copains d'avant et maintenant
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Lieu de convivialité entre membres de la communauté virtuelle
 
AccueilPortailDernières imagesS'enregistrerConnexion
Qui est en ligne ?
Il y a en tout 48 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 48 Invités

Aucun

Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 171 le Dim Oct 13 2024, 09:27
Le deal à ne pas rater :
Smartphone Xiaomi 14 – 512 Go- 6,36″ 5G Double SIM à 599€
599 €
Voir le deal

 

 Mes découvertes coups de coeur

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeLun Avr 01 2019, 14:31

Mes découvertes coups de coeur  2015 Mes découvertes coups de coeur  725

Au "paradis des cascadeurs" 


Basé en Franche-Comté, le team Bourny assure des spectacles de cascade partout dans le monde

À 63 ans, le cascadeur franc-comtois Patrick Bourny continue à faire le show. 


Mes découvertes coups de coeur  185

Secondé par d’autres pilotes et trois techniciens, Cyril Bourny présente aujourd’hui, avec une impressionnante vitalité, 

l’un des meilleurs shows motos au monde. Photo Ced. B.

La relève est assurée !

Mes découvertes coups de coeur  1057


Cyril Bourny a rejoint son père Patrick et se consacre à plein temps au team Bourny depuis deux ans. Photo Ced. B.




Avec un camion de 12 tonnes, il est capable de rouler en équilibre sur les roues arrière ou de danser une valse sur une musique de Strauss.

Sur sa moto, il peut atteindre les 180 km/h sur une roue ou sauter un brasier de 35 mètres.

Ses exploits ont été diffusés sur les télévisions du monde entier.

Ses spectacles sont accueillis dans les enceintes les plus mythiques du sport mécanique : au Mans, à Bercy, à Hockenheim, 

devant des affluences à faire pâlir quantité d’artistes. Au Nürburgring, en Allemagne, il a fait le show devant plus de 130.000 spectateurs. 

C’est autant que pour Madonna lors de son concert parisien de 1987 ! À sa manière, Patrick Bourny est un phénomène : calme, posé, mais jamais rassasié. 

Toute sa vie, le cascadeur franc-comtois n’a cessé de repousser les limites de l’impossible. 

À 63 ans, il affiche déjà 43 années d’acrobaties mécaniques au compteur et huit records du monde, pour la plupart homologués par le « Guinness World Records »

Des aptitudes hors normes pour faire le show

Pourtant c’est dans la menuiserie qu’il a débuté. Mais le tournant de sa vie s’est joué sans volant, dans une station-service. 

« C’était en 1975. Les frères Bataille (NDLR : deux frères cascadeurs) donnaient des spectacles en Franche-Comté.

Ils faisaient le plein d’essence. Je suis arrivé avec ma moto. 

On a discuté. À l’époque, je participais déjà à des compétitions régionales de moto-cross. 

La veille, un de leur motard s’était blessé. Ils cherchaient une doublure, le temps qu’il se rétablisse. 

Je leur ai fait quelques numéros devant la station-service. Le lendemain, je donnais mon premier spectacle », raconte Patrick Bourny.

Très vite, le jeune franc-comtois, grisé par les applaudissements, montre des aptitudes hors normes pour faire le show. 

Il décide de voler de ses propres ailes et devient « organisateur d’événements ». 

Dès lors, on le voit dans toutes les foires de la région, sauter au-dessus des voitures et traverser des cerceaux en feu, arc-bouté sur son deux-roues. 

D’année en année, ses spectacles s’étoffent, intègrent des numéros de voitures, de camions, de dragsters…

Mes découvertes coups de coeur  2101

Des cascades réglées au millimètre ! Photo Ced. B.

Des engins de spectacle bodybuildés, tous équipés de turbos et de freins surpuissants

Pour bâtir ces spectacles hors normes, il invente, il transforme. Dans son atelier à Vergranne, près de Baume-les-Dames (Doubs),

il raccourcit lui-même un camion Renault et le dote d’arceaux pour en faire le premier camion looping du monde.

