J'aime beaucoup la voix de cette chanteuse

et je trouve ces reprises faites par elle




    quelques extraits d'autres chansons .

Voix assez spéciale un peu rauque .....Et elle articule bien....Vais écouter les autres plus tard

elle pétille de partout,un genre nouveau,voix particulière,j'aime bien aussi

En effet j'aime beaucoup son naturel et sa joie de vivre ,et je ne sais pourquoi ,elle me donne l'impression d'être une personne saine .

Encore une découverte ,je ne sais qu'en penser car sa diction est très mauvaise,elle doit de plus avoir une amplitude d'une demie octave maximum .Je vais tenter une seconde écoute .

J'adore Zaz, je suis fan depuis ses tous débuts. J'ai eu l'occasion de l'entendre interviewée, et elle n'est pas bête du tout. Elle a de l'avenir cette petite.

Et moi qui trouve qu'elle articule bien par rapport à bien d'autres....Diction Vous dites?....On ne doit pas avoir les mêmes capacités auriculaires....

http://www.francetvinfo.fr/culture/la-chanteuse-zaz-cree-la-polemique-en-evoquant-la-legerete-de-paris-sous-l-occupation_745509.html

Ils y vont un peu fort chez Libé... , elle n'est pas historienne, et elle n'a rien dit de gravement insultant il me semble. C'était son point de vue, et il est défendable.

Je reste sur la diction ,j'ai réécouté cette ZAZ et c'est un peu de la bouillie ,elle a une voix de tête et même de nez si je veux être méchant ,mais je ne le suis pas . Pour le reste ,je ne sais pas .

Vraiment n'importe quoi, pourquoi avoir repris ses propos de cette façon ,car quelque part elle a raison ,il y avait bien une forme de légèreté pour certains ,  de nombreux artistes   comme chevalier , dassary ont  fait la fête aux côtés des Allemands ,et puis cette jeune femme ne l'a certainement pas dit dans le sens que certains veulent bien l'interpréter .

Dassary ,c'est sûr :

Les lieux de divertissement en cours sous les années 1930 reprennent leurs droits après la défaite, comme la piscine Deligny, le vélodrome d'Hiver ou les cinémas : le Gaumont Palace (rue Caulaincourt) ou le Maillot Palace (avenue de la Grande-Armée). Le cinéma Normandie (avenue des Champs-Elysées) est réservé aux soldats allemands ainsi que le club du cercle de l'Union interalliée (rue du Faubourg Saint-Honoré) 15 ou certaines maisons-closes (le One-two-two 122 rue de Provence, Le Chabanais, 12 rue Chabanais16). Les officiels allemands fréquentent également des restaurants comme Maxim's (rue Royale), La Coupole (boulevard du Montparnasse), ou La Mère Catherine (rue Norvins).

Pendant l'Occupation, les cabarets ne ferment pas mais prospèrent, encouragés en cela par les forces allemandes qui cherchent à se distraire, bien que ce genre d'établissements eussent peu à peu été fermés à Berlin après l'accession des nationaux-socialistes au pouvoir, en 1933. On compte une centaine de ces cabarets, dont certains sont désormais bilingues « comme L'Étincelle rue Mansart à Montmartre, qui promet les plus jolis mannequins de Paris dans l'éblouissante revue Féminités, L'Écrin, rue Joubert, qui fait monter sur scène Léo Marjane, l'inoubliable interprète de Seule ce soir. L'Alcazar propose même un spectacle exclusivement réservé aux soldats allemands, tandis que le vestiaire du Shéhérazade, rue de Liège, se garnit de casquettes et de capotes militaires d'outre-Rhin ». On peut autant croiser des collaborateurs et pourvoyeurs du marché noir (comme à L'Heure bleu fondé en 1943 par Django Reinhardt, rue Pigalle ou à L'Aiglon, rue de Berri) ou un travesti qui mène la revue des Folies Bergère en 1943 ainsi que des dîners-spectacles du Lido où le journal La Gerbe note en 1943 qu'on y trouve de « la bonne chère et jolie chair » (l'établissement est par exemple fréquenté par José Félix de Lequerica, l'ambassadeur d'Espagne, qui le soir du 7 juin 1941 y convie l'écrivain Paul Morand, l'actrice Arletty et Josée Laval, fille de l'ancien vice-président du Conseil Pierre Laval)17. De nombreux artistes continuent de se produire, comme la chanteuse Suzy Solidor

Tout à fait d'accord avec vous deux, il y a eu une mauvaise interprétation de ses dires