Je le comprends d'autant plus que la petite ville où j'ai choisi de finir ma vie car elle était vivante,joyeuse,besogneuse tout autour de son église qui scandait les heures,les évènements de la vie de ses habitants,y compris le glas auquel chacun s'associait avec une petite pensée pour le ou la défunte et sa famille .Et surtout le Dimanche ,où c'était la grande activité (terre des prêtres ).Nous prenions le car pour la messe (étant à la plage) et ça papotait en breton,surtout les femmes habituées à couvrir le bruit du vent .
Maintenant ,pas un chat dans les rues .Les boulangeries qui ont résisté (3) sont à l'origine d'un petit courant de gens dans les rues .
Bien sûr les vacances ,de plus en plus nombreuses ,ramènent un peu d'activités,mais pas pareil!