D’autres machines du genre suivront, notamment pour enchaîner les toupies sur roues arrière.

Ces engins de spectacle bodybuildés sont tous équipés de turbos et de freins surpuissants.

Et tout est réglé au millimètre par le boss. Patrick Bourny fait en effet partie de ces cascadeurs à l’ancienne, 

capables aussi bien de mettre les mains dans le cambouis que de piloter.

Un pilotage au doigté, entre freinage, accélération et décélération qui ne souffre d’aucune approximation.

Avec toujours cette conviction que « l’essentiel est de donner du plaisir au public ».

« Une acrobatie ne doit jamais excéder cinq minutes. Il faut enchaîner, varier les numéros pour que le spectateur n’ait pas le temps de souffler », explique-t-il.


Mes découvertes coups de coeur  389

Dans le Doubs, en 2014, Cyril Bourny réussit une première mondiale en 2014, 

en sautant plus de 40 mètres par-dessus un train en marche ! Photo DR

« À ce jour, on a joué nos spectacles dans 22 pays »

Désormais, le team Bourny compte une quinzaine de personnes, « mais tous ont un travail à côté. 

Je les emploie en fonction des besoins », précise-t-il. Des besoins qui n’ont cessé de grandir, eux aussi. 

Patrick Bourny se produit désormais un peu partout en Europe, en Russie, aux États-Unis, au Qatar… 

« À ce jour, on a joué nos spectacles dans 22 pays », souffle-t-il fièrement.

Et l’histoire n’est pas près de s’arrêter car son fils Cyril est désormais pleinement investi dans l’entreprise. 

« Après des années de moto-cross et de compétition en free style, j’avais monté mon propre team moto en région parisienne,

tout en animant des stages de pilotage. Pendant toute cette période, je continuais à faire des piges régulièrement pour mon père.

Il y a deux ans, j’ai décidé de revenir en Franche-Comté pour me consacrer à plein-temps au team Bourny », explique-t-il. 

Et dire que la relève est assurée est un euphémisme car Cyril Bourny est déjà un sérieux client dans le petit monde des cascadeurs.

Le pilote, également détenteur de plusieurs records, a notamment réussi une première mondiale en 2014,

en sautant plus de 40 mètres par-dessus un train en marche ! Une performance qui a donné de nouvelles idées à son père, 

lequel s’est mis en tête de tenter deux nouveaux exploits : un saut à moto depuis un tremplin à ski, et surtout un saut en camion. 

« Même avec le poids, je pense que je peux dépasser les quinze mètres », assure-t-il sans jamais s’effrayer de ses projets fous. 

« La peur ? On l’a toujours un peu avant. Mais quand la première est enclenchée, c’est fini », résume-t-il.

Des records à la pelle

La vie de Patrick Bourny est un empilement de folies, de records tous plus ahurissants les uns que les autres. 

Ça commence en 1978 avec un saut à moto par-dessus le canal Rhin-Rhône. L’année suivante, changement d’obstacles. 

Cette fois il survole dix camions, puis douze autobus. En 1981, il établit un premier record du monde de saut à moto par-dessus un brasier de 35 mètres. 

Puis il passe à une mécanique plus puissante et réussit le premier looping en camion. Qui sera suivi quelques années plus tard d’un double looping.

Dans les années 90, il établit successivement le record du monde de distance sur roues arrière avec un camion en parcourant 2,25 km, 

puis un record de vitesse à 90 km/h, toujours sur roues arrière.

Enfin en 2017, il réussit à réaliser quatre toupies avec son camion en moins d’une minute. Chapeau l’artiste !

Le rêve américain

La performance dont Patrick Bourny est le plus fier ? « C’est d’avoir battu les Américains chez eux », répond-il sans hésiter. 

Pour bien comprendre cette victoire flamboyante, il faut remonter à 1981.

