Ces animaux faisaient partie du Camp Vanier créé par Nicolas Vanier en 2011 à Vassieux-en-Vercors, et dont la préfecture vient d’ordonner la fermeture administrative.
Hélas, fin 2013, la préfecture tire une première fois la sonnette d’alarme. « Le camp Vanier a fait objet d'un contrôle de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) fin 2013, à la suite duquel il avait été adressé à l'exploitant une mise en demeure sur les conditions d'hygiène et de sécurité, qui n'étaient pas conformes » a confié un membre de l’administration
Une première mise en garde qui n’aura servi à rien puisque le 7 juillet lors d’une contre-visite, la préfecture constate que rien n’a été fait pour améliorer les conditions de vie des chiens présents et que la situation s’est même détériorée : « Pire, le nombre de bêtes à augmenté. Il y avait 48 chiens de traîneau au départ et 61 ont été recensés ce lundi. »
Voici ce que dit ce charmant monsieur ,(honte à lui pourtant il a dû en engranger du fric et pour lui il s'agit aux autres de payer )
Nicolas Vanier pour sa part, avait réagi fin juin sur son site internet, sentant le vent tourner. À l’époque, il rejetait la faute sur l’administration française. « Nous étions loin d’imaginer nous retrouver victimes et dépendants de la rigidité des banques qui sont intraitables, dénonçait-il. Ainsi que de l’administration française qui assomme les entreprises de taxes, d’impôts, de prélèvements tout en exigeant de se conformer à une réglementation coûteuse et insupportable pour les petites structures comme la nôtre.