Moi j'ai des informations ....

Le plat de poisson des pensionnaires des années 50 le vendredi ...            


http://fr.wiktionary.org/wiki/raie_pissouse

j'ai cherché votre raie pissouse très chère
           

j'adore ce très chère ,ça fait classe 
 
et je suis tombée la dessus entre autre .

https://copain-d-avant-et-ma.forumgratuit.org/t10602-pauvre-gargantua

Je ne sais pas si c'est un mot qui nous est "propre"....On traitait facilement de "pissouses" des fillettes sales et mal fagotées...C'était péjoratif....

D'ailleurs en Bretagne (assez machiste)...Les petites filles étaient des pissouses parfois chez les parents avec une connotation amusée et même tendre.

Et donc sur le lien retrouvé par Rosie....Le poisson servi aux garçons pensionnaires le vendredi,la raie ,poisson pas cher et surtout sans arrêtes était surnommée ainsi car elle sentait très fort...

Je me demande si elle ne se range pas dans la famille des requins ...??????

La raie sent l'ammoniaque comme n'importe quel poisson qui n'est plus frais ,ni plus ,ni moins .
La raie n'est pas dans la famille ,ni l'ordre des requins .

J'adore la raie

J'ai mangé plusieurs fois du requin à peau bleue  ça sent l'ammoniaque ce qui est normal,  j'ai enlevé la peau, je l'ai cuisiné à la moutarde ancienne et crême fraiche un délice.

mariehelene a écrit:

Je ne sais pas si c'est un mot qui nous est "propre"....On traitait facilement de "pissouses" des fillettes sales et mal fagotées...C'était péjoratif....

D'ailleurs en Bretagne (assez machiste)...Les petites filles étaient des pissouses parfois chez les parents avec une connotation amusée et même tendre.

En Beaujolais c'est pareil en patois mais en français on remplace le O par un E.
Mon grand père maternel (qui n'était pas macho....), fêtait la naissance de ses petits fils en ouvrant du champagne (ou ce qui en tenait lieu, plus probablement du mousseux) et la naissance de ses petites filles avec un canon de Beaujolais. Eh bien sûr il les qualifiait gentiment de "pisseuses". En apprenant la naissance de l'une de mes cousines, il avait dit à mon oncle, "Que veux tu, il en faut bien !"