Pour « Incroyable mais vrai » l’émission de Jacques Martin diffusée sur Antenne 2, Patrick Bourny atteint la vitesse stratosphérique 

de 147 km/h sur la seule roue arrière de sa moto. L’exploit retentissant fait le tour de la planète et pique au vif les pilotes américains, 

considérés à l’époque comme faisant partie du gratin mondial. Aussi, pour régler son compte à cet effronté de petit « frenchie », 

la chaîne de télévision ABC invite Patrick Bourny à affronter les neuf meilleurs pilotes nord-américains. 

« La course s’est déroulée en direct sur le lac asséché de San Bernardino en Californie. 

On avait tous une 500 Honda. Lors des essais, je n’arrivais même pas à la lever tellement elle était lourde. 

Ce n’est qu’à quelques minutes du départ, que j’ai enfin trouvé le point d’équilibre », raconte-il. 

Au final, Patrick Bourny est parti comme un boulet de canon pour remporter la course assez largement.

Deux ans plus tard, il récidivait pour pulvériser son propre record à 183 km/h. Toujours sur la roue arrière de sa moto !

Jean-Marc TOUSSAINT




Mes découvertes coups de coeur  492


Des cascadeurs qui jouent avec le feu. mais tout est réglé au millimètre ! Photo Ced. B.


Mes découvertes coups de coeur  568


Toujours repousser les limites de l'impossible : Photo Ced. B.


Mes découvertes coups de coeur  659

Un pilotage au doigté ! Photo Ced. B.

Mes découvertes coups de coeur  755


Pour les Bourny, tout engin à moteur est d'abord un outils pour la cascade. Photo Ced. B.


Mes découvertes coups de coeur  855


Le team Bourny a présenté à ce jour ses spectacles dans 22 pays au monde. Photo Ced. B.


Mes découvertes coups de coeur  950


Les cascades en voiture sont réalisées par Stéphane Rieser, l'un des quinze membres du team Bourny. Photo Ced. B.


Mes découvertes coups de coeur  11115


Toujours de nouveaux défis à relever pour le team Bourny qui réunit aujourd'hui une quinzaine de personnes. Photo Ced. B.


Mes découvertes coups de coeur  11211


Des engins de spectacles bodybuildés équipés de turbos et de freins surpuissants. Photo Ced. B.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeLun Avr 01 2019, 17:03

Ce n'est pas trop jouer avec le feu !!!!!!! en colère
Revenir en haut Aller en bas
Michel Boisjoly

Michel Boisjoly


Messages : 39531
Localisation : Paris

Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeLun Avr 01 2019, 20:43

Je me souviens de Jean Sunny il y a 60 ans qui faisait déjà  ce genre de spectacles .
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeMer Avr 17 2019, 15:26

Mes découvertes coups de coeur  2015 Mes découvertes coups de coeur  443


Zanzibar : l’île aux épices


Au large de la Tanzanie, Zanzibar fleure bon les plages magiques et les aventures secrètes.

L'île est aussi en train de devenir une destination prisée et pas très chère.

Mes découvertes coups de coeur  182

L'océan à disposition !


Mes découvertes coups de coeur  294


Des groupes folkloriques refont vivre l'ambiance des cours des sultans au temps de la domination arabe.


Mes découvertes coups de coeur  384

Marchand d'oranges dans la rue.

Les îles de la Sonde, les Marquises, le cap de Bonne- Espérance,

il est des noms qui donnent des envies de se déguiser en Henry de Monfreid et de souquer vers des côtes inconnues… 

De tous, c’est peut-être Zanzibar qui dispose du plus grand pouvoir de rêve.

Prononcez ce nom et les yeux brillent, les esprits se baladent, parfois sans trop savoir où…

Petit rappel géographique, Zanzibar se trouve au large de la Tanzanie, dans l’océan Indien, et c’est bien de la Tanzanie qu’elle dépend, 

comme la Corse de la France, avec cet esprit insulaire qui revient vite dans les conversations. 

