LE TRIPLE A AAA

Les américains l'ont perdu ,qu'y a-t'il de changé ? Rien.
L'essentiel est de ne pas toucher aux AAAAA de l'andouillette .

Sans doute partiellement la faute à la triple andouille qui nous gouverne... mais n'attendons pas qu'il en assume la responsabilité, car il risque bien de ne pas être coupable.

Si on n'avait pas fait des conneries en empruntant aux marchés pour faire la fête au château, on n'en subirait pas les règles du jeu, notre cher président c'est augmenté de 170 pour cent et nous nous devons nous serrer la ceinture .Moi ce qui me fait peur si la note est dégradée les taux devraient monter ,cela aura un impact négatif ,sur les prix de l'immobilier et le reste .

On emprunte sur les marché depuis 1981 pour payer les fonctionnaires ,payer 15% des retraites ,boucher les trous de la sécu et autres .La France est endettée à 82 % de son PIB ?,l'Allemagne à 81 % ,les USA à 100 %,l'Italie à 120% le Japon à 200% .

Le président de la République étant moins payé que le premier ministre ,Mitterand se faisait régler en espèces pour compenser ,Chirac ,on a autosiser à cumuler avec sa retraite .Sarkosy la situation a été officialisée .

Quoi qu'il en soit chaque tête de pipe doit 24000 euro dont on a profité tous depuis 30 ans en vivant à crédit ,et nous le savions tous ,cette situation n'est pas nouvelle et maintenant il faut raquer .Tous les pays étant dans le même cas ,suite au prochain numéro .

e chef de l'Etat devrait consacrer une large part de son intervention à illustrer les ressorts de la crise et les efforts qu'il déploie pour "ne pas laisser détruire l'euro" et, partant, "l'Europe". "Nicolas Sarkozy veut faire croire comme d'habitude qu'il est le Tarzan de la négociation"

Tarzan ?

Je viens d'entendre que les français pensent que c'es Angela Merckel qui est à la pointe de la négociation et les allemands reprochent à Merckel de se laisser diriger pa Nicolas Sarkosy .Ah ce n'est pas simple .

Votre photo me fait penser ,aux photos que mon fils a ramené d'Afghanistan ,il m'a ramené aussi une burka ,je vais la mettre et me prendre en photo avec (je plaisante jamais de la vie on ne me verra avec cela )

En politique comme en finances ,il y a des os et débat .

Voici la véritable andouillette de Troyes AAAAA.

Clémenceau a dit : La politique comme l'andouillette ,ça doit sentir la merde ,mais pas trop ! Il a dit cela il y a cent ans .

Tout cela me fait dire

Il y en a un ce soir qui devrai se sentir petit à côté de lui .
De 1969 à 1974, le président, dont on célèbre les cent ans de la naissance, donna une impulsion à la France. Retour sur un passé toujours vivace.

Il y a cent ans, naissait Georges Pompidou. Normalien, agrégé de ­lettres, banquier aussi. Président de la République de 1969 jusqu'à sa mort, en 1974. Six années qui marquent la fin des Trente Glorieuses avec le premier choc pétrolier. Quelles années pourtant! La France pompidolienne, dans la foulée de l'ébullition soixante-huitarde, avance au rythme d'une croissance économique de 5 à 6% par an. Elle prospère, invente le smic (en 1970), le briquet jetable (Bic en allume la flamme en 1973). Elle consomme, travaille, se modernise. Voit loin aussi. Le TGV? La ligne Paris-Lyon est décidée en 1974. Airbus? Le consortium franco-allemand est porté sur les fonts baptismaux en décembre 1969. On tourne aussi la page du gaullisme: on adopte, dans le nucléaire, la technologie américaine à eau pressurisée moins coûteuse ; on relance la construction européenne enrayée par une France sourcilleuse.

En même temps, Georges Pompidou - c'est un littéraire qui a forcément quelques idées sur l'art - a l'obsession de redonner à Paris sa place de grande capitale culturelle. Avec cette conviction: «L'art est l'expression d'une époque, d'une civilisation, (…) le meilleur témoignage que l'homme - et aussi une nation - puisse donner de sa dignité.» Il est également conscient que «l'art doit discuter, doit contester, doit protester». Cela n'empêche pas l'exposition «72-72» consacrée aux artistes français vivants de virer au malentendu avec les principaux intéressés. Quatre ans après Mai 68, la manifestation semble, à leurs yeux, promouvoir un art officiel. Les autres projets seront menés à bien: le Centre national d'art et de culture (le futur Centre Pompidou, décidé dès décembre 1969), le Festival d'automne (la première édition se déroule en 1972) ou encore le renouveau de l'Opéra de Paris où Rolf Liebermann arrive en 1973.