Mieux que certaines lessives!!!!

Plus blanc que blanc!!!!Souvenirs d'enfance à travers les yeux d'un artiste !

plus blanc que blanc   ça pas sur :):j'aime bien la gravure

http://www.memoiresvivantes.org/bulletin/bulletin18_labue-lessive_2006.pdf

C'est dingue tout ce vocabulaire aujourd'hui oublié et qui s'appliquait au lavage du linge.
Quand j'étais gosse, j'ai souvenir d'avoir été au lavoir avec ma grand mère maternelle. Elle mettait tout son linge dans une grande panière qu'elle emmenait sur une brouette au lavoir, situé à 500 mètres de son domicile. C'était l'occasion de retrouver ses copines et de discuter tout en lavant le linge. Chez mes parents, aussi loin que je me souvienne, il y avait déjà la machine à laver. Par contre, pour l'essorage, il fallait tourner la manivelle pour faire avancer le linge entre des rouleaux

À la campagne chez nous la machine à laver était en cuivre à l'extérieur dans une buanderie. Il fallait faire du feu dessous et elle était originellement à main avec une énorme manivelle. Je l'ai connue alors qu'elle avait été motorisée. Essorage extérieur avec deux rouleaux. Elle était de 1928. Il y en a une dans la vitrine  près de chez moi.

C'était surtout le séchage des draps au soleil qui assainissait et blanchissait qui m'a rappelé ce souvenir d'autrefois !

Elles étalaient les draps sur l'herbe,tenus par des pierres pour ne pas s'envoler...C'était même un plus pour les "blanchisseuses"....

"Conformément aux préceptes de Diderot et d’Alembert, le linge, étendu à plat sur un pré, était arrosé à plusieurs reprises avec un arrosoir de jardinier et retourné deux ou trois fois sens dessus dessous. Le soleil et l’eau achevaient ainsi « de lui donner un lustre et un blanc très parfait ». On attribuait d’ailleurs une qualité de blancheur dite « grand pré » pour le linge exclusivement séché sur un pré. <sup>(1)"




Eh oui la lessive était un évènement !!!!!




http://espritdepays.com/patrimoines-en-perigord/patrimoine-bati-du-perigord/les-lavoirs-du-perigord/lessives-dautrefois-techniques-de-lavage</sup>

Perso ce n'était pas avec ma grand-mère que j'allais au lavoir mais avec ma maman .


Avant la machine à laver j'ai connu la bouilleuse avec le champignon où on enroulait le linge autour ,j'ai encore dans les narines l'odeur du linge en train de bouillir et je vois encore l'eau sortir du champignon .Et dire que maintenant je saurai même  plus me passer du lave-vaisselle (quelle feignasse je suis par rapport à ma mère )



Voilà le lavoir où ma mère allait à Gespunsart .



Je demandais à J-L s'il se souvenait de ces lessiveuses ou des lavoirs chez ses grands-parents ou parents et il me disait que ses grands -parents ont eu leur première machine à laver en 195O et ses parents ont eu  la première machine à laver automatique en 1960.

Plus tard pour mes parents ,étant ouvrier mon père faisait des heures plein la musette pour améliorer le quotidien de ma mère ,bien souvent il sortait de l'usine à 22 h aprés avoir commencé à 7h  ('il y avait du boulot à cette époque ) mais c'est ce qui faisait les salaires ,il était loin des 35h ,et maintenant même 35 h nous nous plaignons ,jamais entendu mon père se plaindre .(grand respect à lui )

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l'été il y a lors des fêtes paysannes le concours d'essorage de linge pesé avant et après et récompense pour le meilleurs bien sur





http://www.atelierdejojo.com/article-pour-lavandiere-121810991.html



comme Rosie je me souviens de la lessiveuse avec une boule bleue dedans

Voilà exactement la machine à laver de ma tendre enfance . Elle avait été modernisée avec un moteur électrique externe et une courroie pour entraîner la roue . Je me souviens aussi de la lessiveuse avec le champignon au milieu .Je crois que c'était pour le blanc qui pouvait bouillir .

Flandria, dans mes souvenirs, c'était une marque de cyclomoteurs, je savais pas qu'ils faisaient aussi des machines à laver...

c'est vrai Flandria était aussi une marque de vélomoteurs .
Cela me penser au scooter Terrot de mon cousin . Embrayage ,frein arrière et sélecteur de vitesse avec le talon . Il fallait s'habituer pour ne pas se casser la margoulette .