Soyons précis, Zanzibar est une ville, Stone Town son vieux quartier, et le vrai nom de l’île est Unguja. 

Ajoutons, leçon d’histoire, que Zanzibar a fait l’objet d’une révolution en 1964,

dont ont fait les frais les communautés arabes présentes depuis des siècles à Zanzibar et aussi la minorité perse. 

C’est là que le plus célèbre enfant du pays, Freddie Mercury, dut vite faire ses valises avec papa et maman, pour devenir l’une des plus grandes stars du monde. 

En plein Stone Town, la capitale de Zanzibar, sa maison natale, un peu moche, est devenue lieu de pèlerinage…

Cannelle, vanille, poivre, gingembre, cardamome...

Mais Zanzibar c’est, éternellement, l’île aux épices. Cannelle, vanille, poivre, gingembre, cardamome,

cette île sent bon, et cette spécificité a longtemps fait sa fortune avant que le tourisme ne devienne la première source de revenus. 

Symbole de ce monde des épices, le clou de girofle dont l’île fut longtemps le premier producteur mondial. 

Une ferme d’État ouverte à la visite et peuplée de guides souriants permettra de découvrir les girofliers ou les secrets de la cannelle.

On peut acheter ces petits trésors dont l’odeur est sans équivalent avec celle que l’on trouve sur les étals français.

Et quitte à faire une excursion, pour le plaisir des enfants aussi, il faut visiter la forêt de Jozani. 

Sans trop attendre et à condition de se faire un peu discret, on pourra découvrir à l’état sauvage des colobes roux,

des singes très spéciaux endémiques de l’île. « On a essayé d’en introduire en Tanzanie,

ils ne se sont pas du tout adaptés, on n’a jamais su pourquoi », explique un guide de cette forêt primaire.

Encore une excursion à ne pas rater, Stone Town. Le vieux quartier de la ville de Zanzibar est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. 

Il faut se perdre un peu dans les ruelles, tomber par hasard sur un temple indien, une vieille maison aux lourdes portes travaillées de cuivre, 

un marché où poissons colorés et épices se vendent dans une agitation très africaine. Un symbole parmi d’autres, 

ce minaret, la majorité de la population est musulmane, qui voisine avec le clocher d’une église bien chrétienne. 




Plus de vingt-cinq plages de haut niveau

Plus terrifiantes, ces cellules pour esclaves, souvenir de l’autre « bizness » de l’île, avec les épices. 

Zanzibar était, du temps de la domination arabe, et d’Oman en particulier, la plaque tournante du commerce des esclaves. 

700.000 hommes, femmes et enfants, venus du continent africain, auraient transité ici.

Un émouvant monument, au cœur de la ville, raconte cela. Le soir, les jardins de Forodhani, au bord de la mer, 

permettent de découvrir un monde de restaurateurs ambulants, spécialistes de la brochette ou de pizzas locales.

Il est temps de se reposer, beaucoup ne viennent que pour cela, le long des plages de sable fin, magnifiques, de l’île. 

On en compte plus de vingt-cinq de haut niveau : Kiwengwa, Jambiani ou Kigomani pour plonger dans l’eau tiède et turquoise. 

Petite particularité, on verra souvent, sur ces plages, de drôles d’occupants. Une poignée de fins Massaïs, en tenue, armés de lance ou de bâton.

Ils ne sont pas là pour le décor, mais surveillent à la demande des hôteliers et plagistes, pour la sécurité des touristes. 

À ce propos, on est plutôt tranquille à Zanzibar, le visiteur occidental est rarement sollicité et souvent gentiment.

Détail important, l’île, à la faveur d’une nouvelle politique touristique, a cassé ses prix ces dernières années.

On peut trouver facilement des semaines en formule hôtel-club, tout compris, entre 1.000 ou 1.500 euros, vol compris.

