sapeuses-pompières.


Féminiser, c’est faire de la discrimination

Mêmes résistances au Québec.Qu’on n’aille pas croire, dans la belle Belle Province, chacun ait gobé avec délectation les auteures, écrivaines et autres professeures. Je viens d’en recevoir un
témoignage éloquent par un article, une étude presque, que Mme Nicole Gagnon a récemment publié dans Le Devoir de Montréal, et dont elle donné loisir de reproduire les principaux exrtaits. Mme Nicole Gagnon n’est pas n’importe qui. Elle est professeur de sociologie à l’université Laval, et ses travaux font autorité.


« Contre la ministre », a-t-elle intitulé cet article, l’assortissant du sous-titre suivant : la prétendue « victoire » du féminisme linguistique est un recul sur la voie de l’égalité sociale des femmes…


Et elle a écrit : « il serait navrant que le premier québécisme adopté par la France soit un barbarisme