Rappel du premier message : Le mois d'octobre est le dixième mois du calendrier grégorien et julien.
Son nom vient du latin october car il était le huitième mois de l'ancien calendrier romain.
La Révolution d'octobre a commencé en 1917 le 25 octobre (parfois appelé aussi octobre rouge) du calendrier julien (utilisé dans la tradition orthodoxe russe),
soit le 7 novembre du calendrier grégorien.
Célébration d'Octobre :
Dans la plupart des pays ou régions de l'hémisphère Nord qui appliquent l'heure d'été, le dernier dimanche d'octobre est celui du passage à l'heure d'hiver,
c'est-à-dire le retour à l'heure normale du fuseau horaire.
Dans certains pays ou régions de l'hémisphère Sud, ce même dimanche est celui du passage à l'heure d'été.
Définition Octobre
Octobre
Nature : s. m.
Prononciation : o-kto-br'
Etymologie : Bourg. octobe ; provenç. octobre, octembre, octoyre ; esp. octubre ; port. outubro ; ital. ottobre ; du lat. october, de octo, huit, parce que, dans l'ancienne année romaine, qui commençait au mois de mars, ce mois était le huitième.
Ci-gît Jean qui baissait les yeux à la rencontre des gens sobres, Et quipriait souvent les dieux Que l'année eût plusieurs octobres
dans RICHELET de MAINARD
Octoivre
octimber. de DU CANGE
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Ce fu escript en l'an de grace MCCC et IX ou moys d'octovre
304 de
JOINV.
Ce mois est ainsi appelé parce qu’il était le huitième mois de l’année dans le calendrier de Romulus ; et quoiqu’il soit devenu le dixième dans celui de Numa, et qu’il le soit encore dans le nôtre, il a conservé ce nom, que les empereurs et le sénat romain ont souvent voulu changer.
Dans les premiers jours de ce mois, les Egyptiens célébraient une fête qu’ils appelaient la fête du bâton du soleil, supposant, dit-on, que cet astre avait besoin de soutien après l’équinoxe d’automne. C’est aussi dans ce mois que se célébraient à Athènes les Thesmophories, en l’honneur de Cérès.
Sept batailles mémorables ont eu lieu dans le cours d’octobre. La première est celle de Salamine, qui délivra la Grèce et sauva la civilisation ; la deuxième et la troisième sont celles d’Issus et d’Arbelles, qui assurèrent à Alexandre la conquête de l’Asie ; la quatrième est celles de Philippes, où périrent en quelque sorte les derniers des Romains, et avec eux la république romaine ; la cinquième est celle que livra Constantin sur les bords du Tibre et presque aux portes de Rome : cette victoire le rendit seul maître de l’empire romain, et l’on sait l’influence qu’elle opéra en faveur de la propagation du christianisme ; la sixième est la bataille de Lépante, qui délivra l’Europe des Turcs ; enfin la septième est la bataille d’Iéna, gagnée par l’empereur Napoléon sur le roi de Prusse et le duc de Brunswick.