De quoi se donner un air de Maldives ou de Maurice à des tarifs bien plus compétitifs. TUI et sa marque Lookea viennent,

ainsi, d’ouvrir un hôtel-club tout neuf, les pieds dans l’eau. De la plage top niveau, mais aussi plein de découvertes inattendues,

on peut vraiment passer une belle semaine à Zanzibar, ou beaucoup plus…


Y aller

Mes découvertes coups de coeur  485


Zanzibar ce n’est pas tout près, on s’approche de l’Afrique du Sud. Il n’y a pas de vol direct de Paris.

Il faut donc compter plus de treize heures de trajet.

L’un des vrais spécialistes de la liaison, est, logiquement, Oman Air. De Paris, on rejoint Mascate puis vol direct vers Zanzibar.

Dormir

Sur place, le club Lookea Kiwengwa Beach, tout neuf, inauguré cette année.

C’est du « cinq parasols », le maximum pour la marque de l’opérateur TUI.

Plusieurs piscines sont à disposition et le club a les pieds dans le sable au bord de la mer et des matelas. 

La proposition est idéale pour les familles, avec des clubs enfants et diverses animations.

Le prix est tout à fait honnête, à partir de 1.249 € pour 9 jours et 7 nuits en formule tout inclus, voyage compris.

Manger

Le restaurant le plus incroyable de l’île est peut-être « The Rock ». Comme son nom l’indique, l’établissement est accroché à un rocher en mer.

On peut y aller en barque, ou à pied quitte à se mouiller jusqu’à la ceinture dans l’eau tiède de la plage.

Tenu par un Italien, le restaurant situé sur la plage de Pongwe, ressemble à une maison de Schtroumpf, version maritime et exotique.

Bouger

On peut passer une semaine dans un confortable hôtel club et avoir des fourmis dans les jambes. 

Quelques excursions semblent indispensables. Il faut goûter au charme du vieux quartier de Stone Town,

et découvrir les fermes aux épices, publiques ou privées. Les hôtels clubs proposent aussi des excursions vers la Tanzanie voisine pour participer à un safari. 

Cela ne peut prendre qu’une journée ou durer plusieurs jours.

Philippe SAUTER


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Revenir en haut Aller en bas
Michel Boisjoly

Michel Boisjoly


Messages : 39531
Localisation : Paris

Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeMer Avr 17 2019, 16:01

Je n’y suis jamais allé,mais j’ai connu deux personnes. Il paraît que c’est d’une misère et d’une laideur insoutenables.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeMer Avr 17 2019, 16:06

Mes découvertes coups de coeur  186000272 Oups 

elles chantent comme des casseroles!!!.Me tente pas trop mais j'adore le nom :zanzibar !!!!ça "zozotte"
Revenir en haut Aller en bas
Michel Boisjoly

Michel Boisjoly


Messages : 39531
Localisation : Paris

Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeMer Avr 17 2019, 16:08

C’est vrai que le nom fait rêver ,mais la réalité est décevante et même sinistre.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeVen Juil 19 2019, 15:03


Mes découvertes coups de coeur  2015 Mes découvertes coups de coeur  443
 
 
 
 
Mes découvertes coups de coeur  2104
 
Sculpteur de chocolat
 
L’Alsacien David Ebersold est un artisan et un artiste. Science-fiction et fantasy sont ses sources d’inspiration.
 
Photo HD Épreuve d’intimidation entre la créature et son créateur !
 
David Ebersold transmet son savoir aux élèves du Cepal de Laxou (54).
 
 
Par Jean-Charles Verguet
 
La silhouette est impressionnante. 1 m 80 pour 130 kilos, ça en impose. Mais ce n’est pas le gabarit de David Ebersold.
 
C’est celui de sa créature : le fameux « Alien » en taille réelle, tel qu’il apparaît dans le film du même nom.
 
Le chocolatier l’a réalisé d’après des images. Il l’a sculpté avec une redoutable précision, un sens aiguisé du détail.
 
Cette œuvre majeure lui a demandé cinq mois de travail. Parce qu’il s’y attelait en fonction de ses envies, pendant ses repos. Juste pour le plaisir.
 
