Inconnu des bacheliers section lettres .

Rien ne nous sera épargné ,50 % des candidats n'avaient jamais entendu parler d'Anatole France ,ils croyaient même que ce barbu était une femme ,confondant avec France Gall . Je veux bien admettre qu'il est un peu oublié ,mais quelle langue magnifique .Je n'ai lu que quatre ou cinq livres de cet auteur mais je suis consterné .

J'ai entendu cette info ,question que je me pose ,si les jeunes ne connaissent pas Anatole France, c'est que leurs enseignants, ne leur en ont pas parlé?  mais même s'ils ne l'ont pas étudié ,ils ont dû en entendre parlé ,c'est affligeant .

Un bon cru le bac de cette année


  Annulation du premier texte du bac d’anglais », les lycéens n’y vont pas par quatre chemins lorsqu’il s’agit de protester. En publiant une pétition sur le site change.org, les aspirants bacheliers ont exprimé leur sentiment de frustration. La raison de cette colère fulgurante : un extrait du roman de l’Américaine Alice Hoffman, The Museum of Extraordinary Things, paru en 2014. La question A de l’examen, posée en anglais, faisait référence à ce texte : « Dans quelle ville se situe la scène ? Justifiez avec deux éléments du texte ».
Pour répondre, il fallait savoir que Manhattan se situe… à New York. Chose pour laquelle de nombreux étudiants ont éprouvé quelques difficultés. L’auteur de la pétition résume leur revendication de la sorte : « Suite à la difficulté de la compréhension du texte A, nous voulons une modification du barème ». Et déjà 14 719 personnes soutiennent cette cause.
De nombreux détails étaient disséminés dans l’extrait ainsi que sur l’illustration qui l’accompagnée afin d’aider les lycéens à trouver la bonne réponse. Mais de toutes évidences, peu d’entre eux associés Manhattan à New York. Faisant face à un désarroi croissant, ils se sont laissé aller sur les réseaux sociaux, notamment Twitter et en commentant cette pétition : « Je signe parce qu’on nous demande des questions de cultures générales avec aucun lien avec les notions vues en cours pendant l’année », s’exprime Adrien Martin. « les questions du texte A nous demandaient des connaissances géographiques et historiques que nous ne possédons pas tous même si cela paraissait évident, il dispose aussi d’un vocabulaire pointu et complexe qui n’est pas usuel d’élèves de terminales », renchérit Mickaël Racine.

On ne peut pas poser une question qui n'est pas au programme .
Pour l'anglais ,c'est inouï de ne pas associer Manhattan à New-York .

Les sujets philo????


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