Le navire est construit aux chantiers de construction navale de Morlaix (en réalité au Dourduff-en-Mer). C'était alors le fleuron de la flotte bretonne. Elle était armée de 200 canons, dont seize de gros calibre et quatorze bombardes à roues crachant des pierres de 100 à 150 livres, et pouvait compter jusqu'à plus de 1000 hommes d'équipage1. Elle tire son nom de l’ordre de chevalerie de la Cordelière. Elle n’a pas toujours porté
Combat naval entre la Cordelière et le Régent bateau anglais.Les deux navires ayant coulé au large du Conquet.Des recherches vont être reprises pour tenter de retrouver les deux épaves !
"Des campagnes d'archéologie sous-marine ont eu lieu en 1997 et en 2001 afin de tenter de retrouver la Cordelière. Actuellement, le navire est toujours sous les eaux.
Une nouvelle campagne de recherches, va être lancée au large de Brest, à l'été 2018. Celle-ci, dirigée par l'archéologue Michel L'Hour, du DRASSM, va associer différents organismes et instituts, tels l'Université de Bretagne-Sud pour les recherches historiques, l'IFREMER, l'ENSTA Bretagne, le LIRMM de Montpellier. La campagne de recherches va s'effectuer à partir de l'André Malraux, le navire de recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines du DRASSM4."
https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Cordeli%C3%A8re