La sculpture sur chocolat est une passion qui l’anime depuis 15 ans.
 
« C’est vraiment ce que je préfère », confirme David Ebersold qui travaille à la pâtisserie Busser à Vendenheim.
 
Il a pourtant déjà remporté de nombreux concours dans d’autres disciplines : meilleure truffe au chocolat, meilleur macaron,
 
meilleure galette frangipane… En revanche, ses sculptures n’ont pas vocation à aller décrocher des trophées.
 
Seule la performance technique le motive. Ses œuvres sont d’une grande fidélité au modèle.
 
Il parvient à donner du mouvement, à préserver l’équilibre de pièces lourdes tout en réalisant des détails d’une grande finesse.
 
Il a les connaissances indispensables pour manier cette matière vivante et les gestes précis venus de l’expérience.
 
« Il faut de la patience, du calme mais c’est également très physique », précise le chocolatier.
 
« Le corps est tendu. On travaille tantôt courbé sur une pièce, en appui sur les cuisses, tantôt les bras en l’air.
 
C’est très fragile, il faut être méticuleux, penser toujours à la résistance du chocolat.
 
Il faut savoir s’arrêter quand la matière prévient ! On sait qu’on ne peut pas aller plus loin…
 
Cela rejoint un peu le travail sur le sucre avec l’avantage qu’on peut remodeler le chocolat.
 
Mais il faut toujours faire attention à ne pas laisser de traces de doigts.
 
Plus on a les mains chaudes, plus ça marque. »
 
Lorsque les pièces sont terminées, elles sont exposées puis conservées dans des lieux climatisés.
 
Que ce soit l’Alien ou le Gremlin, ils font l’admiration du public. « Ils font parfois un peu peur aux enfants », s’amuse David Ebersold.
 
« Le chocolat se prête à toutes les formes. Il n’y a pas de limite, sinon l’imagination.
 
Le fantastique m’a toujours inspiré. C’est un univers qui m’a marqué depuis que je suis petit.
 
Je suis très gourmand, c’est ce qui m’a amené à la pâtisserie. Mis à part ce qui tombe au sol, il n’y a rien qui se perd :
 
je mange tous les petits copeaux ! »
 
David Ebersold utilise du matériel de sculpture sur argile, après les ciseaux à bois pour dégrossir.
 
Il faut que le chocolat soit tout le temps malléable, ni dur ni mou. Il est donc laissé à une température de 31° dans une étuve.
 
Il utilise une microtorche, un chalumeau, une bombe de froid pour souder les différentes parties et même un chauffe-plats pour certains effets.
 
Il aime aussi transmettre son savoir. Il vient notamment former les élèves du Cepal de Laxou,
 
dans la banlieue de Nancy où il a lui-même passé deux années. « Plus ça tourne vite, plus le beurre de cacao remonte
 
et plus ça devient brillant », explique-t-il en maniant une perceuse équipée d’un pinceau de maquillage.
 
« J’ai fait travailler les stagiaires sur des têtes de dragon. Je finirai le corps entier à la maison ! »
Revenir en haut Aller en bas
Michel Boisjoly

Michel Boisjoly


Messages : 39531
Localisation : Paris

Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeVen Juil 19 2019, 15:34

Où s'arrêtera la co nnerie humaine ? Une Tour Eiffel grandeur nature en caviar.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitimeVen Juil 19 2019, 16:06

Mes découvertes coups de coeur  1350780064
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Mes découvertes coups de coeur  Empty
MessageSujet: Re: Mes découvertes coups de coeur    Mes découvertes coups de coeur  Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Mes découvertes coups de coeur
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Mes découvertes « coups de cœur »
» Les coups de torchon du nettoyage de printemps....
» Coups de torchon à la TV
» Les 12 coups de midi ,
» COUPS DE FIL QUI NOUS ENQUIQUINENT...

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
copains d'avant et maintenant :: ACTUALITÉS-
Sauter vers: