Même ça il l'avait prédit !!!!!

http://www.geo.fr/photos/reportages-geo/dix-choses-que-vous-ne-saviez-pas-sur-nostradamus-160754

A-t'il prévu la réélection du président ?

S'il l'a prévu alors là il se serait planté complètement .

On verra l'an prochain.

Aucune chance parait-il !!!aujourd'hui....

Intox ou réalité ?

En janvier 1995 ,Chirac n'avait aucune chance et Balladur devait être élu au premier tour. Trois mois plus tard Balladur n'était même pas au second tour. Tout est possible. En 2002 Jospin était imbattable et pourtant il n'a pas vu le second tour. 
C

En attendant Sarko tend déjà la main pour sa future campagne !

Là vraiment aucune chance et c'est tant mieux ,je n'ai vu que des extraits de son allocution télévisée ,un vrai désastre ,même lui semblait ne pas croire à ses conneries .Le petit Macron me plait bien

Il sait tout faire Macron ,sauf peut-être un discours sur la modestie. S'il était élu,moins d'une semaine après son élection les Français le vomiraient. Les Francais veulent ne veulent pas un president,ils veulent le père Noël ,et ça ce n'est pas demain que cela va se produire.

Alors qui ???????


http://www.leparisien.fr/politique/sondage-hollande-le-moins-bon-des-presidents-de-la-ve-republique-17-05-2014-3849067.php

Ce classement reste à discuter !!!!!

Et si nous avions eu Coluche ????????

Rien ne vaut les années Pompidou '(je précise qu'au boulot on m'appelait Pompon     )


Pompidou est resté  dans la lignée  de De Gaulle. Il maintenu la politique extérieure en défendant l'indépendance de la France sur la scène internationale. En politique économique, il  a poursuit la politique de modernisation qu'il avait entamé en tant que premier ministre de De Gaulle.Maintenant il y a eu quelques échecs.

Au fait ,qu'a-t'il fait Pompidou ? Rien ,absolument rien ,mais ce qui s'appelle rien du tout. Il n'aurait rien ou faire compte tenu de sa maladie qui le bouffait . Peut-être ne faut-il rien faire ,Chirac qui n'a rien fait non plus laisse une bonne image.

Dès son élection, il a poursuivi  l'action du général De Gaulle dans deux domaines : l'économie et les affaires étrangères. En politique étrangère, Pompidou  il a poursuit les orientations de son prédécesseur et a  confirmé l'indépendance de la France vis-à-vis des Etats-Unis et l'URSS en pleine période de guerre froide. Alors que la France fait partie du bloc occidental, Pompidou prend ses distances avec la politique américaine, notamment au Vietnam, tout en entretenant de bonnes relations avec l'URSS sans basculer  dans le camp soviétique. Par cette relative neutralité, la France garde une forme d'indépendance.

En politique économique, Pompidou a  poursuit les réformes qu'il avait déjà commencées lorsqu'il était premier ministre : modernisation de l'économie grâce aux investissements dans les secteurs aéronautiques ou spatiaux. Il a notamment réussi à convaincre les autres partenaires européens de créer une Agence spatiale européenne et le programme de lanceur spatial Ariane. Il a mis  en place une politique de fusion au sein de chaque secteur économique pour constituer de grands groupes puissants : Rhône-Poulenc en chimie, Usinor pour la sidérurgie. Pour éviter les déséquilibres liés à ces regroupements d'entreprise, il a soutenu la DATAR qu'il a créée en 1963 en tant que premier ministre. Cet organisme tente de freiner la croissance de la région parisienne et d'attirer les entreprises vers les régions qui perdent leur population pour rééquilibrer le territoire.

Dans le domaine économique et social, les résultats ont été positifs il n'y avait qu'à voir sa bonne cote d de popularité de Pompidou (67% de satisfaits en 1970) . Pour mettre un terme à la logique d'affrontement de classes entre les ouvriers et les patrons, il a   instauré une politique contractuelle : dans chaque entreprise, des négociations ont lieu entre syndicats et patrons pour résoudre les problèmes.  une augmentation des bas-salaires, a été décidé  notamment du salaire minimum qui n'est plus calculé en fonction de l'inflation mais en fonction de la croissance ce qui entraîne une forte augmentation de ce qu'on appelle désormais le SMIC . il est certain que ces succés se' sont accompagné d'une politique sévère de maintien de l'ordre, la droite cherchant à éteindre les derniers foyers de contestation issus de mai 1968. A cet égard, le Parlement vote en juin 1970 la « loi anticasseurs » qui rend responsable les organisateurs de manifestation interdite et qui est souvent résumé d'une formule choc : « casseurs, payeurs ».